dans un monde multidimensionnel
Madame H. Blavatsky, fondatrice de la Théosophie, soutenait que la matière n’est autre que de l’esprit dans sa forme la plus dense, et l’esprit de la matière dans sa forme la plus élevée. Entre le plan physique et celui immatériel de la conscience, il y a un passage graduel le long de dimensions qui sont de moins en moins denses, de plus en plus éthérées.
De même, pour Alice A. Bayley, les corps subtils ne sont pas des abstractions, mais de vrais organismes vivants composés d’atomes à hautes vibrations. Essayons de décrire l’architecture complexe et multiple qui nous entoure et nous interpénètre.
Les 7 dimensions :
Les corps subtils de l’homme sont des récepteurs sensoriels qui lui permettent de s’adapter aux différentes dimensions de l’univers multidimensionnel dans lequel il baigne continuellement, même s’il n’en a pas conscience.
Le corps physique (ou biologique)
dans la dimension 1, est de nature biologique et répond à l’action. C’est le seul corps que l’homme ordinaire perçoit et auquel il s’assimile. Il nous permet de se reconnaître et de reconnaître les autres dans la forme et l’aspect matériel. Il bénéficie d’une apparente stabilité bien qu’en réalité il change continuellement : le pancréas se renouvelle chaque jour, la muqueuse de l’estomac tous les trois jours, les globules blancs tous les dix jours, la peau et presque la totalité du cerveau chaque mois, le squelette tous les trois mois et chaque année les 98% de tous les atomes du corps sont renouvelés.
Le corps éthérique (ou vital)
joue le rôle d’interface entre le corps physique et l’astral. Sa fonction consiste à transférer de l’énergie vitale à partir de l’océan d’énergie cosmique. C’est la matrice qui connecte le corps physique aux corps subtils et qui permet l’expérience des émotions, la production des pensées et de capter les informations mentales et spirituelles provenant du mental supérieur et de la conscience.
Le corps astral (ou du désir)
est du domaine le la réaction. Il est sur deux niveaux vibratoires : le plan inférieur, ou bas-astral, relève de la dimension 2 ; le plan supérieur, ou haut-astral, relève de la dimension 3.
C’est l’usine à fabriquer des émotions et des sensations. Le corps physique dense est la base matérielle de la sensation ; le corps éthérique la transfère aux corps subtils ; l’astral la construit, l’élabore et la remplit d’émotions ; le mental lui confère un sens et l’insère dans un cadre de référence rationnelle.
Le corps mental
où règnent l’intellect et la réflexion, correspond à la dimension 4.
Ses fonctions sont de :
- Servir de véhicule au Soi (Âme) pour l’élaboration des pensées concrètes.
- Développer la mémoire et l’imagination.
- Assimiler les résultats acquis dans chaque existence terrestre et transmettre l’essence de cette expérience à l’homme véritable ou Être qui se trouve dans le corps causal.
L’entraînement du travail sur le mental donne l’habitude de penser d’une manière soutenue et concentrée. C’est seulement lorsque l’homme peut réduire son mental à l’état de tranquille quiétude et l’y maintenir sans cogiter que l’Âme peut se manifester.
C'est dans le corps mental que se fait la rencontre entre les informations qui montent du corps physique et celles qui proviennent des zones supérieures, c'est à dire du corps causal. C'est ainsi que s'organise la pensée rationnelle, l'imagination et la créativité, sur des bases exactes fertilisées par un apport spirituel.
Le corps causal
correspond à l’esprit humain et stimule l’intuition, en dimension 5.
Défini généralement comme le siège de la mémoire et de la volonté. Il est comme son nom l'indique lié aux origines (positives ou négatives) de notre situation présente, le karma, les souvenirs du passé, les conflits non résolus. Le lien implicite entre la mémoire et la volonté semble indiquer qu'il est nécessaire de purifier son passé pour garder de l'énergie et la volonté d'évoluer et de faire face à nos problèmes.
Le corps causal est également appelé manas supérieur. L'Akasha serait également partiellement localisé dans le plan causal.
Le corps spirituel
du domaine de la spiritualisation, correspond à l’esprit vital, en dimension 6.
Le corps de la conscience supérieure, le maître intérieur, l’ange solaire.
Le monde bouddhique, celui des Bouddhas, des éveillés, des « libérés vivants ».
Le corps atmique
de l’esprit divin, est celui de la perfection et correspond à la dimension 7.
Ce que l’on peut nommer le corps divin. Le monde divin où tout règne est éternel et parfait. Mais en vérité nul ne sait ce qu’il est véritablement, non seulement les mots manquent à cette description.
L’être multiple :
La Personnalité
regroupe les corps physique, éthérique et astral et s’inscrit dans les 1ère, 2ème et 3ème dimensions.
L’Ego (ou le Moi)
est installé dans le corps mental et participe de la 4ème dimension.
Le Soi Supérieur (ou le Je)
occupe les corps causal et spirituel, dans les 5ème et 6ème dimensions.
L’être incarné est équipé de capteurs d’énergies subtiles, situés sur le corps éthérique ; ils aspirent et expirent des énergies vitales pour la vie de l’homme, en provenance des 7 dimensions, qu’ils transforment pour les rendre assimilables.
Les corps physique, éthérique, astral et mental constituent l’élément inférieur de l’être, la base, le socle nécessaire à la perception de la réalité et à l’équilibre de da dualité dans la matière.
Les corps causal et spirituel constituent l’étage supérieur, aérien, de la connaissance intuitive et de la conscience, permettant le retour à l’unité de l’origine. Le corps atmique est celui de la réintégration divine, du retour à l’absolu.
L’architecture de l’être :
La multiplicité des dimensions correspond aux différents niveaux vibratoires qui les déterminent. Le principe est le suivant : en haut, finesse et extrême rapidité des vibrations ; plus on descend vers la matière, épaisseur et ralentissement des vibrations. La descente est une plongée vers la cristallisation.
A chaque incarnation nouvelle, l’esprit, étincelle divine, revêt un corps spécifique composé des matériaux correspondant aux qualités vitales de chaque plan vibratoire, de façon à pouvoir réagir à leurs énergies propres, qu’il aura besoin d’assimiler pour survivre.
Lors de la mort physique, l’être remonte par paliers, plus ou moins longs, sur chaque plan où le corps concerné se dissout plus ou moins rapidement, en fonction de son évolution et de la qualité de son contrat de vie.
Tous les corps inférieurs au corps causal sont appelés à disparaître ; ce dernier demeure et récapitule toutes les expériences vécues par l’entité depuis qu’elle existe. Le plan causal est celui de la mémoire spirituelle des entités.
L’être humain, incarné sur terre, est véritablement caparaçonné et chaque corps est cloisonné, ne pouvant évoluer qu’au niveau du plan qui lui est propre. Ainsi, il a des vies distinctes et séparées dont il n’a pas conscience tant qu’il se contente de vivre matériellement et quasi-animalement dans son quotidien.
A partir du moment où il prend conscience de l’insuffisance ou du non sens de ce type d’existence, il va se mettre en quête d’autre chose pour pouvoir échapper à cette situation qui l’angoisse et l’attriste.
C’est ainsi que, progressivement, il va essayer des voies diverses, ou tout échappatoire, lui semblant efficace pour s’évader : des paradis artificiels de la drogue en passant par le spiritisme, la voyance, la magie ou la religion.
Et chacun va croire avoir trouvé la solution qui ne sera en fait qu’une illusion ; il n’y aura pas de libération mais bien une nouvelle incarcération sur un plan différent, le plus souvent dans l’astral et pour les plus habiles dans le mental.
L’émancipation spirituelle :
Les corps inférieurs (physique, astral et mental) sont les outils de la perception de la réalité ambiante et des sensations, c’est-à-dire des réactions à ces perceptions.
Ils sont aux prises avec la dualité de la matière de l’incarnation et permettent à l’ego de s’orienter, de faires des choix et d’agir.
Les corps supérieurs (causal et spirituel) sont les instruments de la transcendance, du métaphysique, qui permettent de recueillir et conserver les fruits des expériences réalisées par l’être dans son incarnation.
La conscience, lorsque son corps est bien formé, permet le retour à l’unité par la fusion des corps éparpillés et cloisonnés dans une unité supérieure et fonctionnelle.
Elle permet progressivement à l’être éveillé d’échapper aux illusion de la forme et de l’espace-temps qui l’emprisonnent.
Le processus d’émancipation est difficile à réaliser car il faut tout d’abord en découvrir les règles qui sont les suivantes :
- ressenti de l’appel
- solitude et intériorité
- patience et ténacité
On ne peut entrer en recherche spirituelle que lorsqu’on on a ressenti, au fond de soi, l’appel de l’âme, du soi supérieur à retrouver notre nature originelle hors incarnation. Ce qui implique, automatiquement, que tous ceux qui n’ont pas ressenti cet appel sont étrangers à cette quête et ne peuvent y participer ; ils ont alors d’autres centres d’intérêts, familial, professionnel, culturel, cultuel, financier, politique, etc. qui correspondent à leur ancrage dans leur vie incarnée.
Une fois cette première étape franchie, le plus difficile commence ; on entre dans la voie de l’initiation, de la découverte de soi qui ne peut se réaliser que dans la solitude et l’intériorité. On ne peut se découvrir que soi-même, le regard toujours introverti, pour aller au plus profond de soi.
Et comme cette marche vers la lumière est longue et difficile, il faut impérativement développer deux qualités nécessaires qui sont la patience et la ténacité. La patience parce qu’elle permet d’accepter la lenteur de la progression, et l’impression d’immobilisme bien souvent ressentie ; la ténacité, parce qu’elle permet de ne pas abandonner et de toujours continuer d’avancer sur le chemin, même les yeux bandés.
Equilibrer le corps physique par une bonne hygiène de vie, pacifier le corps astral en maîtrisant les émotions, dominer le corps mental en dirigeant ses idées vers le bon, le beau, le vrai pour accéder au corps causal, antichambre du corps spirituel, par la pratique de l’intuition, voilà le secret de l’émancipation spirituelle de l’être.
« Il faut changer, sinon quelque chose sommeille en nous qui rarement se réveille. Le dormeur doit se réveiller. »
« Dune »
Madame H. Blavatsky, fondatrice de la Théosophie, soutenait que la matière n’est autre que de l’esprit dans sa forme la plus dense, et l’esprit de la matière dans sa forme la plus élevée. Entre le plan physique et celui immatériel de la conscience, il y a un passage graduel le long de dimensions qui sont de moins en moins denses, de plus en plus éthérées.
De même, pour Alice A. Bayley, les corps subtils ne sont pas des abstractions, mais de vrais organismes vivants composés d’atomes à hautes vibrations. Essayons de décrire l’architecture complexe et multiple qui nous entoure et nous interpénètre.
Les 7 dimensions :
Les corps subtils de l’homme sont des récepteurs sensoriels qui lui permettent de s’adapter aux différentes dimensions de l’univers multidimensionnel dans lequel il baigne continuellement, même s’il n’en a pas conscience.
Le corps physique (ou biologique)
dans la dimension 1, est de nature biologique et répond à l’action. C’est le seul corps que l’homme ordinaire perçoit et auquel il s’assimile. Il nous permet de se reconnaître et de reconnaître les autres dans la forme et l’aspect matériel. Il bénéficie d’une apparente stabilité bien qu’en réalité il change continuellement : le pancréas se renouvelle chaque jour, la muqueuse de l’estomac tous les trois jours, les globules blancs tous les dix jours, la peau et presque la totalité du cerveau chaque mois, le squelette tous les trois mois et chaque année les 98% de tous les atomes du corps sont renouvelés.
Le corps éthérique (ou vital)
joue le rôle d’interface entre le corps physique et l’astral. Sa fonction consiste à transférer de l’énergie vitale à partir de l’océan d’énergie cosmique. C’est la matrice qui connecte le corps physique aux corps subtils et qui permet l’expérience des émotions, la production des pensées et de capter les informations mentales et spirituelles provenant du mental supérieur et de la conscience.
Le corps astral (ou du désir)
est du domaine le la réaction. Il est sur deux niveaux vibratoires : le plan inférieur, ou bas-astral, relève de la dimension 2 ; le plan supérieur, ou haut-astral, relève de la dimension 3.
C’est l’usine à fabriquer des émotions et des sensations. Le corps physique dense est la base matérielle de la sensation ; le corps éthérique la transfère aux corps subtils ; l’astral la construit, l’élabore et la remplit d’émotions ; le mental lui confère un sens et l’insère dans un cadre de référence rationnelle.
Le corps mental
où règnent l’intellect et la réflexion, correspond à la dimension 4.
Ses fonctions sont de :
- Servir de véhicule au Soi (Âme) pour l’élaboration des pensées concrètes.
- Développer la mémoire et l’imagination.
- Assimiler les résultats acquis dans chaque existence terrestre et transmettre l’essence de cette expérience à l’homme véritable ou Être qui se trouve dans le corps causal.
L’entraînement du travail sur le mental donne l’habitude de penser d’une manière soutenue et concentrée. C’est seulement lorsque l’homme peut réduire son mental à l’état de tranquille quiétude et l’y maintenir sans cogiter que l’Âme peut se manifester.
C'est dans le corps mental que se fait la rencontre entre les informations qui montent du corps physique et celles qui proviennent des zones supérieures, c'est à dire du corps causal. C'est ainsi que s'organise la pensée rationnelle, l'imagination et la créativité, sur des bases exactes fertilisées par un apport spirituel.
Le corps causal
correspond à l’esprit humain et stimule l’intuition, en dimension 5.
Défini généralement comme le siège de la mémoire et de la volonté. Il est comme son nom l'indique lié aux origines (positives ou négatives) de notre situation présente, le karma, les souvenirs du passé, les conflits non résolus. Le lien implicite entre la mémoire et la volonté semble indiquer qu'il est nécessaire de purifier son passé pour garder de l'énergie et la volonté d'évoluer et de faire face à nos problèmes.
Le corps causal est également appelé manas supérieur. L'Akasha serait également partiellement localisé dans le plan causal.
Le corps spirituel
du domaine de la spiritualisation, correspond à l’esprit vital, en dimension 6.
Le corps de la conscience supérieure, le maître intérieur, l’ange solaire.
Le monde bouddhique, celui des Bouddhas, des éveillés, des « libérés vivants ».
Le corps atmique
de l’esprit divin, est celui de la perfection et correspond à la dimension 7.
Ce que l’on peut nommer le corps divin. Le monde divin où tout règne est éternel et parfait. Mais en vérité nul ne sait ce qu’il est véritablement, non seulement les mots manquent à cette description.
L’être multiple :
La Personnalité
regroupe les corps physique, éthérique et astral et s’inscrit dans les 1ère, 2ème et 3ème dimensions.
L’Ego (ou le Moi)
est installé dans le corps mental et participe de la 4ème dimension.
Le Soi Supérieur (ou le Je)
occupe les corps causal et spirituel, dans les 5ème et 6ème dimensions.
L’être incarné est équipé de capteurs d’énergies subtiles, situés sur le corps éthérique ; ils aspirent et expirent des énergies vitales pour la vie de l’homme, en provenance des 7 dimensions, qu’ils transforment pour les rendre assimilables.
Les corps physique, éthérique, astral et mental constituent l’élément inférieur de l’être, la base, le socle nécessaire à la perception de la réalité et à l’équilibre de da dualité dans la matière.
Les corps causal et spirituel constituent l’étage supérieur, aérien, de la connaissance intuitive et de la conscience, permettant le retour à l’unité de l’origine. Le corps atmique est celui de la réintégration divine, du retour à l’absolu.
L’architecture de l’être :
La multiplicité des dimensions correspond aux différents niveaux vibratoires qui les déterminent. Le principe est le suivant : en haut, finesse et extrême rapidité des vibrations ; plus on descend vers la matière, épaisseur et ralentissement des vibrations. La descente est une plongée vers la cristallisation.
A chaque incarnation nouvelle, l’esprit, étincelle divine, revêt un corps spécifique composé des matériaux correspondant aux qualités vitales de chaque plan vibratoire, de façon à pouvoir réagir à leurs énergies propres, qu’il aura besoin d’assimiler pour survivre.
Lors de la mort physique, l’être remonte par paliers, plus ou moins longs, sur chaque plan où le corps concerné se dissout plus ou moins rapidement, en fonction de son évolution et de la qualité de son contrat de vie.
Tous les corps inférieurs au corps causal sont appelés à disparaître ; ce dernier demeure et récapitule toutes les expériences vécues par l’entité depuis qu’elle existe. Le plan causal est celui de la mémoire spirituelle des entités.
L’être humain, incarné sur terre, est véritablement caparaçonné et chaque corps est cloisonné, ne pouvant évoluer qu’au niveau du plan qui lui est propre. Ainsi, il a des vies distinctes et séparées dont il n’a pas conscience tant qu’il se contente de vivre matériellement et quasi-animalement dans son quotidien.
A partir du moment où il prend conscience de l’insuffisance ou du non sens de ce type d’existence, il va se mettre en quête d’autre chose pour pouvoir échapper à cette situation qui l’angoisse et l’attriste.
C’est ainsi que, progressivement, il va essayer des voies diverses, ou tout échappatoire, lui semblant efficace pour s’évader : des paradis artificiels de la drogue en passant par le spiritisme, la voyance, la magie ou la religion.
Et chacun va croire avoir trouvé la solution qui ne sera en fait qu’une illusion ; il n’y aura pas de libération mais bien une nouvelle incarcération sur un plan différent, le plus souvent dans l’astral et pour les plus habiles dans le mental.
L’émancipation spirituelle :
Les corps inférieurs (physique, astral et mental) sont les outils de la perception de la réalité ambiante et des sensations, c’est-à-dire des réactions à ces perceptions.
Ils sont aux prises avec la dualité de la matière de l’incarnation et permettent à l’ego de s’orienter, de faires des choix et d’agir.
Les corps supérieurs (causal et spirituel) sont les instruments de la transcendance, du métaphysique, qui permettent de recueillir et conserver les fruits des expériences réalisées par l’être dans son incarnation.
La conscience, lorsque son corps est bien formé, permet le retour à l’unité par la fusion des corps éparpillés et cloisonnés dans une unité supérieure et fonctionnelle.
Elle permet progressivement à l’être éveillé d’échapper aux illusion de la forme et de l’espace-temps qui l’emprisonnent.
Le processus d’émancipation est difficile à réaliser car il faut tout d’abord en découvrir les règles qui sont les suivantes :
- ressenti de l’appel
- solitude et intériorité
- patience et ténacité
On ne peut entrer en recherche spirituelle que lorsqu’on on a ressenti, au fond de soi, l’appel de l’âme, du soi supérieur à retrouver notre nature originelle hors incarnation. Ce qui implique, automatiquement, que tous ceux qui n’ont pas ressenti cet appel sont étrangers à cette quête et ne peuvent y participer ; ils ont alors d’autres centres d’intérêts, familial, professionnel, culturel, cultuel, financier, politique, etc. qui correspondent à leur ancrage dans leur vie incarnée.
Une fois cette première étape franchie, le plus difficile commence ; on entre dans la voie de l’initiation, de la découverte de soi qui ne peut se réaliser que dans la solitude et l’intériorité. On ne peut se découvrir que soi-même, le regard toujours introverti, pour aller au plus profond de soi.
Et comme cette marche vers la lumière est longue et difficile, il faut impérativement développer deux qualités nécessaires qui sont la patience et la ténacité. La patience parce qu’elle permet d’accepter la lenteur de la progression, et l’impression d’immobilisme bien souvent ressentie ; la ténacité, parce qu’elle permet de ne pas abandonner et de toujours continuer d’avancer sur le chemin, même les yeux bandés.
Equilibrer le corps physique par une bonne hygiène de vie, pacifier le corps astral en maîtrisant les émotions, dominer le corps mental en dirigeant ses idées vers le bon, le beau, le vrai pour accéder au corps causal, antichambre du corps spirituel, par la pratique de l’intuition, voilà le secret de l’émancipation spirituelle de l’être.
« Il faut changer, sinon quelque chose sommeille en nous qui rarement se réveille. Le dormeur doit se réveiller. »
« Dune »
de Frank Herbert
- Le corps physique, ou corps biologique
- Le corps éthérique (ou corps vital), ou double éthérique
- Le corps astral (ou corps des désirs), ou corps émotionnel
- Le corps mental, ou corps de l’intellect
- Le corps causal, ou corps des causes cachées
- Le corps spirituel, ou corps de la conscience supérieure
- Le corps atmique, ou corps divin
" C'est la lumière de la conscience qui rend tout précieux et extraordinaire. Alors les petites choses ne sont plus petites. Quand une personne avec de la vigilance, de la sensibilité et de l'amour touche un caillou au bord de la mer, ce caillou devient précieux comme un diamant. Plus vous aurez de conscience, plus votre vie aura de profondeur et de sens."
- Le corps physique, ou corps biologique
- Le corps éthérique (ou corps vital), ou double éthérique
- Le corps astral (ou corps des désirs), ou corps émotionnel
- Le corps mental, ou corps de l’intellect
- Le corps causal, ou corps des causes cachées
- Le corps spirituel, ou corps de la conscience supérieure
- Le corps atmique, ou corps divin
" C'est la lumière de la conscience qui rend tout précieux et extraordinaire. Alors les petites choses ne sont plus petites. Quand une personne avec de la vigilance, de la sensibilité et de l'amour touche un caillou au bord de la mer, ce caillou devient précieux comme un diamant. Plus vous aurez de conscience, plus votre vie aura de profondeur et de sens."
Sri Ramana Maharshi
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