De l 'intellectuel au spirituel
Les limites de l’entendement humain :
L’entendement humain se limite, de par sa nature même, à ce que connaît l’homme. Au-delà il n’a plus de prise ; c’est pour cela que l’homme ne peut concevoir Dieu et sa création ; le micro ne peut aborder le méga. L’entendement doit permettre à l’homme de se bien connaître, s’il s’en donne la peine, car il faut bien se connaître soi- même pour pouvoir se dépasser.
La fin de la recherche intellectuelle :
La recherche intellectuelle cesse d’elle-même quand l’esprit accède à un nouveau registre qui est celui de l’intuition. Quand l’être est prêt, l’intellect se met en sommeil et l’esprit commence à se réaliser dans l’entité évoluée ; c’est le mode de connaissance le plus complet et définitif qui soit.
La libération des sens par leur maîtrise :
L’être incarné est soumis de par sa nature à une multitude de contraintes diverses : physiques, nerveuses, morales, psychologiques.
Sa volonté est constamment parasitée par ses envies, ses besoins, ses manques, etc.
La seule possibilité pour l’être de se manifester tout à fait librement consiste à maîtriser les sens. Maîtriser les sens ne signifie pas supprimer de façon totale tout appétit sensuel, ce qui ne peut que provoquer un déséquilibre de la personnalité et le désordre des frustrations.Pour maîtriser un sens, il faut le nourrir assez pour qu’il se taise, sans tomber dans l’excès pour ne pas qu’il se développe et s’hypertrophie. Tout est une question d’équilibre, que chacun doit trouver en s’analysant. C’est dans le silence des sens qu’on peut entendre le souffle de l’esprit ; sinon le vacarme des sens rend tout dialogue spirituel impossible.
L’art de la recherche spirituelle :
L’esprit est énergie et il faut savoir apprivoiser sa flamme. C’est comme si l’on devait saisir le feu sans se brûler. Il faut avoir un savoir faire, une technique.
La science de l’esprit nécessite une approche artistique, au sens de recherche et création. Toute recherche spirituelle passe par la création effective qui seule est libération, à la différence de l’intellect qui ne fait que donner des images sans jamais rien créer. L’esprit est en acte ou n’est pas.
L’esprit est comme une fontaine de jouvence ; plus il coule en nous et plus il développe les énergies créatrices de l’être. L’esprit te transporte à travers toute la création en te permettant une hyperactivité de l’intuition. Tu captes tout en un instant ; c’est une saisie immédiate et fulgurante qui t’apporte la vraie connaissance libératrice, celle qui dans ton incarnation même peut t’affranchir du carcan physique qui te limite, t’enferme et t’oppresse.
Etre au monde sans être de ce monde :
C’est une réalité qui doit s’imposer à tout disciple sur la voie.
Immergé dans le monde de la matière, l’être doit faire des expériences dans ce monde où il s’est incarné.
Pourtant il ne doit jamais perdre de vue qu’il est issu de l’esprit et que la matière doit être pour lui un moyen de progression sur la voie de l’évolution et non une fin en soi.
Celui qui sacrifie aux lois de la matière, aux règles du pouvoir, de l’argent, est condamné à l’échec et viendra grossir les rangs des maudits qui reculent au lieu de progresser.
Etre au monde sans être de ce monde, c’est se servir d’ici comme d’un tremplin pour aller ailleurs, vers notre origine. A défaut ce monde se transforme en sable mouvant qui engloutit tout.
L’entendement humain se limite, de par sa nature même, à ce que connaît l’homme. Au-delà il n’a plus de prise ; c’est pour cela que l’homme ne peut concevoir Dieu et sa création ; le micro ne peut aborder le méga. L’entendement doit permettre à l’homme de se bien connaître, s’il s’en donne la peine, car il faut bien se connaître soi- même pour pouvoir se dépasser.
La fin de la recherche intellectuelle :
La recherche intellectuelle cesse d’elle-même quand l’esprit accède à un nouveau registre qui est celui de l’intuition. Quand l’être est prêt, l’intellect se met en sommeil et l’esprit commence à se réaliser dans l’entité évoluée ; c’est le mode de connaissance le plus complet et définitif qui soit.
La libération des sens par leur maîtrise :
L’être incarné est soumis de par sa nature à une multitude de contraintes diverses : physiques, nerveuses, morales, psychologiques.
Sa volonté est constamment parasitée par ses envies, ses besoins, ses manques, etc.
La seule possibilité pour l’être de se manifester tout à fait librement consiste à maîtriser les sens. Maîtriser les sens ne signifie pas supprimer de façon totale tout appétit sensuel, ce qui ne peut que provoquer un déséquilibre de la personnalité et le désordre des frustrations.Pour maîtriser un sens, il faut le nourrir assez pour qu’il se taise, sans tomber dans l’excès pour ne pas qu’il se développe et s’hypertrophie. Tout est une question d’équilibre, que chacun doit trouver en s’analysant. C’est dans le silence des sens qu’on peut entendre le souffle de l’esprit ; sinon le vacarme des sens rend tout dialogue spirituel impossible.
L’art de la recherche spirituelle :
L’esprit est énergie et il faut savoir apprivoiser sa flamme. C’est comme si l’on devait saisir le feu sans se brûler. Il faut avoir un savoir faire, une technique.
La science de l’esprit nécessite une approche artistique, au sens de recherche et création. Toute recherche spirituelle passe par la création effective qui seule est libération, à la différence de l’intellect qui ne fait que donner des images sans jamais rien créer. L’esprit est en acte ou n’est pas.
L’esprit est comme une fontaine de jouvence ; plus il coule en nous et plus il développe les énergies créatrices de l’être. L’esprit te transporte à travers toute la création en te permettant une hyperactivité de l’intuition. Tu captes tout en un instant ; c’est une saisie immédiate et fulgurante qui t’apporte la vraie connaissance libératrice, celle qui dans ton incarnation même peut t’affranchir du carcan physique qui te limite, t’enferme et t’oppresse.
Etre au monde sans être de ce monde :
C’est une réalité qui doit s’imposer à tout disciple sur la voie.
Immergé dans le monde de la matière, l’être doit faire des expériences dans ce monde où il s’est incarné.
Pourtant il ne doit jamais perdre de vue qu’il est issu de l’esprit et que la matière doit être pour lui un moyen de progression sur la voie de l’évolution et non une fin en soi.
Celui qui sacrifie aux lois de la matière, aux règles du pouvoir, de l’argent, est condamné à l’échec et viendra grossir les rangs des maudits qui reculent au lieu de progresser.
Etre au monde sans être de ce monde, c’est se servir d’ici comme d’un tremplin pour aller ailleurs, vers notre origine. A défaut ce monde se transforme en sable mouvant qui engloutit tout.
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