dimanche 21 juin 2020

J. M. W. Turner


J. M. W. Turner


Une Villa. Clair de lune (Une villa un soir de bal) pour L'Italie de Samuel Rogers, vers 1826–1827 - © Tate

Joseph Mallord William Turner, plus connu sous le nom de William Turner ou de ses initiales J. M. W. Turner (1775-1851), est un peintreaquarelliste et graveur britannique. Initialement de la veine romantique anglaise, son œuvre est marquée par une recherche novatrice audacieuse qui le fait considérer, avec son contemporain John Constable, comme un précurseur de l'impressionnisme.
Renommé pour ses huiles, Turner est également un des plus grands maîtres anglais de paysages à l'aquarelle. Il y gagnera le surnom de « peintre de la lumière ». La plus grande partie des œuvres de Turner est conservée à la Tate Britain.
Wikipedia

« Mon style, c'est l'atmosphère ! »


Autoportrait (vers 1799), Tate Britain de Londres



"Mon travail consiste à peindre ce que je vois, non ce que je sais être là."



Bonneville, Savoie, 1803


Gorges de l’Avon, 1791

"Il a remplacé les espaces limités aux contours précis que l'on trouve dans les paysages des peintres d'autrefois par l'immensité et le mystère des grands spectacles de la terre"

 John Ruskin, critique d'art (1843)

jeudi 18 juin 2020

333 333


333 333
Clin d’oeil
Le chiffre 3 est un nombre parfait qui exprime l’expression de la totalité, de l’achèvement : il ne peut y être ajouté. C’est l’achèvement de la manifestation : l’homme, fils du Ciel et de la Terre, retrouve son unité originelle.
Le code 333 est une triplicité du chiffre 3. Le 333 dans son être inférieur symbolise l’ego, l’émotionnel et le mental ou intellect.
L’être dans sa complétude se révèle par la double triplicité, le 333 dans son être supérieur représente le Cœur, l’Âme et l’Esprit.
La suite 333 333 marque donc l’accomplissement total de l’évolution spirituelle incarnée, le terminus de la quête ici-bas.

lundi 8 juin 2020

Memento mori




Memento mori

"La mort n'est pas l'obscurité
C'est une lampe qui s'éteint car le jour se lève."
 Anonyme

« Souviens-toi que tu vas mourir » dit l’adage.
Oui mais,… tu ne sais ni où, ni quand, ni comment.
Une finalité certaine, des modalités incertaines, le frôlement de l’inconnu.

J’ai toujours eu une conception abstraite, désincarnée, de la mort, si floue et évanescente que je n’arrive pas à avoir de prise dessus et que je finis toujours par suspendre mon examen au bout d’un temps de réflexion plus ou moins long. Mes qualités d’analyse et de synthèse se révèlent vaines dans ce domaine.
Signe d’impuissance ou politique de l’autruche ?
Tactique d’évitement ou fuite en avant ?

Pourtant, j’ai acquis une certitude bien ancrée dans mon for intérieur: je suis persuadé que le niveau de conscience atteint lors du grand passage déterminera la suite des circonstances et l’issue de notre voyage spirituel, car l’âme rejoint tout naturellement un plan énergétique correspondant à sa propre fréquence vibratoire. Un peu comme les affinités électives entre les êtres, chères à Goethe, s'expliqueraient selon les lois de la chimie.

 Le temps passant et l’âge aidant, la sagesse prenant le pas sur la paresse, on se sent d’autant plus concerné que le terme approche. Tout naturellement notre réflexion s’approfondit et notre compréhension s’élargit. On a perdu ce sentiment d’immortalité qui nous habitait, remplacé par une sensation de proximité progressive qui transforme notre comportement intégralement. L’impossible devient possible dés lors qu’on l’envisage.

Une chose est sure : mourir ne relève pas de la réflexion mais de l’action, d’une action spécifique et inédite, parce que immatérielle et inconnue. Nous devons transformer le spectateur craintif en acteur conscient de façon à optimiser les conditions de notre ultime passage.
Contrairement à ce que véhicule notre inconscient collectif
 à son sujet, la mort n’est pas notre disparition ; elle a, en fait, pour mission de nous libérer de l’incarcération de l’âme dans la matière lourde de la troisième dimension et de nous rendre à notre lumière originelle.
Il nous faut partir d’ici, quitter la scène où nous évoluons sur terre, pour découvrir qui nous sommes réellement, de tout temps ; c’est un peu ça mourir, retrouver l’identité de notre être véritable derrière les masques de la vie.
Acta est fabula. Nous quittons la représentation.

La mort est un voyage de retour, un retour à l’origine, à notre état d’avant notre naissance sur terre, une nouvelle étape d’un long parcours garant d’une progression dans notre évolution spirituelle personnelle. Alors, pour obtenir l’expansion de conscience nécessaire à une bonne réalisation du passage, il faut s’entraîner et se préparer à mettre et remettre nos pas dans nos pas, pour toujours refaire le chemin recommencé, sans cesse oublié.

Et surtout, ne pas oublier d’apprendre à mourir avant d’apprendre qu’on va mourir !

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« Pouvons-nous connaître la « fin », qui est la mort, pendant que nous vivons ?
Je veux dire que si nous pouvions savoir, pendant que nous vivons, ce qu’est la mort, nous n’aurions pas de problèmes. C’est parce que nous ne pouvons pas entrer en contact avec l’inconnu pendant que nous vivons, que nous en avons peur. Notre lutte consiste à établir un rapport entre nous-mêmes qui sommes le résultat du connu, et l’inconnu que nous appelons mort.
 Peut-il y avoir une relation entre le passé et quelque chose que l’esprit ne peut pas concevoir et que nous appelons mort ? Pourquoi séparons-nous les deux ? N’est-ce point parce que notre esprit ne fonctionne que dans le champ du connu, dans le champ du continu ?
L’on ne se connaît soi-même qu’en tant que penseur, qu’en tant qu’acteur ayant certains souvenirs de misères, de plaisirs, d’amour, d’affections, d’expériences de toutes sortes ; l’on ne se connaît qu’en tant qu’être continu, sans quoi on n’aurait aucun souvenir de soi-même « étant » quoi que ce soit.
Or, lorsque ce « quoi que ce soit » considère sa fin - que nous appelons mort - surgit en nous la peur de l’inconnu, donc le désir d’englober l’inconnu dans le connu, de donner une continuité au connu. Je veux dire que nous ne voulons pas connaître une vie incluant la mort, mais nous voulons nous persuader qu’un moyen existe de durer indéfiniment. Nous ne voulons pas connaître la vie et la mort, mais nous voulons apprendre à durer sans fin. »

Jiddu Krishnamurti


«Désormais tout est changé. J'ai goûté - comme par mégarde - à la saveur d'être, et tout est changé.
Quelque chose, en moi, n'est pas né avec moi et ne mourra pas avec moi. Par cette certitude, tout est changé.
Il n'y a plus personne à qui reprocher quoi que ce soit - plus personne, non plus, à convaincre de quoi que ce soit...
A l'instant où cesse en moi toute représentation - toute idée "sur" les choses, les voilà qui apparaissent dans leur évidence impérieuse, leur vide lumineux.»

Christiane Singer, Histoire d'âme

«La mort n’est pas aussi terrible que nous nous l’imaginons, nous la jugeons mal de loin, c’est un spectre qui nous épouvante à une certaine distance, et qui disparaît lorsqu’on vient à en approcher de près.»

Buffon

« Les sentiments négatifs, d'anxiété, de peur et de superstition, de désespoir ou de doute, sont en réalité des forces hostiles émanant de mondes extrasensoriels dont les êtres exercent sur les êtres humains des attaques cruelles tout en se nourrissant de leurs effets. Par conséquent, il est nécessaire qu'une personne qui entre dans le monde spirituel ait en premier lieu surmonté la peur, les sentiments d'impuissance, le désespoir et l'anxiété. »

Rudolph Seiner

« Oui, allons, la vie ne se perd pas, elle se déplace. Elle s'élance et se transporte au delà de cet horizon que nous croyons être le cercle de notre existence. Nous avons les cercles de l'infini devant nous. C'est une gamme que nous croyons descendre après l'avoir montée, mais les gammes s'enchaînent et montent toujours, La voix humaine ne peut dépasser une certaine tonalité ; mais, par la pensée, elle entre facilement dans les tonalités impossibles, et, d'octave en octave, l'audition imaginaire, mais mathématique, escalade le ciel. »

George Sand

 "Les hommes n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, ils se sont avisés pour se rendre heureux de n'y point penser.»

Blaise Pascal

 

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La preuve par l'âme : Un polytechnicien démontre notre immortalité - François de Witt




Projets d'âme: Pourquoi sommes nous ici sur terre - François de Witt