Tout se passe comme lors de l’ouverture du diaphragme d’un appareil de photo ; l’opercule disparaît et l’orifice se forme, tel un hublot. La vision n’est pas du tout semblable à celle de la vue physique ; elle provient de l’intérieur et cherche immédiatement à sortir, à s’engouffrer dans le trou béant. Je garde une impression de dynamique, de mouvance, qui tranche avec la stabilité du système oculaire. D’ailleurs, tout bouge d’un mouvement permanent, dans ce troisième œil, aussi bien son centre que ses bords.
Le centre a l’aspect d’une énergie fluide, qui remue et tourbillonne sans cesse, d’une couleur lunaire ; les bords sont irréguliers, comme un tissu déchiré, échancrés et mobiles, d’une teinte laiteuse, au blanc cru. En fait ce mouvement permanent est le plus surprenant de prime abord ; puis, c’est un effet d’attraction que l’on ressent, la volonté d’avancer, de pénétrer dans le puits de lumière en même temps que de l’appréhension ou une certaine crainte d’y aller.
C’est à ce moment-là que l’image se perd et qu’un fond noir tapisse tout, avec quelques scintillements de lumière qui disparaissent aussi vite qu’ils apparaissent. Tout se passe comme si on voulait nous montrer que c’est là, en nous, que ça existe bel et bien mais qu’on n’est pas encore prêt à s’en servir, du moins consciemment et de façon régulière, à l’état d’éveil. Car la nuit, pendant le sommeil physique, le troisième œil travaille et offre à la vue étherique tous les mondes que la réalité matérielle de l’incarnation nous masque. Là, on change d’espace, de temps, de mondes, il n’y a plus de limites et l’être retrouvant sa nature originelle échappe aux contraintes de sa vie actuelle.
Alors, comment travailler pour éveiller Ajna, le troisième œil ?
C’est à ce moment-là que l’image se perd et qu’un fond noir tapisse tout, avec quelques scintillements de lumière qui disparaissent aussi vite qu’ils apparaissent. Tout se passe comme si on voulait nous montrer que c’est là, en nous, que ça existe bel et bien mais qu’on n’est pas encore prêt à s’en servir, du moins consciemment et de façon régulière, à l’état d’éveil. Car la nuit, pendant le sommeil physique, le troisième œil travaille et offre à la vue étherique tous les mondes que la réalité matérielle de l’incarnation nous masque. Là, on change d’espace, de temps, de mondes, il n’y a plus de limites et l’être retrouvant sa nature originelle échappe aux contraintes de sa vie actuelle.
Alors, comment travailler pour éveiller Ajna, le troisième œil ?
Il faut pratiquer la concentration et fixer son attention sur la zone frontale située au dessus des sourcils, à la verticale du nez ; au bout d’un certain temps, ou d’un temps certain, une petite pastille, couleur de lune, se dessinera là, qu’il faudra alors arriver à dilater. Et puis la porte s’ouvrira et il faudra alors entrer pour accéder à une nouvelle dimension qui nous permettra de repousser nos limites.
A défaut de réussite, il ne faut pas se décourager et travailler, en concentration, sur la gamme des couleurs dans le but de remonter de l’orange vers le violet en passant par le jaune, le vert et le bleu. Ce travail doit permettre d’élever notre niveau vibratoire en s’adossant à celles des couleurs visionnées et d’accélérer notre progression dans la recherche spirituelle.
Et surtout, ne pas se décourager, et toujours sur le métier remettre son ouvrage ; la réussite est à ce prix. A vouloir aller trop vite, on se condamne à échouer.
Si tu n'allumes pas la lumière, tu resteras toujours dans l'obscurité.
Si tu fais un pas vers eux, tes guides en feront deux vers toi.
Ouvre ton oeil intérieur et tu verras.
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