Communications avec Kori (8)

Comment guérir la dépression ?

« Tu peux guérir la dépression chez une personne à condition qu’elle veuille, au fond d’elle-même, en sortir. Sinon, ce sera très difficile…

La dépression prend naissance dans le corps astral, où elle puise son énergie dans le désordre des pulsions négatives. Elle se développe, plus ou moins rapidement, selon la force du corps mental qui, dans une situation normale, doit arriver à la réguler et à la résorber en reprenant le dessus.

Si le corps mental est faible, la dépression s’installe en force et se répand sur les corps physique et éthérique. C’est le début des troubles psychosomatiques et des aberrations du comportement : insomnie, anorexie, inaction et perte de volonté totale. La personne devient passive et la dépression devient chronique.

Quelle est l’origine de la dépression ?

Souvent, elle émerge d’un déséquilibre affectif, d’un deuil, d’un divorce ou d’une épreuve dans la vie professionnelle. Parfois, plus rarement, elle provient de troubles psychiques révélateurs de fêlures de la personnalité; ces cas-là ne sont pas, à priori, curables.

D’une façon générale, ton travail doit consister à purifier, à nettoyer le corps astral et à renforcer et stimuler le corps mental. Des apports d’énergie, intenses et réguliers, vont améliorer l’état de la personne dépressive ; mais il faut du temps et de la patience. Et surtout il faut avoir le concours de la propre volonté du patient, sinon tous tes efforts seront vains. C’est une conséquence du libre arbitre.

Par contre, tu dois savoir que la période actuelle est propice aux dépressions à cause de l’accélération de la vibration de la terre, face à laquelle de nombreuses personnes sont décrochées, sans même comprendre ce qui leur arrive. Alors, comme tu vois, le problème est plus complexe qu’il n’y parait. D’une façon générale, déverse de l’énergie et nettoie les corps astral et mental et dis-toi qu’à l’impossible nul n’est tenu, pas même toi, pas mêmes nous. Faire ce que l’on peut est déjà une façon d’être compatissant à la souffrance d’autrui et d’en prendre une partie sur nos épaules. Et n’oublie pas, chacun suit sa route, chacun marche sur le chemin qu’il choisit de tracer.»