Nikola Tesla
Tout
est lumière
« Nous avons deux yeux : le terrestre et le
spirituel. On recommande qu’ils deviennent un seul œil. »
Tout est Lumière. Dans
l’un de ses rayons se trouve le destin des nations. Chaque nation a son propre
rayon dans cette grande fontaine de lumière que nous percevons comme le soleil.
Et rappelez-vous qu’il n’y a aucun homme qui ait existé et qui ne soit mort !
Que se passe-t-il avec
la naissance de l’Univers ? La matière est créée à partir de l’énergie
originelle et éternelle que nous connaissons comme la lumière. Elle brillait et
les étoiles, les planètes, l’homme et tout ce qu’il y a sur la Terre et dans
l’Univers apparurent peu à peu. La matière est une expression des formes
infinies de la lumière, parce que l’énergie est plus vieille qu’elle. Il y a
quatre lois de la Création. La première est que le mental ne peut pas concevoir
ou mesurer mathématiquement la source de tout le plan déconcertant et obscur.
Dans ce plan s’intègre tout l’Univers. La deuxième loi réside dans l’obscurité
expansive, qui est la véritable nature de la lumière, depuis l’inexplicable et
qui est transformée en lumière. La troisième loi est la nécessité de la lumière
de devenir une matière de la lumière. La quatrième loi est : il n’y a ni début
ni fin ; les trois lois précédentes ont toujours lieu et la Création est
éternelle.
Tout est électricité.
D’abord, il y eut la lumière, source sans fin d’où provient le matériel et qui
est distribuée vers toutes les formes que représentent l’Univers et la Terre
avec tous leurs aspects de la vie. Le noir est le véritable visage de la
Lumière, c’est juste que nous ne le voyons pas. C’est une grâce remarquable
pour l’homme et les autres créatures. Chacune de ses particules possède de la
lumière, des radiations, de l’énergie thermique, nucléaire, chimique, mécanique
et une énergie qui n’est pas encore identifie. Elle a le pouvoir de conduire la
Terre sur son orbite. Elle est l’authentique levier d’Archimède.
Extrait de l’entrevue avec NIKOLA
TESLA pour la revue "Immortality" réalisée dans son laboratoire à
Colorado Springs en 1899.
« Nos sens ne nous
permettent de percevoir qu’une infime portion du monde extérieur. Notre ouïe
n’est efficace que sur une courte distance. Notre vue est gênée par le jeu des
corps et des ombres. Pour mieux nous connaître, il nous faut passer au-delà des
perceptions de nos sens. Nous devons transmettre notre connaissance, voyager,
transporter les matériaux et les énergies nécessaires à notre existence. Il
s’ensuit que nous devons reconnaître, sans autre argument, que de toutes les
conquêtes de l’homme, sans exception, la plus désirable, celle qui s’avèrerait
la plus utile pour l’établissement de relations universelles pacifiques, est la
totale annihilation de la distance. »