Le temps
« O ! Temps suspends ton vol et vous heures propices suspendez votre cours
Laissez nous savourer les trop brefs délices des meilleurs de nos jours. »
(Alphonse de Lamartine – Le Lac)
« Qu'est-ce, en effet, que le temps ? Qui saurait en donner avec aisance et brièveté une explication ? ... Si personne ne me pose la question, je le sais ; si quelqu'un pose la question et que je veuille expliquer, je ne sais plus. »
« O ! Temps suspends ton vol et vous heures propices suspendez votre cours
Laissez nous savourer les trop brefs délices des meilleurs de nos jours. »
(Alphonse de Lamartine – Le Lac)
« Qu'est-ce, en effet, que le temps ? Qui saurait en donner avec aisance et brièveté une explication ? ... Si personne ne me pose la question, je le sais ; si quelqu'un pose la question et que je veuille expliquer, je ne sais plus. »
(Saint Augustin, Confessions, XI, 14, 17)
Echapper au temps ?
Le temps et l’espace sont des modalités d’organisation de la matière, qui est elle-même de l’esprit coagulé, densifié, pour vous permettre de réaliser des expériences vitales. En remontant à l’esprit, à l’origine, tu neutralises les effets du temps et tu prends pied dans un continuum où passé, présent et futur cohabitent. La durée n’est qu’une illusion, tout comme le décor ; ils sont là pour permettre la mise en scène.
A partir du moment où tu es conscient de ça, tu échappes à l’emprise du temps et de l’espace et tu libères ton entité.
Doit-on parler de vies antérieures ou simultanées ?
C’est difficile à réaliser pour toi, car elles sont à la fois antérieures (dans la mesure où chaque expérience entraîne des répercussions sur celle qui suit) et simultanées (puisque le facteur temps est illusoire et n’existe pas en fait).
Pour simplifier, disons qu’il y a un ordre dans l’agencement de tes incarnations mais qu’il ne correspond pas réellement à celui du temps linéaire auquel tu fais référence. C’est en fait la qualité et la richesse de chaque vie effectuée qui constituent les vrais critères leur conférant un ordre dans ton évolution et que le temps linéaire que tu connais sur terre traduit en succession de vies antérieures.
Prenons un exemple plus parlant : tout corps existant dans le monde a la possibilité de changer d’état en fonction de certaines circonstances qui le déterminent ; un solide peut devenir liquide, puis gazeux et inversement. Si tu assistes à une telle expérience, tu vas la traduire par un ordre temporel qui correspond à ton mental :
le corps était solide (passé), il est devenu liquide (présent) avant de se transformer en gazeux (futur) ; mais, en fait, il est tout ça en même temps. Il est le même dans des manifestations différentes.
Donc, il est juste de parler de vies antérieures dans votre vocabulaire et de multiples états de l’être en réalité. De la même façon, les diverses couleurs que vous connaissez, de l’infra rouge à l’ultra violet, ne sont que des tonalités fragmentaires du blanc qui les englobe toutes.
Il est plus tard que tu ne penses !
Même si le temps est une dimension illusoire, il donne une échelle précise dans le monde physique dans lequel vous évoluez dans la mesure où il est adossé aux cycles naturels qui président à toute évolution de la création.
Je m’explique : dans un monde créé, tout est en mouvement perpétuel, et les rapports de masse, vitesse et énergie se modifient continuellement selon des schémas établis se déroulant dans le sens contraction-expansion-résorption. Il en va ainsi de tout le cosmos ainsi que de la terre, votre planète mère. Le déroulement des cycles équivaut à une vie propre de la planète, qui subit elle-même au-delà les répercussions des cycles des autres composants du cosmos, dans la mesure où tout est lié et solidaire.
La terre se comporte à l’image d’une toupie en mouvement ; plus elle tourne vite et plus elle est stable et dynamique, mais dés qu’elle perd de la vitesse, elle se déséquilibre et menace de s’effondrer. A la différence de la toupie, la terre ne s’arrêtera pas de tourner définitivement. Comme un moteur qui ne tourne plus rond, elle va caler puis redémarrer dans un rythme et un mouvement différent modifiant ainsi sa position et les champs de force qui l’accompagnent. Plusieurs fois déjà depuis sa création, cette opération a eu lieu perturbant l’humanité et inversant les énergies magnétiques. Ces chamboulements sont restés marqués dans votre inconscient collectif sous l’appellation de déluges que mentionnent nombre de vos religions ou légendes.
A l’heure actuelle, la rotation de la terre est ralentie et sa giration se désorganise alors que dans le même temps une énergie nouvelle, très puissante, arrive du cosmos dans son champ gravitationnel. Cette double manifestation a pour effet de provoquer des réactions physiques terrestres lourdes et des réactions psychiques déstabilisantes des êtres qui n’arrivent plus à suivre le nouveau rythme imposé. Tout cela est normal et naturel ; l’humanité s’apprête à entrer dans une nouvelle étape de son évolution et là aussi la sélection du tamis est à l’œuvre.
Il y a beaucoup d’appelés, mais il y aura peu d’élus ; il ne sert à rien de protester ou se lamenter dans la mesure où vous n’avez pas le choix : soit vous vous donnez les moyens de réussir, soit vous serez emportés par la vague. Elle a déjà commencé son œuvre et famines, guerres, cataclysmes, maladies et dépressions en sont les signes avant-coureurs. Mais le rythme va encore s’accélérer et sa puissance décupler. Pourtant, il ne s’agit pas de la fin du monde mais bien plutôt de la fin d’un monde ; à l’image des techniques utilisées en matière de cultures, il s’agit d’arracher pour replanter, de détruire les espèces faibles et malades pour favoriser la croissance et le développement de nouvelles cultures saines et vigoureuses.
La nouvelle humanité est en marche, l’heure n’est pas à la tristesse ou à l’abattement. En deçà d’un certain seuil spirituel, il n’y aura pas de passeport pour la nouvelle terre ; ceux qui seront au-delà continueront l’aventure.
« La Treizième revient... C'est encor la première;
Et c'est toujours la seule, — ou c'est le seul moment…»
Gérard de Nerval – « Artémis »
Echapper au temps ?
Le temps et l’espace sont des modalités d’organisation de la matière, qui est elle-même de l’esprit coagulé, densifié, pour vous permettre de réaliser des expériences vitales. En remontant à l’esprit, à l’origine, tu neutralises les effets du temps et tu prends pied dans un continuum où passé, présent et futur cohabitent. La durée n’est qu’une illusion, tout comme le décor ; ils sont là pour permettre la mise en scène.
A partir du moment où tu es conscient de ça, tu échappes à l’emprise du temps et de l’espace et tu libères ton entité.
Doit-on parler de vies antérieures ou simultanées ?
C’est difficile à réaliser pour toi, car elles sont à la fois antérieures (dans la mesure où chaque expérience entraîne des répercussions sur celle qui suit) et simultanées (puisque le facteur temps est illusoire et n’existe pas en fait).
Pour simplifier, disons qu’il y a un ordre dans l’agencement de tes incarnations mais qu’il ne correspond pas réellement à celui du temps linéaire auquel tu fais référence. C’est en fait la qualité et la richesse de chaque vie effectuée qui constituent les vrais critères leur conférant un ordre dans ton évolution et que le temps linéaire que tu connais sur terre traduit en succession de vies antérieures.
Prenons un exemple plus parlant : tout corps existant dans le monde a la possibilité de changer d’état en fonction de certaines circonstances qui le déterminent ; un solide peut devenir liquide, puis gazeux et inversement. Si tu assistes à une telle expérience, tu vas la traduire par un ordre temporel qui correspond à ton mental :
le corps était solide (passé), il est devenu liquide (présent) avant de se transformer en gazeux (futur) ; mais, en fait, il est tout ça en même temps. Il est le même dans des manifestations différentes.
Donc, il est juste de parler de vies antérieures dans votre vocabulaire et de multiples états de l’être en réalité. De la même façon, les diverses couleurs que vous connaissez, de l’infra rouge à l’ultra violet, ne sont que des tonalités fragmentaires du blanc qui les englobe toutes.
Il est plus tard que tu ne penses !
Même si le temps est une dimension illusoire, il donne une échelle précise dans le monde physique dans lequel vous évoluez dans la mesure où il est adossé aux cycles naturels qui président à toute évolution de la création.
Je m’explique : dans un monde créé, tout est en mouvement perpétuel, et les rapports de masse, vitesse et énergie se modifient continuellement selon des schémas établis se déroulant dans le sens contraction-expansion-résorption. Il en va ainsi de tout le cosmos ainsi que de la terre, votre planète mère. Le déroulement des cycles équivaut à une vie propre de la planète, qui subit elle-même au-delà les répercussions des cycles des autres composants du cosmos, dans la mesure où tout est lié et solidaire.
La terre se comporte à l’image d’une toupie en mouvement ; plus elle tourne vite et plus elle est stable et dynamique, mais dés qu’elle perd de la vitesse, elle se déséquilibre et menace de s’effondrer. A la différence de la toupie, la terre ne s’arrêtera pas de tourner définitivement. Comme un moteur qui ne tourne plus rond, elle va caler puis redémarrer dans un rythme et un mouvement différent modifiant ainsi sa position et les champs de force qui l’accompagnent. Plusieurs fois déjà depuis sa création, cette opération a eu lieu perturbant l’humanité et inversant les énergies magnétiques. Ces chamboulements sont restés marqués dans votre inconscient collectif sous l’appellation de déluges que mentionnent nombre de vos religions ou légendes.
A l’heure actuelle, la rotation de la terre est ralentie et sa giration se désorganise alors que dans le même temps une énergie nouvelle, très puissante, arrive du cosmos dans son champ gravitationnel. Cette double manifestation a pour effet de provoquer des réactions physiques terrestres lourdes et des réactions psychiques déstabilisantes des êtres qui n’arrivent plus à suivre le nouveau rythme imposé. Tout cela est normal et naturel ; l’humanité s’apprête à entrer dans une nouvelle étape de son évolution et là aussi la sélection du tamis est à l’œuvre.
Il y a beaucoup d’appelés, mais il y aura peu d’élus ; il ne sert à rien de protester ou se lamenter dans la mesure où vous n’avez pas le choix : soit vous vous donnez les moyens de réussir, soit vous serez emportés par la vague. Elle a déjà commencé son œuvre et famines, guerres, cataclysmes, maladies et dépressions en sont les signes avant-coureurs. Mais le rythme va encore s’accélérer et sa puissance décupler. Pourtant, il ne s’agit pas de la fin du monde mais bien plutôt de la fin d’un monde ; à l’image des techniques utilisées en matière de cultures, il s’agit d’arracher pour replanter, de détruire les espèces faibles et malades pour favoriser la croissance et le développement de nouvelles cultures saines et vigoureuses.
La nouvelle humanité est en marche, l’heure n’est pas à la tristesse ou à l’abattement. En deçà d’un certain seuil spirituel, il n’y aura pas de passeport pour la nouvelle terre ; ceux qui seront au-delà continueront l’aventure.
« La Treizième revient... C'est encor la première;
Et c'est toujours la seule, — ou c'est le seul moment…»
Gérard de Nerval – « Artémis »
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