été exterminés par les
Extraterrestres
Le professeur Ivan Efremov ne fut pas le premier durant sont vivant a écrire sur ce sujet, mais sa théorie vient de faire jour trente ans après. Paléontologiste et écrivain de renommée mondiale, il n’a pas la réputation de s’adonner à de vaines spéculations ni celle de répandre des canulars pseudo scientifiques.
Bien au contraire, il a toujours été le premier à s’insurger violemment contre les assertions tapageuses et gratuites de certains de ses confrères soviétique ou occidentaux qui avaient trop tendance à confondre, pour le meilleur de leur publicité et le pire de l’honnêteté scientifique, conjectures hardies et utopie douteuse.
Et c’est aujourd’hui ce savant d’une rigueur et d’une intégrité farouche qui lance à voilà trente ans dans le monde scientifique cet inconcevable révélation, qui fait surface aujourd’hui : des extraterrestres ont exterminé les dinosaures depuis leurs engins spatiaux.
Le professeur Efremov a consacré plus de quarante ans de sa vie de paléontologiste à l’étude du mystère des grands sauriens qui peuplèrent notre planète pendant les temps secondaires. Il a exploré, principalement en Asie soviétique, mais aussi dans le monde entier, des centaines de « cimetières ».
Des ossements fossiles sont passés par milliers entre ses mains expertes. Peu à peu, d’année en année, de découverte en révélation, son opinion s’est forgée qu’il peut maintenant exposer au grand jour, preuves à l’appui. L’apparition des dinosaures constitue déjà un problème. Ils se rattachent très difficilement aux formes de vie qui précèdent. Ils surgissent un peu partout sur la majeure partie émergée de la planète.
Sans doute, à l’examen, peut-on leur découvrir certaines affinités avec les oiseaux, en particulier dans la forme du bassin que présentent certains d’entre eux.
Mais il n’empêche que cela ne suffit pas à les en faire dériver et que pour le paléontologiste les sauriens apparurent subitement sans évolution qui les fasse procéder logiquement d’une forme de vie antérieure.
Quand à leur subite disparition, à la même époque et sur l’ensemble de la planète c’est vraisemblablement l’énigme qui détermina le professeur Efremov à consacrer une existence de chercheur au problème des dinosaures.
Dès le début de ses recherches, il fut frappé par le fait que les ossements de sauriens étaient presque toujours groupés en « cimetières ». Ces animaux, comme nos éléphants actuels ou les baleines qui semblent avoir conservé une mystérieuse mémoire ancestrale de la mort, se sont littéralement « réunis » pour mourir.
Leurs ossuaires mis à jour en Asie centrale présentent un incompréhensible mélange d’herbivores et de carnassiers. Théropodes carnivores ou gigantesques sauropodes herbivores sont indifféremment venus mourir côte à côte. On dirait qu’une ultime trêve dans la lutte pour la survie avait réuni victimes et prédateurs.
En 1939, jeune savant frais émoulu de l’Université, Efremov se trouvait en Chine, dans la province du Sikiang où s’ouvrait alors un chantier de fouilles. On mit à jour un cimetière de sauriens d’importance très moyenne mais dont une particularité frappa immédiatement le savant. Tous les crânes entièrement conservés portaient au niveau occipital une ouverture ronde assez analogue à celle qu’aurait laissée une balle de fusil.
Mais à en juger par la régularité de la blessure, il devait s’agir d’un projectile en provenance d’une arme extrêmement efficace, plus puissante en tout cas que les armes connues avant guerre.
Le professeur Efremov consigna minutieusement les faits et expédia les ossements dans le musée auquel ils étaient destinés. Il se garda bien de conclure à une quelconque intervention intelligente dans l’extinction des dinosaures.
Sa conviction de savant n’était pas faite et d’autre part, les procès qui avaient décimé le monde scientifique russe entre 1930 et 1940 n’incitaient pas à l’audace novatrice !
Il poursuivit cependant ses observations. De toutes les expéditions de fouilles organisées par l’Université, il examina systématiquement tous les fossiles mis à jour et la plupart du temps retrouva le mystérieux orifice occipital.
Lorsqu’un crâne fossile solitaire était découvert, il ne portait pratiquement jamais d’orifice dans sa partie inférieure. En revanche, la plus grande majorité des ossements exhumés dans les cimetières de dinosaures portaient la fameuse marque.
Parfois, comme si le tir avait été mal ajusté, l’orifice apparaissait sur les omoplates mais il présentait toujours la même configuration, légèrement ovale et de taille très franche. C’est en 1948 que fut effectuée la découverte en nombre la plus importante. On décida alors la construction de barrages dans la région des monts Tian-Chan, en Asie centrale à des fins d’irrigation et de production hydro-électrique.
Des savants, géologues, paléontologistes et anthropologistes se joignirent aux ingénieurs chargés de transformer la région en chantier titanesque. Ils étaient certains d’assister à de fabuleuses exhumations. De fait on mit à jour un immense cimetière de sauriens large de quatre kilomètres et long d’une bonne dizaine. Tout commença avec la découverte d’un monoclonius dinosaurien en parfait état de conservation et dont le crâne portait la petite blessure ovale.
Il en fut de même pour tous les autres fossiles entassés par milliers dans la vallée, carnivores et herbivores, pétrifiés pêle-mêle. De ce jour mémorable, la conviction du professeur Efremov était faite. Il ne donna cependant guère de publicité à ses conclusions et ce n’est que dans les années 70 qu’il endossa l’entière paternité de son incroyable théorie qu’il avait eu encore l’occasion de vérifier.
Des êtres intelligents ont détruit délibérément les grands sauriens. L’arme utilisée était d’une implacable précision si l’on constate la localisation irrémédiable de l’impact à la base d’une boîte crânienne à cavité cérébrale très exiguë.
Quelle était cette arme ? Un super fusil, un laser, ou quelque autre rayon de la mort... Quoi qu’il en soit, le tir a été effectué depuis un engin volant comme l’indique sans conteste la forme de la blessure et son emplacement.
Pour le savant soviétique, des extraterrestres en exploration sur notre planète exterminèrent systématiquement, et cela sur toute la surface du globe, les sauriens qui gênaient leur éventuelle installation.
Efremov pense qu’ils voulaient protéger de ces monstres certaines cultures ou élevages qu’ils expérimentaient. Par un procédé que nous ne connaissons pas, ils auraient téléguidé les gigantesques reptiles en des points précis et les y auraient exécutés.
On a parlé de rayonnements mortels consécutifs à l’explosion d’une étoile voisine de la Terre, ou une météorite qui aurait anéantie, les dinosaures.
Mais cela n’explique pas l’attroupement titanesque de ces grands animaux en certains points bien précis non plus que le mystérieux orifice occipital. Un même conditionnement aurait-il été appliqué à d’autres époques à d’autres formes de vie dont les rescapés conserveraient immuablement les traces comme les baleines ou les éléphants ?
La jeune génération de savants soviétiques va plus loin que le professeur Efremoy.
Le paléontologue Firsov pense que tout le mystère des dinosaures peut s’expliquer par une intervention extra-planétaire.
Des êtres supérieurement évolués ont décidé d’ensemencer la Terre avec une forme de vie ou une autre.
Les sauriens furent une de leurs tentatives. Ils « manipulèrent » leur évolution ce qui expliquerait la permanence de certaines caractéristiques apparemment aberrantes.
Ils les maintinrent en place durant des millions d’années espérant on ne sait quel résultat.
Et, convaincus de leur échec, ils les exterminèrent méthodiquement depuis des engins volants. Nombreux sont bien entendu les textes mythiques qui nous narrent le massacre des dragons ou des serpents géant à l’aide d’armes divines braquées par des conducteurs de chars célestes.
Ils sont plus particulièrement originaires d’Asie ou d’Amérique latine, continents riches en cimetières de sauriens.
Dans ces textes, les dieux tirèrent les serpents de la boue, les firent grandir par magie, les nourrirent et leur permirent de régner sur la Terre.
Puis les voyant indisciplinés, méchants et destructeurs, ils leur livrèrent bataille et les condamnèrent à dormir, à jamais vaincus sous les montagnes.
Ces chroniques sont-elles un souvenir légendaire des temps révolus où les extraterrestres prenaient-ils notre planète pour champ d’expériences ?
C’est ce que pensent de nombreux savants de l’est comme Efremoy, Zaitsev ou Karantsev.
Ce qu’ils n’ajoutent pas, c’est qu’il n’y a aucune raison pour que les choses aient changé. Il reste à se demander quand et pourquoi nos « expérimentateurs » jugeront que l’expérience a bien assez duré.
La théorie d’Ivan Efremov n’a jamais vraiment fait surface. En 1973, juste après sa mort, un accord entre le monde scientifique et le Vatican, a définitivement enterré sa découverte. Le danger aurait été trop grand pour l’histoire de notre monde.
Tous les rapports, ou écrits sur les véritables travaux, ne sont plus, malgré les nombreux ouvrages réalisés par cet homme hors du commun.
Le 22 avril 2007
Claude Burkel
Ivan Efremov, né le 22 avril 1907, mort le 5 octobre 1972.
À Moscou. Récit et Contes Scientifiques
Auteur Ivan Efremov
Editeur en langues Etrangères Russe
1954. Réf. 5079.882
Le professeur Ivan Efremov ne fut pas le premier durant sont vivant a écrire sur ce sujet, mais sa théorie vient de faire jour trente ans après. Paléontologiste et écrivain de renommée mondiale, il n’a pas la réputation de s’adonner à de vaines spéculations ni celle de répandre des canulars pseudo scientifiques.
Bien au contraire, il a toujours été le premier à s’insurger violemment contre les assertions tapageuses et gratuites de certains de ses confrères soviétique ou occidentaux qui avaient trop tendance à confondre, pour le meilleur de leur publicité et le pire de l’honnêteté scientifique, conjectures hardies et utopie douteuse.
Et c’est aujourd’hui ce savant d’une rigueur et d’une intégrité farouche qui lance à voilà trente ans dans le monde scientifique cet inconcevable révélation, qui fait surface aujourd’hui : des extraterrestres ont exterminé les dinosaures depuis leurs engins spatiaux.
Le professeur Efremov a consacré plus de quarante ans de sa vie de paléontologiste à l’étude du mystère des grands sauriens qui peuplèrent notre planète pendant les temps secondaires. Il a exploré, principalement en Asie soviétique, mais aussi dans le monde entier, des centaines de « cimetières ».
Des ossements fossiles sont passés par milliers entre ses mains expertes. Peu à peu, d’année en année, de découverte en révélation, son opinion s’est forgée qu’il peut maintenant exposer au grand jour, preuves à l’appui. L’apparition des dinosaures constitue déjà un problème. Ils se rattachent très difficilement aux formes de vie qui précèdent. Ils surgissent un peu partout sur la majeure partie émergée de la planète.
Sans doute, à l’examen, peut-on leur découvrir certaines affinités avec les oiseaux, en particulier dans la forme du bassin que présentent certains d’entre eux.
Mais il n’empêche que cela ne suffit pas à les en faire dériver et que pour le paléontologiste les sauriens apparurent subitement sans évolution qui les fasse procéder logiquement d’une forme de vie antérieure.
Quand à leur subite disparition, à la même époque et sur l’ensemble de la planète c’est vraisemblablement l’énigme qui détermina le professeur Efremov à consacrer une existence de chercheur au problème des dinosaures.
Dès le début de ses recherches, il fut frappé par le fait que les ossements de sauriens étaient presque toujours groupés en « cimetières ». Ces animaux, comme nos éléphants actuels ou les baleines qui semblent avoir conservé une mystérieuse mémoire ancestrale de la mort, se sont littéralement « réunis » pour mourir.
Leurs ossuaires mis à jour en Asie centrale présentent un incompréhensible mélange d’herbivores et de carnassiers. Théropodes carnivores ou gigantesques sauropodes herbivores sont indifféremment venus mourir côte à côte. On dirait qu’une ultime trêve dans la lutte pour la survie avait réuni victimes et prédateurs.
En 1939, jeune savant frais émoulu de l’Université, Efremov se trouvait en Chine, dans la province du Sikiang où s’ouvrait alors un chantier de fouilles. On mit à jour un cimetière de sauriens d’importance très moyenne mais dont une particularité frappa immédiatement le savant. Tous les crânes entièrement conservés portaient au niveau occipital une ouverture ronde assez analogue à celle qu’aurait laissée une balle de fusil.
Mais à en juger par la régularité de la blessure, il devait s’agir d’un projectile en provenance d’une arme extrêmement efficace, plus puissante en tout cas que les armes connues avant guerre.
Le professeur Efremov consigna minutieusement les faits et expédia les ossements dans le musée auquel ils étaient destinés. Il se garda bien de conclure à une quelconque intervention intelligente dans l’extinction des dinosaures.
Sa conviction de savant n’était pas faite et d’autre part, les procès qui avaient décimé le monde scientifique russe entre 1930 et 1940 n’incitaient pas à l’audace novatrice !
Il poursuivit cependant ses observations. De toutes les expéditions de fouilles organisées par l’Université, il examina systématiquement tous les fossiles mis à jour et la plupart du temps retrouva le mystérieux orifice occipital.
Lorsqu’un crâne fossile solitaire était découvert, il ne portait pratiquement jamais d’orifice dans sa partie inférieure. En revanche, la plus grande majorité des ossements exhumés dans les cimetières de dinosaures portaient la fameuse marque.
Parfois, comme si le tir avait été mal ajusté, l’orifice apparaissait sur les omoplates mais il présentait toujours la même configuration, légèrement ovale et de taille très franche. C’est en 1948 que fut effectuée la découverte en nombre la plus importante. On décida alors la construction de barrages dans la région des monts Tian-Chan, en Asie centrale à des fins d’irrigation et de production hydro-électrique.
Des savants, géologues, paléontologistes et anthropologistes se joignirent aux ingénieurs chargés de transformer la région en chantier titanesque. Ils étaient certains d’assister à de fabuleuses exhumations. De fait on mit à jour un immense cimetière de sauriens large de quatre kilomètres et long d’une bonne dizaine. Tout commença avec la découverte d’un monoclonius dinosaurien en parfait état de conservation et dont le crâne portait la petite blessure ovale.
Il en fut de même pour tous les autres fossiles entassés par milliers dans la vallée, carnivores et herbivores, pétrifiés pêle-mêle. De ce jour mémorable, la conviction du professeur Efremov était faite. Il ne donna cependant guère de publicité à ses conclusions et ce n’est que dans les années 70 qu’il endossa l’entière paternité de son incroyable théorie qu’il avait eu encore l’occasion de vérifier.
Des êtres intelligents ont détruit délibérément les grands sauriens. L’arme utilisée était d’une implacable précision si l’on constate la localisation irrémédiable de l’impact à la base d’une boîte crânienne à cavité cérébrale très exiguë.
Quelle était cette arme ? Un super fusil, un laser, ou quelque autre rayon de la mort... Quoi qu’il en soit, le tir a été effectué depuis un engin volant comme l’indique sans conteste la forme de la blessure et son emplacement.
Pour le savant soviétique, des extraterrestres en exploration sur notre planète exterminèrent systématiquement, et cela sur toute la surface du globe, les sauriens qui gênaient leur éventuelle installation.
Efremov pense qu’ils voulaient protéger de ces monstres certaines cultures ou élevages qu’ils expérimentaient. Par un procédé que nous ne connaissons pas, ils auraient téléguidé les gigantesques reptiles en des points précis et les y auraient exécutés.
On a parlé de rayonnements mortels consécutifs à l’explosion d’une étoile voisine de la Terre, ou une météorite qui aurait anéantie, les dinosaures.
Mais cela n’explique pas l’attroupement titanesque de ces grands animaux en certains points bien précis non plus que le mystérieux orifice occipital. Un même conditionnement aurait-il été appliqué à d’autres époques à d’autres formes de vie dont les rescapés conserveraient immuablement les traces comme les baleines ou les éléphants ?
La jeune génération de savants soviétiques va plus loin que le professeur Efremoy.
Le paléontologue Firsov pense que tout le mystère des dinosaures peut s’expliquer par une intervention extra-planétaire.
Des êtres supérieurement évolués ont décidé d’ensemencer la Terre avec une forme de vie ou une autre.
Les sauriens furent une de leurs tentatives. Ils « manipulèrent » leur évolution ce qui expliquerait la permanence de certaines caractéristiques apparemment aberrantes.
Ils les maintinrent en place durant des millions d’années espérant on ne sait quel résultat.
Et, convaincus de leur échec, ils les exterminèrent méthodiquement depuis des engins volants. Nombreux sont bien entendu les textes mythiques qui nous narrent le massacre des dragons ou des serpents géant à l’aide d’armes divines braquées par des conducteurs de chars célestes.
Ils sont plus particulièrement originaires d’Asie ou d’Amérique latine, continents riches en cimetières de sauriens.
Dans ces textes, les dieux tirèrent les serpents de la boue, les firent grandir par magie, les nourrirent et leur permirent de régner sur la Terre.
Puis les voyant indisciplinés, méchants et destructeurs, ils leur livrèrent bataille et les condamnèrent à dormir, à jamais vaincus sous les montagnes.
Ces chroniques sont-elles un souvenir légendaire des temps révolus où les extraterrestres prenaient-ils notre planète pour champ d’expériences ?
C’est ce que pensent de nombreux savants de l’est comme Efremoy, Zaitsev ou Karantsev.
Ce qu’ils n’ajoutent pas, c’est qu’il n’y a aucune raison pour que les choses aient changé. Il reste à se demander quand et pourquoi nos « expérimentateurs » jugeront que l’expérience a bien assez duré.
La théorie d’Ivan Efremov n’a jamais vraiment fait surface. En 1973, juste après sa mort, un accord entre le monde scientifique et le Vatican, a définitivement enterré sa découverte. Le danger aurait été trop grand pour l’histoire de notre monde.
Tous les rapports, ou écrits sur les véritables travaux, ne sont plus, malgré les nombreux ouvrages réalisés par cet homme hors du commun.
Le 22 avril 2007
Claude Burkel
Ivan Efremov, né le 22 avril 1907, mort le 5 octobre 1972.
À Moscou. Récit et Contes Scientifiques
Auteur Ivan Efremov
Editeur en langues Etrangères Russe
1954. Réf. 5079.882