Les forces politiques
et la fin du cycle
par
Bernard de Montréal
« L’homme
nouveau réalisera que la pensée est un processus qui ne vient pas de lui mais à
lui. »
« L’homme
n’a ultimement qu’un seul maître et tuteur : lui-même. »
« La fin du cycle forcera l’humanité à repenser
sa condition, afin d’éviter à l’avenir une répétition aussi aiguë
d’inconscience. Les forces politiques de la terre auront épuisé leurs
ressources, et l’homme verra combien il est impossible d’engendrer de bonne
volonté sur une planète divisée contre elle-même. Les perspectives politiques
envoûtantes des grands stratèges s’évanouiront devant le drame évident d’une
conscience planétaire assoiffée de paix et d’harmonie. Mais les hommes, seuls
et sans aide, ne pourront se donner cette paix, car ils ne la possèdent pas
eux-mêmes ; elle devra venir de plus haut, et sa force mettra un terme à la
domination du pouvoir contre l’homme et son esprit. Les politiques modernes ne
pourront plus se retrancher derrière la diplomatie mielleuse des siècles
passés. La visite de la terre par des intelligences étrangères effectuera, sur
la conscience humaine, un bien salutaire, et nul ne pourra renverser les
nouvelles politiques de la planète en voie de remaniement mondial.
La nouvelle conscience redéfinira la vie des nations
et en élèvera la conscience pour que tous les hommes bénéficient, à leur
échelle respective, des bienfaits d’une civilisation libérée du joug de
l’ignorance qu’entretenait le régionalisme politique. L’influence créative des
nouvelles forces sur la civilisation créera une atmosphère de grande détente
entre les peuples, les nations et les races, et l’homme de la rue sera le
premier à en profiter. L’ordre nouveau sera connu de tous les hommes, et les
puissants de la terre ajusteront leur tir face au caractère impérieux de
l’évolution. Jamais la terre n’aura été ébranlée dans sa conscience de façon
aussi globale et jamais plus elle ne vivra un tel tremblement. Les forces
nouvelles agiront en fonction des besoins de l’humanité entière, sans aucun
partage idéologique, à quelque niveau que ce soit. Ce sera véritablement un âge
nouveau, où l’homme verra se réaliser les grandes prophéties des anciens à
travers les documents dont le message voilé devait protéger l’humanité contre
le choc mental du savoir.
La fin du cycle fera en sorte que l’humanité se
reconstituera un avenir fondé sur de principes politiques libres des forces
astrales. L’homme de la prochaine évolution ne découvrira la réalité des plans
qu’à mesure que s’élèvera son niveau de conscience. L’activité des forces
astrales sur terre sera neutralisée par l’entrée en vigueur des forces occultes
et éthérique de l’homme nouveau. Ce phénomène humain engendrera de tels
changements dans la vie politique que ceux qui, aujourd’hui, concertent
consciemment ou inconsciemment avec les plans inférieurs pour le contrôle
politique contre l’homme, se verront menacés de mort, car l’astral ne pourra
plus les supporter dans leurs actions contre la présence de la nouvelle
lumière.
La conception de la vie changera avec le contact
extérieur. L’homme sera troublé dans sa conscience, et les nations témoigneront
de choses que seuls les sensitifs reconnaissent aujourd’hui comme faisant
partie de l’avenir de l’humanité. Autant la science matérialiste a étouffé la
conscience spirituelle de l’homme, autant elle pliera l’échine devant les
forces occultes des mondes parallèles qui viendront vers la terre. L’homme ne
représente qu’une partie infime des intelligences en évolution, et sa
conscience mentale sera élevée pour qu’il reconnaisse que la vie de sa race ne
dépend pas simplement de son libre-arbitre, tel qu’il a été amené à le croire
au cours de l’involution pour des raisons d’évolution psychologique.
Les gouvernements de la planète seront élevés en
fonction universelle ; les temps nouveaux feront de l’homme un être dont la
valeur de vie sera absolue. L’hypocrisie politique sera éliminée par une main
de fer. Jamais les hommes n’auront connu si grand déploiement de puissance
créative sur le globe, et la majorité des hommes ne comprendront pas ce qui se
trame dans les sphères du pouvoir. Mais ils sauront qu’un nouveau règne est
descendu sur terre, et que les assassins de l’homme seront pourchassés sans
pitié pour leur crime contre l’humanité. Car les forces de l’ordre nouveau
seront libres d’agir selon les lois de vie insensibles à la coloration émotive
qui a rendu l’humanité victime de pouvoirs excessifs au cours de l’involution.
La conscience des nations évoluera rapidement sous
l’effet de la transparence des forces politiques occultes. Elle sera fortement
propulsée par la matérialisation de races venant des univers parallèles, mondes
plus avancés dans la science politique des globes. L’interpénétration de deux
niveaux de vie créera le choc nécessaire à l’amélioration de la conscience
politique de la terre, dépourvue maintenant de volonté politique créative et
intégrale.
La conscience politique des peuples de la terre,
selon les modes anciens tels qu’appliqués dans le monde, sera accélérée par des
lignes de force qui renforceront l’interdépendance des cultures et des systèmes
de valeurs liés à l’infrastructure expérientielle des peuples. L’esprit des
nations sera élevé en conscience et permettra une accélération des
développements économique, politique et scientifique, dont a besoin la
communauté internationale pour exercer son droit d’appartenance à l’évolution
des systèmes galactiques. La conscience des nations ne tient aujourd’hui qu’à
la mémoire des peuples, alors qu’elle devrait être fondée sur la science et la
conscience de systèmes plus évolués, dont l’expérience évolutive s’est
perfectionnée au cours des âges alors que la terre n’était qu’à ses débuts
expérientiels. La terre a grandement besoin d’un choc psychologique pour se
sortir de son sous-développement, de plus en plus axé sur la violence qui
détériore la fabrique sociale à tous les niveaux. Cette violence cessera
lorsque l’homme aura réalisé qu’il n’est pas le seul être dans le cosmos, et
que les sphères surveillent de loin son évolution.
L’élimination de la violence sous toutes ses formes
exigera que l’homme prenne conscience de la dimension spirituelle de son
existence, dimension qui dépasse l’aspect purement religieux. La connaissance
des mondes en évolution, à cause de leurs différents degrés de réalité et de
perfectionnement relatifs, crée dans l’esprit de l’homme une conscience
réflective incapable de supporter l’idée des mondes parallèles sans la
spiritualiser, car le mental inférieur est fondé sur la conscience de la
mémoire ancienne. Or, cette mémoire ne fait pas partie de la réalité
universelle des mondes, mais de l’inconscience face à la multidimensionnalité
des univers en évolution.
La violence sur terre, dans sa forme la plus
primitive, tire sa force de l’inhabilité de l’homme à pouvoir supporter
mentalement la relation intelligente, télépathique et éthérique entre le plan
matériel et les plans subtils. Ceux-ci constituent, absolument parlant, un
degré supérieur de vie en instance de communication mentale avec le sien, et
pouvant le préparer à passer de l’involution à l’évolution de la conscience de
la matière, c’est-à-dire à la conscience des autres plans de vie qui constituent
la grande réalité universelle des mondes en évolution.
Le problème fondamental des forces politiques sur
terre est relié à l’impuissance des gouvernements dans leur rôle face à
l’éradication de la violence, alors que celle-ci traduit l’expérience de
l’homme en une lutte constante pour la survie de l’espèce. La violence existe
sous toutes sortes de forme, et les gouvernements seront appelés à prendre
conscience qu’elle doit être abolie à tout prix si les nations veulent évoluer
au-delà du besoin primaire de la survie nationale. Le contact entre la terre et
les intelligences d’un autre temps forcera l’humanité à se reconstruire
psychologiquement et psychiquement, puisque le choc culturel que créera cette
intervention créative dans la conscience de la terre fera craquer le moule de
l’involution. Les nations se feront secouer et le réveil sera difficile, car
les hommes ne sont pas encore suffisamment près de leur réalité intérieure pour
absorber intérieurement un tel choc. D’ailleurs, le contact entre le temps de
la planète terre et d’autres temps ne se fera que dans la mesure où l’humanité
en aura grandement besoin, et sans conditions.
Les forces politiques de la terre seront éveillées à
la multiplicité des mondes et à l’interdépendance des plans de vie. Le progrès
de la technologie interfère avec l’ordre cosmique des sphères. Tant que la
situation n’aura pas atteint un degré de danger irréversible, le contact entre
la terre et les mondes parallèles sera retenu. La conscience de la terre doit
être élevée, car les hommes ne font pas simplement partie de l’évolution de la
terre mais aussi d’autres systèmes parallèles, puisque l’univers est
multidimensionnel. Cette réalité appartient à l’universalité des mondes et à la
complexité des systèmes en évolution. Les âges de l’univers varient selon le
taux vibratoire de la lumière, et non selon une forme quelconque de linéarité
conceptualisée par le mental inférieur de l’homme.
La conscience est à la base de toute réalité, et les
mondes qui ont différents niveaux de conscience ont aussi différentes
perceptions du réel. Comme l’homme n’a pas encore découvert l’universalité des
mondes et leur multiplicité d’intelligences, sa conscience en est grandement
réduite ; les conséquences d’une telle condition font de lui un être à
conscience expérimentale, alors qu’il devrait vivre comme un être créatif à la
mesure de la puissance d’une science universalisée.
La prochaine époque élèvera la conscience politique
des nations, suite au choc que vivront les peuples lors du contact entre la
terre et les autres planètes. Il existe sur le globe, aujourd’hui comme hier,
des êtres suffisamment évolués pour bénéficier dès maintenant du travail déjà
commencé sur d’autres plans de vie. Ces hommes manifestent une grande soif pour
la connaissance intérieure, qui sera rassasiée avec le temps, mais qui sert
actuellement à favoriser le développement de certains centres d’énergie
supérieure, et dont le but est d’aider au plein épanouissement de la
personnalité jusqu’à ce que l’être découvre sa personne réelle.
Un de ces centres de force puissant sur la surface
du globe constitue le point de départ de la prochaine évolution de la
conscience humaine. Alors que les autres centres préparent l’homme à un éveil
de la conscience spirituelle, le dernier centre d’énergie manifesté sur le
globe en 1969 a terminé l’involution ; il projettera l’homme dans une courbe
nouvelle de l’évolution, en donnant naissance à un être intégralement nouveau
sur le plan de la conscience et de l’identité personnelle.
Ces hommes nouveaux seront préparés pour absorber le
choc culturel de la terre, et construiront le pont entre l’homme et les
intelligences d’autres parties de l’univers. L’évolution de la politique des
nations et de leurs forces sociales sera grandement affectée par la présence
créative de ces nouveaux êtres, car le pouvoir de leur conscience nouvelle leur
permettra de vivre un contact direct avec d’autres niveaux de vie en évolution.
Mais la chose est impossible sans préparation antérieure.
Les forces de vie venant d’autres mondes ne
répondent pas à la réalité que l’homme se fait du cosmos ; ces êtres ont déjà
éliminé de leur expérience ce que l’homme trouve aujourd’hui difficile
d’intégrer créativement à la sienne. Voilà pourquoi l’évolution des forces
politiques ne représentera une caractéristique mondiale que le jour où l’homme
réalisera que la terre fait partie d’une réalité qu’il devra comprendre en
fonction de sa propre évolution personnelle. Si les forces sociales n’ont pas
réussi à transformer la conscience de la terre, c’est que l’homme ne peut
évoluer qu’à partir du développement intérieur de sa conscience, le
développement extérieur ne faisant partie que de la dimension planétaire de sa
vie matérielle. Tant que les forces politiques de la terre ne se seront pas
enlignées sur une courbe d’évolution dont l’intelligence dépasse le plan
idéologique, les hommes demeureront esclaves de ces forces, et la violence
continuera à restreindre l’évolution de la conscience des peuples et à freiner
le développement spirituel.
Les forces politiques de la terre subiront une
pression interne lors de la manifestation de la nouvelle conscience sur le
globe. Cette pression poussera les gouvernements à agir en conformité avec les
principes supérieurs de l’évolution. Autant l’homme involutif fut obligé de se
suffire à lui-même, autant l’homme nouveau travaillera avec des forces dont la
puissance créative générera sur terre une nouvelle volonté fondée sur le
principe de l’intelligence au service de l’homme et de sa civilisation. Mais
les forces politiques de la terre n’agrandiront leurs visées que lorsque la
situation planétaire aura suffisamment été abrutie par le conditionnement
social de l’involution. L’humanité n’avance que par crises. Les forces
politiques futures n’agiront plus seules, elles seront supportées dans l’ombre
par une volonté politique supérieure, qui permettra une intégration à l’échelle
mondiale des travaux nécessaires à l’élévation de la conscience des nations.
L’évolution de cette conscience nécessitera, à un
certain moment de l’histoire, une infusion totalement nouvelle d’intelligence.
Celle-ci mettra un terme à l’abus de pouvoir et à l’insuffisance de la
conscience politique, qui a réduit l’humanité à une dimension matérialiste de
vie à la merci de ceux dont l’activité politique ne représente que
l’idéalisation du pouvoir. La volonté politique est essentielle dans le monde.
Elle est à la base même du succès de l’expérience raciale ou multiraciale de la
terre.
Sans volonté politique, les nations sont victimes
des protocoles politiques qui ne sont qu’une forme démesurée d’impuissance à
rendre publique ce qui doit être rendu, afin d’apporter des changements
essentiels à l’évolution des nations et des groupes qui s’épuisent par
l’inquiétante absurdité de certaines forces au pouvoir. Ceci changera avec
l’arrivée des forces de la lumière dans l’arène des forces politiques, par le
truchement des mécanismes occultes de la nouvelle conscience humaine. Autant
les forces de la lumière durent demeurer dans l’ombre au cours de l’involution,
autant elles feront face discrètement à la hiérarchie politique mondiale, dans
le but de lui infuser une nouvelle vision de cette science importante pour
l’équilibre des forces sociales des nations en évolution rapide.
Le contact entre l’homme et d’autres plans de vie
obligera les forces politiques de la terre à faire ressortir les éléments
créatifs de la conscience humaine, afin de mettre fin à l’absurde réalité de la
pauvreté dans le monde. Les peuples de la terre ont droit à la vie équilibrée
dans la mesure où les forces politiques sont prêtes à leur fournir les outils
nécessaire à une forme d’émancipation. Les forces n’ont aucun droit d’arrêter
l’évolution des populations, sauf dans le but de les protéger contre certains
effets nocifs, à long terme, que pourrait leur créer une proximité
socioculturelle trop ardente pour leur niveau d’expérience. Les forces
politiques dans le monde convoitent plus le pouvoir pour le pouvoir lui-même
que l’intérêt sans condition des peuples qui les ont élues, ou auxquels elles
ont arraché le pouvoir. La volonté politique fait partie de la conscience
créative de l’homme, et non de ses appétits. L’intervention dans le monde d’une
nouvelle force créative inaugurera le règne de la politique des nations, au lieu
de la politique des sphères nationales qui, jusqu’à aujourd’hui, réduit cette
science à des aspects sous-développés, et dont les plus importants restent
encore à découvrir. La politique des nations deviendra une réalité lorsque les
bases financières et géopolitiques des sociétés modernes auront été
transformées profondément, jusqu’à en éliminer l’élément de prestige qui pollue
la conscience de tous ceux qui devraient donner à leur nation le bénéfice de
leur intelligence créative. La conscience politique des peuples grandira
lorsque les dirigeants cesseront de se préoccuper seulement de leur territoire
pour prendre en cause tous les territoires où réside l’homme en évolution.
Toute forme de régionalisme ou de nationalisme politique risque d’atrophier la
politique mondiale, car l’intérêt national ou régional devient un mode grossier
d’élévation dans le pouvoir, sans plonger dans les grands fonds souterrains de
la science et de la conscience politique.
Les forces sociales n’exerceront leur présence
créativement dans le monde que lorsque la conscience politique aura fait place
à la politique de la conscience. Cette conscience politique détruit l’aspect
créatif de la vie mentale de l’homme, dans le domaine très vaste de l’expression
géopolitique. Elle veut conditionner les hommes au lieu de leur donner les
outils afin qu’eux-mêmes conditionnent leur environnement. Les forces
politiques ont bénéficié d’un grand rôle dans le monde par l’impression
qu’elles ont créée d’être au-delà de la masse, alors que la masse fait déjà
partie de la substance psychique des nations dont est formée la conscience de
la terre. Pour que les forces politiques évoluent, il faudra que les individus
qui en sont les chefs évoluent à leur tour, et laissent derrière eux les
attitudes anciennes d’une gestion politique prisonnière des gouvernements
étouffés par les aspects territorialistes d’une politique dégénérative.
Les gouvernements de la terre, dans l’ensemble de
leurs conventions internes, n’ont pas suffisamment de force mentale pour éliminer
de l’expérience des nations les facteurs nuisibles à l’évolution de la
conscience des peuples, car trop d’ambition personnelle ternit les rapports
étroits que devraient connaître ces gouvernements avec les peuples dont ils
gèrent la destinée. Voilà d’ailleurs pourquoi les peuples n’affectionnent plus
leurs chefs. Ils ont été depuis trop
longtemps asservis à différentes mentalités qui ont
prouvé historiquement que l’homme politique n’est pas à la hauteur de son rôle,
sauf dans certains cas particuliers où ces hommes et ces femmes, malgré leur grandeur,
ont démontré au cours de leur mandat certaines faiblesses nées d’une vision
encore trop étroite de la politique mondiale planétaire. Tant que les hommes
politiques n’auront pas compris ce que veut dire conscience politique, ils ne pourront
exercer de volonté politique car les institutions dont ils font partie
blanchiront le rôle créatif de l’intelligence dans l’espoir que tout
s’arrangera avec le temps. Mais rien ne s’arrange avec le temps, tout ne fait que
devenir plus complexe.
L’évolution de la conscience sur terre créera des
bouleversements considérables dans la conscience des nations. Les forces
politiques tenteront de résister au grand changement imposé par les nouvelles
forces de vie qui élèveront la conscience de la terre. Ces mêmes forces
voudront continuer à travailler selon les anciens modes politiques, alors que
l’évolution de la conscience des peuple demandera une conversion intégrale des
anciennes mesures qui n’ont fait que desservir l’humanité tout en lui
présentant des formes de plus en plus attrayantes mais vides de vie sociale.
Les forces politiques de la terre devront instruire créativement les nations de
leur rôle, pour que les peuples travaillent avec les gouvernements au lieu de
travailler contre eux. Tant que les nations ne travailleront pas en harmonie
avec les gouvernements, un déséquilibre continuera à se créer dans la mentalité
des peuples. À long terme, celui-ci fera de ces nations des centres troublés de
vie, dont l’individu ne pourra s’extirper que par une volonté très forte de
survie.
La nouvelle évolution apparaîtra sur le globe dans
un mode qu’il ne convient pas encore de définir au-delà du réalisme politique
connu de nos jours, car la science politique n’existe pas encore sur terre. Une
telle conscience ne peut naître que dans la mesure où les hommes auront pris
conscience d’une puissance au-delà de celle des nations actuelles. Les peuples
de la terre, aujourd’hui, sont inconscients des autres formes de vie en
évolution dans la galaxie, et pour cette raison la conscience politique des
nations ne peut naître. Une telle conscience demande un choc de réalisation qui
ne peut venir que de l’exclusion de la conscience politique de la gestion des
affaires terrestres à une échelle mondiale. »
« Le mental n’est pas un labyrinthe,
mais plutôt un tunnel temporel par lequel se meut la pensée. Il est un
continuum magnétique reliant le cerveau au point d’origine de la pensée, au
sein de dimensions qui se dissocièrent de l’univers physique nucléaire lorsque
l’espace entama son expansion.
Sa configuration de tunnel repose sur les lois énergétiques de réseaux de communication de la pensée qui constituent l’environnement fondamental de forces agissant dans l’univers. »
Sa configuration de tunnel repose sur les lois énergétiques de réseaux de communication de la pensée qui constituent l’environnement fondamental de forces agissant dans l’univers. »