mercredi 23 décembre 2009

Bonnes et heureuses fêtes de Noël













Que cette année nouvelle vous apporte la santé,

l'amour, l'accomplissement de vos vœux les


plus chers.





mardi 22 décembre 2009

L’âme est un format multidimensionnel d’énergie




L’âme est un format multidimensionnel d’énergie

...Retranscrit de manière simplifiée, le corps de lumière est notre corps biologique lorsqu’il a perdu en densité dans une proportion donnée, a considérablement élevé sa fréquence et a acquis des fonctions multidimensionnelles.
Il entretient cet état grâce à un plan de construction éthérique dont les fonctions supérieures avaient été désactivées à l’aide d’implants depuis la fin de l’Atlantide, donc depuis 12000 ans...

Dans notre troisième dimension de densité de l’énergie, une âme n’a atteint sa maturité que lorsqu’elle peut intégrer et achever ses leçons du niveau de base dans le but de passer au prochain plan d’apprentissage. Afin de pouvoir comprendre ce que cela signifie, il faut tout d’abord, en somme, savoir ce qu’est une âme. Les exposés suivants n’en donnent forcément qu’une définition rudimentaire.

L’âme est un format multidimensionnel d’énergie. Elle existe sur plusieurs plans et possède de nombreux aspects avec lesquels elle apprend et accumule les expériences jusqu’à ce qu’elle ait atteint la maturité pour l’intégration.
L’intégration signifie que les divers aspects d’une âme, encore appelés Moi parallèles, Moi alternatifs, personnalités partielles ou co-incarnations, commencent à prendre contact entre eux. En outre, ils apprennent à accepter réciproquement le point de vue de chacun et à l’intégrer.



La communication entre ces aspects est établie par le plan de l’Âme dont les modèles de vibration initiaux sont évidemment communs à tous ces Moi parallèles. Ils sont, de cette manière, attirés les uns par les autres.

Le Moi parallèle qui a déjà développé sur le plan physique une grande communication avec l’âme est celui qui exerce l’influence magnétique la plus grande sur tous les autres.


Au cours de ce processus, tous les aspects de l’âme ou personnalités partielles commencent peu à peu à se réunir en un groupe d’âmes.


Cette intégration se produit à l’heure actuelle sur Terre chez de nombreuses personnes. Leurs âmes ont maintenant, volontairement, un aspect sur Terre. Elles se sont donc incarnées dans une personnalité terrestre, car elles veulent à présent réunir et intégrer dans une personnalité terrestre mûre tous leurs aspects qui n’ont pas encore été intégrés. L’autre raison de cette incarnation, c’est la situation de Mahatma qui est actuellement présente sur 383 planètes.

Nos âmes, plus précisément nos sur-âmes, ont sollicité l’aide de l’énergie de Mahatma pour ce processus d’intégration et au moment de la convergence harmonique l’énergie de Mahatma a satisfait à cette requête.

On peut se représenter le processus d’intégration à peu près de la manière suivante :


Nos sur-âmes peuvent être comparées à des artisans et à des teinturiers de la laine qui ont produit, durant des millions d’années et dans de nombreux systèmes solaires, d’innombrables fils de laine (un fil correspond à une vie humaine) de couleur et structure différente. Elles ont maintenant besoin d’experts pour les aider à tisser avec tout ce matériel un tapis exquis aux motifs magnifiques.

Nos âmes ne peuvent pas le faire toutes seules, car elles n’ont plus, contrairement à l’énergie de Mahatma, « à une telle altitude» (fréquence vibratoire la plus haute) de vue d’ensemble.

Je vais à présent m’attarder sur un aspect particulier dans le but d’apporter un peu de précision :


Notre âme véritable, ou surâme, a, pour ainsi dire, son quartier général au sein du centre galactique (voir glossaire). Ou plus précisément, le centre galactique abrite cette âme principale qui envoie au moins douze de ses aspects sur un plan de l’âme directement inférieur. Ce niveau solaire de l’âme dirige alors les cycles d’incarnation du plan de la personnalité au sein des dimensions à densification plus importante, ou bien encore l’apprentissage au niveau de base, jusqu’à ce que l’on puisse résumer et ainsi achever cet apprentissage dans ces dimensions.

Si nous parlons à l’heure actuelle de l’intégration de l’âme on parle en fait, en règle générale, de l’intégration du plan de la personnalité dans le niveau solaire de l’âme suivant et plus élevé, et en fonction de chaque individu et de chaque niveau de développement, du passage au plan galactique de l’âme. Ce passage se fait simultanément ou en suivant. Et c’est ce qui produit actuellement chez de nombreuses personnes.

L’illumination n’est donc pas, dans ce contexte, qu’un simple mot issu du domaine mystique mais elle peut également tout à fait être comprise dans un sens biophysique. En effet, le corps galactique luit et rayonne et ce, avec une clarté et une intensité plus grandes. Ces dernières sont même mesurables. Nous expliquerons plus loin en détails que ce corps galactique peut directement métaboliser la lumière.

L’homme galactique spirituel qui a parfaitement achevé son développement est, avec son entier système des quatre corps, en résonance avec la nouvelle grille magnétique. Du point de vue énergétique il est androgyne, même s’il est incarné par nécessité dans un corps masculin ou féminin. Mais il a réuni en lui les flux d’énergie masculine et féminine en un flux d’énergie idéal.

L’homme galactique
• A le don de clairsensation
• A le don de clairaudience
• A le don de clairvoyance
• Peut communiquer grâce à la télépathie
• Maîtrise la télékinésie
• Maîtrise la téléportation
• Maîtrise la matérialisation et dématérialisation
• Peut rajeunir son corps ou autrement dit ne plus être soumis au processus de vieillissement
• Peut contrôler par la conscience l’action de procréer et de tomber enceinte.
• Ce qui est à cet effet d’un grand secours, c’est que le cerveau de l’homme galactique est activé à 100%, contrairement aux 10 à 15% d’autrefois.
• Cependant, la caractéristique la plus importante, c’est l’ouverture du cœur – véritable indicateur du développement spirituel.


• Beaucoup de qualités mentionnées plus haut peuvent être apprises même lorsque le cœur n’est pas encore vraiment ouvert, ou sont déjà présentes dès la naissance chez certaines civilisations dans d’autres systèmes stellaires.

L’homme galactique a par contre intégré de nombreuses qualités de cœur parmi lesquelles on trouve notamment :
• le courage
• la joie
• l’humilité
• l’humour
• la patience
• le dévouement
• la tolérance
• la sagesse
• la sincérité
• la confiance
• l’harmonie
• la compassion
• la franchise
• la paix intérieure
• la gratitude
• le calme
• l’intention claire
• l’affection
• l’esprit conciliant
• l’estime de soi
• la confiance en soi
• la sensibilité
• la gentillesse
• l’amour gratuit
• l’aptitude à communiquer
• l’aptitude à pardonner

Équilibrer, intégrer et stabiliser, transformer ou faire subir une mutation signifie, quel que soit le mot que vous préférez et réduit à un seul dénominateur, que tous les blocages, types de croyance, toutes les programmations qui vont à l’encontre des qualités de cœur mentionnées sont effacés dans la conscience. Ces programmations dont il faut nous débarrasser sont des types de croyances ou des dogmes que nous avons adoptés au cours de nombreuses incarnations sur le plan physique ou déjà auparavant.

C’est lorsque nous nous retrouvons dans des situations difficiles que nous pouvons le plus facilement reconnaître les dogmes qui ne nous sont plus utiles. L’homme crée sa réalité en fonction de ses pensées et de ses sentiments, de même qu’en fonction des programmations qui sont dans son subconscient. Personne ne fait l’expérience d’une chose particulière sans qu’il n’ait pour celle-ci un programme de résonance dans son subconscient. C’est une des lois cosmiques les plus importantes que l’être qui est en train de mûrir doit peu à peu comprendre.

C’est pourquoi les situations de la vie dans lesquelles un être humain se retrouve permettent de tirer des conclusions sur les dogmes dont il n’a pas conscience et qui sont à l’origine de ces situations. Des situations d’apprentissage comparativement difficiles se mettront encore et encore en place jusqu’à ce que le type de croyance erronée leur correspondant ait disparu.

Nous-les-Dieux.org/nouveaut
Le Corps de Lumière
(Livre PDF)de
Reindjen Anselmi

Ainsi parlait Jean Klein




Jean Klein (1912-1998) est un auteur et un maître spirituel français, musicologue et médecin de formation.


Jean Klein a dispensé au cours de sa vie en Europe et aux États-Unis un enseignement de la sagesse orientale qui constituerait une approche directe de "la dimension non-mentale de la vie". Il est souvent considéré comme l'un des plus éloquents maîtres de l'Advaïta Védanta du XXe siècle siècle. Il a laissé un important héritage spirituel auquel se réfèrent parfois les enseignants contemporains qui furent ses disciples, notamment Éric Baret, Francis Lucille, Jean-Marc Mantel et David Ciussi.


Selon Jean Klein, c'est seulement dans un "état spontané de silence intérieur que nous pouvons nous ouvrir à notre vraie nature : le « je suis » de la pure conscience" :


Celui qui brûle de connaître sa vraie nature doit d'abord comprendre qu'il s'identifie par erreur aux objets : «je suis ceci», «je suis cela». Toute identification, tout état, est transitoire, par conséquent sans réalité. Identifier le «je » à ceci ou cela est la racine de l'ignorance. Demandez-vous ce qui est permanent au cours de toutes les phases de la vie. Vous découvrirez que la question : «qui suis-je?» n'a pas de réponse. Vous ne pouvez pas expérimenter ce qui est permanent dans une relation sujet/objet comme quelque chose de perceptible. Vous pouvez seulement formuler et expliquer ce que vous n'êtes pas. La continuité que fondamentalement vous êtes ne peut se traduire en mots ou se rationaliser. Être est non-duel, absolue présence sans éclipse, quelles que soient les circonstances. (La Conscience et le Monde) [réf. nécessaire]


Dans son dernier livre "Transmettre la lumière", il abordait le sujet de ses rencontres avec son maître en Inde et les circonstances de son éveil spirituel, qui n'était pas une expérience mystique ou un nouvel état mais selon lui "le continuum de la vie, le non-état à la lumière duquel la naissance, la mort et toute expérience ont lieu."

"L'écoute est notre vraie nature.
L'écoute est désencombrée, libre de toute mémoire. C'est un non-état. L'écoute est un continuum. Tout objet perçu vous ramène à votre vraie patrie, à l'écoute."
"Dans l'écoute vous vivez réellement votre complète absence. C'est seulement dans cette absence complète que vous pouvez sentir votre présence."

« Votre vraie nature n'est ni une chose comme l'âme, ni un état, c'est un flot de vie ininterrompu.
Jean Klein "Transmettre la Lumière" éditions du Relié


Le moins ne peut discerner le plus, la personne est dans l'impossibilité de comprendre étant elle-même une perception.

Je me demanderais à votre place : qui connaît la personnalité ?

Elle est en grande partie composée d'éléments qui assurent la survie en tant qu'individu, de choses apprises, d'éducation, d'expériences.

C'est un produit de la société avec lequel vous vous identifiez.

Je poserais plutôt la question d'une autre manière : quelle est la lumière qui l'éclaire, qui est derrière toute représentation ?

Vous ne trouverez jamais la réponse, mais vous serez saisi par un silence, présence ultime qui se suffit à elle-même.

La Conscience est égale à la présence. Est-ce la même chose ?

Oui, quand nous sommes « présence à la présence » on se sait présence, on se sait conscience. Il n'ya que vision, audition, dans le fait de voir, d’entendre.

Lorsque Vous dites " Je Suis «, le " Je " ne correspond pas à un objet, il est ce que vous êtes, il est conscience.
Cela, vous l'êtes depuis toujours, seulement, sachez-le sciemment. Vivez-le.

Le Pronom " Je " dans " Je suis " est, par excellence, une pensée sans penser qui nous dirige vers notre véritable nature.


Si nous ne l'employons pas avec : « Je suis ceci, ou je ne suis pas cela », il est vécu comme une intuition instantanée, une aperception, notre vrais demeure. Nous sommes alors dans notre absence en tant que personne, et si nous la vivons en tant que présence, nous somme présents dans notre absence. C’est un continuum ...

Jean Klein " A l'écoute de Soi " éditions " Les deux océans "

« Vous pouvez seulement vivre votre pure présence ,qui, toujours, est. »


Peinture de Victor Hugo


Plume, pinceau, encre brune et lavis sur papier crème (357 x 259 mn). Vers 1866.
BNF, Manuscrits, NAF 247452, fol. 382.

La Pieuvre

« La pieuvre n'a pas de masse musculaire, pas de cri menaçant, pas de cuirasse, pas de corne, pas de dard, pas de pince, pas de queue prenante ou contondante, pas d'ailerons tranchants, pas d'ailerons onglés, pas d'épines, pas d'épée, pas de décharge électrique, pas de virus, pas de venin, pas de griffes, pas de bec, pas de dents. La pieuvre est de toutes les bêtes la plus formidablement armée.


Qu'est-ce donc que la pieuvre ? C'est la ventouse. (...)

Une forme grisâtre oscille dans l'eau ; c'est gros comme le bras et long d'une demi-aune environ ; c'est un chiffon ; cette forme ressemble à un parapluie fermé qui n'aurait pas de manche. Cette loque avance vers vous peu à peu. Soudain, elle s'ouvre, huit rayons s'écartent brusquement autour d'une face qui a deux yeux ; ces rayons vivent ; il y a du flamboiement dans leur ondoiement ; c'est une sorte de roue ; déployée, elle a quatre ou cinq pieds de diamètre. Épanouissement effroyable. Cela se jette sur vous.


L'hydre harponne l'homme.


Cette bête s'applique sur sa proie, la recouvre, et la noue de ses longues bandes. En dessous elle est jaunâtre, en dessus elle est terreuse ; rien ne saurait rendre cette inexplicable nuance poussière ; on dirait une bête faite de cendre qui habite l'eau. Elle est arachnéide par la forme et caméléon par la coloration. Irritée, elle devient violette. Chose épouvantable, c'est mou.


Ses nœuds garrottent ; son contact paralyse.


Elle a un aspect de scorbut et de gangrène ; c'est de la maladie arrangée en monstruosité. »

Victor Hugo
"Les Travailleurs de la mer"

lundi 21 décembre 2009

ANNUNAKI




ANNUNAKI


Ceux qui descendaient du Ciel sur la Terre

Les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrit comme des lieux de culte mais des résidences temporaires où les Annunaki venaient séjourner. Les sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom.

Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la "Confrérie du Serpent".

Les Annunaki participaient à l'enrichissement culturels par l'apport de techniques essentiellement agraires (semences, irrigations, aménagements du sol,…), de connaissances astronomiques (position de la ceinture d'astéroïdes qui n'est pas visible,…) ou de nouveaux termes destinés à décrire des objets, des lieux et parfois des concepts.
Il existe un lien fort entre l'existence d'une mythologie et la mise en œuvre d'un système philosophique pour toutes les anciennes civilisations connues. Hors les Sumériens ne possèdent aucun système philosophique. Ils procèdent au cas par cas sans proposer de généralisations. Par conséquent l'intervention des Annunaki dans la société sumérienne ne peut pas se justifier que par de la poésie.


Histoire des Annunaki

Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d'années), la terre, alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées). Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également une très large orbite elliptique (d'une période de révolution égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.

Nibiru (Marduk) tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son origine. L'Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru (Marduk) était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée) suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des aiguilles d'une montre à l'inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil. Les effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors déviés Marduk vers le centre du système solaire, en pleine formation (Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes n'ont sûrement pas été découvertes et un grand nombre et surtout de meilleure qualité).

La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard les Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe. En effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) la coupant en deux. La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa lune principale) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui. L'autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens, le "bracelet martelé" que nous appelons la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. A ce propos, on a repéré des trouées importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes de résonance avec Jupiter (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également justifier par l'orbite d'un important corps planétaire qui l'aurait traversée.

Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à 3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de Nibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde. Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans, les Annunaki / Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l'orbite d'un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d'ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil.

Les gisements d'or sur Nibiru (Marduk) étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus proche). Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des flammes à l'arrière des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour faire le voyage entre les 2 planètes. Ils atterrirent et s'établirent dans une région correspondant à l'Iraq actuel en constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres). Pour trouver de l'or, ils se rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de Madagascar). Des ouvriers Annunaki (les dieux inférieurs comme les désignaient les Sumériens) creusèrent et exploitèrent les premières mines d'or.

Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud vers Nibiru. 100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire. La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui de primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux dieux inférieurs dans te travail minier. Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile. Cette nouvelle espèce de primates devint l'Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d’autres tâches domestiques.


Ea, prince de la terre

William Bramley écrit dans " Die Götter von Eden " sur les Sumériens : " Sur les tablettes mésopotamiennes, la création de l'HOMO SAPIENS est attribué surtout à un " Dieu ". Le nom de ce " Dieu " est EA. Il aurait été le fils d'un roi de ces extra-terrestres qui, dit-on, régnait sur une autre planète appartenant au vaste royaume de cette race extra-terrestre. Le prince EA était connu sous le titre " ENKI " ( le seigneur ou le prince) de la Terre. D'après les textes des Sumériens, le titre d'EA n'était pas tout à fait approprié. Il aurait perdu au profit de son demi-frère " ENLIL " d'immenses territoires de la Terre sur lesquels il régnait, suite à une des innombrables rivalités et intrigues qui préoccupaient apparemment les régnants de cette civilisations extra-terrestres. "

On attribue à EA (ENKI) le prince de la Terre non seulement la "création de l'homme" mais aussi beaucoup d'autres réalisations. Il aurait asséché les marais du golfe Persique pour les remplacer par des terres fertiles, il aurait construit des digues et des bateaux et aurait été un bon scientifique. Par sa création de l'homo sapiens, il donna la preuve qu'il s'y entendait dans la technique génétique, mais, si on en croit les tablettes en argile, cela nécessita beaucoup d'expérimentations. EA (ENKI) aurait été bienveillant avec sa création, l'homo sapiens. D'après les textes de Mésopotamie, EA prit parti pour le nouveau genre humain au conseil des extra-terrestres. Il s'éleva contre beaucoup de cruautés que d'autres extra-terrestres, et parmi eux son frère Enlil, infligèrent aux hommes.

Il ressort des tablettes sumériennes qu'il ne voulait pas faire de l'homme un esclave mais qu'il fut mis en minorité par les autres. Les hommes qui n'étaient pour eux rien d'autre que des bêtes de somme furent traités cruellement par leur maîtres. On parle dans les tablettes de famines, maladies et guerre biologique. Mais comme ce génocide ne faisait pas assez régresser la population humaine, les extra-terrestres décidèrent d'exterminer les hommes en provoquant un grand déluge.


Beaucoup d'archéologues confirment aujourd'hui qu'il y a eu au Proche-Orient un  déluge qui remonte à des millénaires qu'on retrouve non seulement dans les tablettes sumériennes mais aussi dans l'épopée de Gilgamesh et dans l'Ancien Testament. D'après les textes sumériens, EA raconta à un Mésopotamien du nom d'Utnapischtim le plan des autres extra-terrestres et il lui apprit à construire un bateau pour qu'il prenne la mer avec sa famille, quelques artisans, un peu d'or, du bétail et des animaux sauvages. L'histoire de Noé vient, comme beaucoup d'autres histoires de l'Ancien Testament, des écrits plus anciens de la Mésopotamie. Les Hébreux ne changèrent que les noms et instituèrent un seul Dieu dans la religion juive alors qu'il y avait de nombreux dieux dans les écrits originels.

Dans la Bible, écrite en hébreu, chaque mot a une signification tout à fait exacte et nos Bibles en différentes langues ne sont que des interprétations de l'original. En s''intéressant à l'archéologie, aux langues et à l'histoire de l'Orient ancien, aux anciennes mythologies, les légendes des Grecs, des Hittites, des anciens Cananéens et Babyloniens nous arrivons sur les textes sumériens, notés sur des tablettes d'argile. En les traduisant, nous pouvons conclure à une "genèse" sur l’HOMO SAPIENS qui est en contradiction complète avec les conceptions des grandes religions du monde. Elle est, pourtant, scientifiquement la plus compréhensible et la plus logique, de plus, elle est en parallèle avec celle des Tibétains, des Hawaiiens, des aborigènes d'Australie, des Indiens d'Amérique du Nord (Apaches, Hopis et Sioux), des Mayas (d'après le prêtre de la confrérie blanche des Mayas, Miquel Angel).

Mais comment la plupart des mythes et légendes décrivant nos origines racontent le même genre d’histoire, même si toutes les histoires ne sont pas identiques ? Comment expliquer que la plupart des traditions possèdent des récits sur l’implication d’êtres avancés dans la création des premiers êtres humains ou de leurs cultures ?

William Bramley écrit dans "Die Götter von Eden" sur les Sumériens : "Sur les tablettes mésopotamiennes, la création de l'HOMO SAPIENS est attribué surtout à un "Dieu". Le nom de ce "Dieu" est ENKI. Il aurait été le fils d'un roi de ces extra-terrestres qui, dit-on, régnait sur une autre planète appartenant au vaste royaume de cette race extra-terrestre. Le prince ENKI était connu sous le titre EA le seigneur (ou le prince) de la Terre. D'après les textes des Sumériens, le titre d’EA n'était pas tout à fait approprié. Il aurait perdu au profit de son demi-frère ENLIL d'immenses territoires de la Terre sur lesquels il régnait, suite à une des innombrables rivalités et intrigues qui préoccupaient apparemment les régnants de cette civilisations extra-terrestres.

Le clan des EA, dirigés par SIN (de la famille et donc du clan d’ ENKI) voulaient donner aux humains (les esclaves) une aide technique et scientifique, mais ils ont été empêchés par d’autres EA, plus âgés, dirigés par NINURTA (que l’on connaît également sous le nom de YHVH). Les EA vainqueurs punirent ceux qui avaient donné aux hommes les connaissances scientifiques en les éloignant de certains postes importants. Ils les ont appelé les “pécheurs”. Le clan de NINURTA voulait limiter l’accès aux connaissances aux êtres humains et leur cacher la vérité sur les objectifs des Annunaki. Ils ont diabolisé le clan de SIN, comme ENKI dont le symbole était le caducée (deux serpents entrelacés référence à la double hélice de l’ADN). C’est la raison pour laquelle l’EA qui désirait donner la connaissance à Eve dans la Bible a été associé au serpent. Nous retrouvons ce récit dans le livre d’Enoch.

Anton Parks (Antonparks.com ) indique dans son livre "Le secret des Etoiles Sombres" que le haut conseil des Annunaki décida de fabriquer génétiquement les humains pour qu'ils travaillent à la place des dieux. Cette nouvelle race ne sont pas des "A-dam" (des animaux) mais plutôt des "Lùlù" (des hybrides). Enki (EA) dirige les opérations pour le compte de l'Annunaki sous les directives d'Enlil le chef terrestre et représentant de l'annunaki. Mais Enki va modifier le programme de création en rendant le spécimen autonome. Le premier spécimen esclave devait être androgyne, Enki va le couper en deux et ainsi créer l'homme et la femme. Le serpent de la bible est Enki le généticien cloneur, Enlil l'adversaire de Enki est Satan (Le Satam), il veut détruire la fertilité et réduire les jours de l'humanité (comme indiqué sur les tablettes de l'Atrahasis). Le Satam détient tous les pouvoirs, c'est un administrateur. Bien avant les sumériens, les Satams était exclusivement des femmes qui travaillaient dans la vaste région de l'Eden (Mésopotamie). Lorsque les mâles de l'Annunaki ont découvert la puissance sexuelle chez la femme, ils ont voulut emprisonner les femelles afin de prendre leur puissance. Après plusieurs conflits, les prêtresses femelles se sont alors protégées des mâles. Le sexe ayant été banni pendant assez longtemps, l'Annunaki mâle se concentra alors sur la procréation par clonage, participant à l'invention de nouvelles races comme les Gris (des esclaves au service des mâles pour les taches indignent) et autres Hybrides... (Source: Karmapolis.be )

Ea fut banni sur Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer qu'il ne retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes. De " prince de la Terre " il passa " prince des ténèbres " et fut affublé aussi de surnoms horribles tels que prince de l'enfer, incarnation du mal, diable. On le présentait comme le pire ennemi du plus grand être et comme le gardien de l'enfer. On enseigna aux hommes que tout le mal de la Terre était de sa faute et qu'il voulait que les hommes deviennent des esclaves. On exhorta les hommes à le démasquer chaque fois qu'il se réincarnerait et à l'anéantir avec ses créatures s'ils les rencontraient.

Le symbole biblique de l'arbre remonterait à des œuvres mésopotamiennes antérieures à la Bible, comme, celle où on montre un serpent qui s'enroule autour d'un tronc d'arbre, notre symbole actuel du caducée. Le dieu Ninkhishzida, symbolisé par un dragon, un céraste (vipère à cornes) ou un caducée, provenait de l'ancien culte des serpents chez les asianiques. Cela correspondrait aux représentations ultérieures du serpent au jardin d'Eden.

Dans la représentation mésopotamienne, deux fruits sont accrochés à l'arbre. A droite de l'arbre se trouve le symbole d'EA, la demi-lune (le savoir) et à gauche, on voit une planète, symbole d'Anu (la vie). Les EA auraient envoyé un homme vers cet arbre pour qu'il accède àla connaissance. C'est la raison pour laquelle le clan EA d' Enki est présenté comme le soi-disant coupable qui a essayé de montrer au premier homme le chemin de la liberté spirituelle. Ces EA se serait révolté non pas contre Dieu (ainsi qu'il est écrit dans la Bible) mais contre les actes cruels des soi-disant dieux. Le clan voulant aider les humains fut banni sur Terre et calomnié par ses adversaires qui voulaient s'assurer qu'il ne retrouverait plus jamais d'adeptes parmi les hommes.

De "Prince de la Terre" il devint "Prince des ténèbres" et fut affublé aussi de surnoms horribles tels que prince de l'enfer, incarnation du mal, diable.

C'est la raison pour laquelle Enki est présenté comme le soi-disant coupable qui a essayé de montrer au premier homme le chemin de la liberté spirituelle. Ea se serait révolté non pas contre Dieu (ainsi qu'il est écrit dans la Bible) mais contre les actes cruels des soi-disant dieux. Malgré leurs intentions visiblement louables, EA, le légendaire, et la confrérie du serpent dans ses débuts ne réussirent pas à libérer les hommes. Il est dit dans des anciens textes mésopotamiens, égyptiens et bibliques que le serpent (la Confrérie du Serpent) aurait été vaincu bientôt par d'autres groupes des extra-terrestres régnants.


La confrérie du serpent

Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA», Prince extra-terrestre de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la "Confrérie du Serpent".

Parmi tous les animaux vénérés par les hommes de la préhistoire, aucun ne l'était de façon aussi marquante et significative que le serpent et cela parce que le serpent était le symbole d'un groupe qui avait acquis une grande influence dans les premières civilisations sur les deux hémisphères de notre planète. Il s'agissait d'une confrérie savante qui s'était donné pour but de répandre des connaissances spirituelles et d'atteindre la liberté au niveau spirituel, c'était la "CONFRERIE DU SERPENT". Elle combattait l'esclavage d'êtres spirituels et essayait de libérer l'humanité, de la servitude des extra-terrestres (le mot originel de la Bible pour serpent, nahash, tire son origine de NHSH, ce qui signifie "déchiffrer, trouver"). Le prince rebelle EA fut le fondateur de cette "Confrérie du Serpent". Dans les anciennes tablettes mésopotamiennes, on lit qu’EA et son père ANU possédaient une grande compréhension éthique et spirituelle. Ce fut précisément ce savoir qui aurait été symbolisé, plus tard, dans l'histoire biblique d'Adam et Eve.

EA, le légendaire, et la confrérie du serpent dans ses débuts ne réussirent pas à libérer les hommes. Il est dit dans des anciens textes mésopotamiens, égyptiens et bibliques que le serpent (la Confrérie du Serpent) aurait été vaincu bientôt par d'autres groupes (des extra-terrestres régnants?). L'histoire montre que la "Confrérie du Serpent", malgré les efforts jusqu'à nos jours de beaucoup d'hommes dévoués et loyaux voulant instituer une véritable réforme spirituelle à l'aide de la fraternité devint avec ses nouveaux maîtres, (les Illuminati aujourd'hui ?) une arme redoutable d'oppression spirituelle et de trahison spirituelle pour tous.

Les tablettes sumériennes témoignent de l'existence, et de l'action sans aucun doute réelle de la "Confrérie du Serpent" et soutiennent donc la thèse d'une conjuration qui aurait débuté longtemps avant que n'existent les Juifs et les francs-maçons à qui on fait, aujourd'hui, volontiers porter la faute. Il est alors facile de comprendre pourquoi le Vatican empêche par tous les moyens non seulement la publication des inscriptions des dalles de pierre de l'île de Pâques qui relatent la genèse de l'homme ou celle des rouleaux de papyrus de Qumran (de la mer Morte). Ces dalles et ces manuscrits de la mer Morte apporteraient la preuve que la Bible actuelle a été falsifiée dans des points essentiels pour satisfaire les intérêts égoïstes de quelques puissants personnages.


Annunaki & Nefilim

Pour paraphraser Zecharia Sitchin, nombre de savants n'ont en fait aucune idée de l'identité des sumériens (la civilisation qui précéda les Babyloniens), de leur origine et surtout du comment et du pourquoi de la naissance et de l'éclosion de cette civilisation qui s'est installée à peu de choses près là où se trouve l'Irak actuelle. Celle-ci apparut soudainement comme surgie de nulle part vers 3800 ans avant JC. Plusieurs éminents archéologues tels H. Frankfort, Pierre Amiet, Leo Oppenhein etc sont tous frappés de stupeur et d'admiration face à cette explosion soudaine, “ extraordinaire ”, “ époustouflante ”, “ cette période incroyablement courte pendant laquelle une civilisation a surgi ”, une civilisation qui donnera naissance à toutes les grandes civilisations du monde, selon Joseph Campbell auteur des “Masks of God”. Personne donc n'explique pourquoi une civilisation aussi sophistiquée, dotée d'une véritable organisation sociale s'adonnant au commerce, à la guerre et aux jeux du pouvoir ait surgit d'un seul coup au milieu d'une région habitée par des nomades primitifs vivant de chasse et de cueillette, une civilisation, qui, nous le répétons, constitue la racine sur laquelle la nôtre s'est déployée.

La réponse est devant nos yeux ou plutôt devant les yeux des archéologues et linguistes qui ont examiné les dizaines de milliers de textes sumériens gravés sur des plaquettes d'argile qui nous sont parvenues depuis la fin du 19 e siècle. Les sumériens le disent eux-mêmes dans leurs plaquettes : sans ceux qu'ils nomment les dieux, il n'y aurait pas eu de civilisation, pas d'architecture, pas de lois, pas de commerce, pas de science. Dans le panthéon des nombreux “dieux” sumériens (il y en a 12 principaux aidés par une kyrielle de «dieux» serviteurs, officiers, scientifiques, bâtisseurs, etc. : les fameux Anunnakis).

An ou Anou et son épouse Antou qui résidaient dans une demeure céleste. Anou est le patriarche d'une famille de dieux très remuante, le chef suprême des cieux et de la terre et qui arbitre tous les litiges, donne les sanctions ou récompense selon son bon vouloir. Ce qui est étrange, c'est que pour recevoir et accueillir Anou, les textes soulignent la nécessité de l'édification d'une demeure, d'un temple (suivant des instructions architecturales très précises) et de tout un protocole d'accueil. Étrange pour une créature divine qui devrait normalement avoir la capacité d'apparaître n'importe où et n'importe quand. Il n'en est rien pour les dieux sumériens qui constituent plutôt une famille, un clan aux lignées et à la hiérarchie complexe et nombreuse. Quant à l'édifice appelée explicitement par les sumériens “ la maison qui sert à descendre des cieux ”, il fait plutôt penser à un astroport, à un lieu abritant une technologie et une procédure minutieuse qui permet aux dieux de se manifester. Malheureusement, le texte décrivant par le détail comment Anou et son épouse se manifestent et quels rituels suivis de repas de fêtes doivent être observés ont été détruits, du moins dans la partie la plus intéressante, celle concernant l'arrivée proprement dite d'Anou sur dans son palais terrestre.

Aux côtés d'Anou, une autre figure fondamentale du panthéon sumérien : son fils Enlil dont le nom signifie selon Sitchin, “ le seigneur de l'espace aérien ” qui s'avère être le seigneur du ciel et de la terre. Selon la croyance, Enlil arriva sur terre bien avant qu'elle ne fut colonisée et que ne s'y développe une civilisation. Un texte appelé “L'hymne à Enlil, le bienfaiteur de tout” relate tous les aspects de la civilisation qui ont existé “ grâce aux instructions d'Enlil ”. Donc, ces dieux, plus particulièrement Enlil, ont laissé en un temps reculé des instructions précises pour toutes choses, des sortes de modes d'emploi afin “ qu'on exécute partout ses ordres ”. “ Nulle ville ne serait construite, nulle colonie ne serait fondée; nulle étable ne serait construite, nul parc à moutons dressé; nul Roi ne serait élevé, nul grand prêtre né ”. En d'autres termes, sans ces “dieux” interventionnistes, colonialistes et matérialistes, la civilisation humaine n'aurait pas connu une naissance à partir de rien ainsi que cette brutale accélération. Ce “berger” des hommes autre surnom d'Enlil ressemble en tout point à un éleveur propriétaire d'un cheptel…”humain” aux qualités surhumaines. Ne fut-ce qu'en ce qui concerne la longévité puisqu'il était là avant le temps des hommes et qu'il a présidé à l'édification de leurs villes en ayant pris soin de construire au préalable sa propre cité, Nippour. Enlil serait selon certains savants un personnage à la fois bon et colérique puisqu'il n'hésitait pas à abattre son ire sur les hommes et à les rayer de la carte si ceux-ci lui déplaisaient. Il serait le dieu créateur du fameux déluge biblique.

Enlil avait un frère aîné, Enki qui, à cause d'un tirage au sort qui lui fut défavorable, raconte les chroniques sumériennes, reçut en guise de territoire les mers et les eaux alors qu'en théorie, étant le premier de la lignée, il aurait dû recevoir en gestion le beau morceau du territoire, les terres. Il en conçut une grande jalousie à l'encontre de son frère Enlil ainsi qu'un caractère farouche et rebelle par rapport à Anou, aux autres dieux et à la hiérarchie et donc plus proche des hommes. Selon certains chercheurs, c'est Enki (ou encore Ea, qui signifie maison-eau) qui voulut sauver l'être humain qu'il avait créé et qu'il considérait comme son favori, le fameux Noé mésopotamien. Ingénieur, architecte, Enki est celui qui a initié les hommes à l'élevage et aux techniques de construction moderne (les briques). Enki avait une compagne qui n'était autre que sa demi-sœur, Nihoursag appelée également Ninti (dame de la vie ou dame de la côte) ou Mammu, un nom qui est on ne peut plus explicite. Elle est considérée comme une médecin, infirmière, “ sage femme chef responsable des installations médicales ” (voir la 12 ième planète de Z.Sitchin aux éditions Louise Courteau).

C'est grâce aux instructions et à la “recette” que possédait Enki que Nihoursag créa le premier homme “Adapa” ou “homme modèle” dans lequel certains savants voient le fameux Adama ou Adam biblique. Sa compagne fut conçue par Nihoursag, comme dans la Bible à partir de la côte d'Adapa. Tous ces récits sumériens foisonnent de guerres colossales entre “dieux” qui s'affrontent à l'aide d'engins volants et d'armes crachant des éclairs et du feu, des flèches semblables à des missiles symbolisés par un pictogramme on ne peut plus clair. Les hommes, les Rois et les cités n'existent que par la bonne volonté de ces dieux et sont soumis aux aléas de leurs guerres fratricides et querelles de succession. Ces récits épiques et les 12 “dieux” du panthéon sumérien se retrouvent non seulement dans les Védas, ces textes religieux d'Inde mais aussi dans la Bible. Seuls, les noms et certains détails mineurs changent.

La critique principale qui est faite à Sitchin est d'avoir un parti pris dans la traduction de certains termes, surtout lorsqu'il s'agit d'un exemple parmi d'autres- de traduire des termes comme “Mou” par “machine volante” alors que d'autres chercheurs plus académiques traduisent ce terme par le mot “nom”. Le problème est qu'à bien des égards, la traduction académique réalisée par les chercheurs plus “classiques” que Sitchin ne veut pas dire grand chose (ex: le dieu Zou s'enfuyait dans son “Mou”, soit dans son “nom” ou, selon la traduction de Sitchin, dans “sa machine volante”). A certaines reprises donc, Sitchin opta pour des traductions qui installaient un contexte particulier aux récits sumériens, celui d'une civilisation de l'espace, de dieux pareills à des astronautes dotés d'une technologie incroyable, des as du génie génétique alors que les traducteurs plus classiques établissent avec les chroniques sumériennes, des interprétations symboliques, hermétiques et un peu obscures de ces récits, traduisant sans doute, à l'instar de la mythologie grecque, les liens des hommes avec les forces de la nature et du cosmos. L'existence de nombreux termes en langage sumérien pour désigner un même genre d'objet nous renseigne sur leur culture: ainsi, pour désigner des astronefs, on trouve en sumérien les termes “mou” (ou chambre céleste qui désigne la capsule d'habitation conique qui coiffe le Gir, la partie centrale de la fusée), le terme “Apin"; qui désigne la partie multi étages de la fusée, le terme Shem qui désigne également un engin volant, le terme Zik qui désigne le module de commande avec des combinaisons comme Din.Gir qui signifient littéralement “les justes objets célestes pointus et brillants” ou encore les “pures fusées embrasées”.

Mais nombre de traducteurs “classiques” et de théologiens ennuyés par certains passages se sont contentés de donner des traductions plus allégoriques et souvent bien plus confuses à ces termes qui, jusqu'il y a peu (avant la conquête spatiale) nous étaient vraiment étrangers. Comme nous l'avons mentionné, ils avaient traduit terme “Mou” par le vocable “nom” et lorsqu'un texte sumérien évoquait par exemple le besoin qu'un Dieu avait d'aller dans les cieux avec un “mou”, les traducteurs classiques puisait dans la phrase le genre de signification suivante: “emmener son nom dans les cieux” ou encore “vouloir que son nom retentisse dans les cieux ou devienne célèbre”. Alors qu'il suffisait d'aller au plus simple et d'accepter de voir dans le terme “Mou”, un véhicule. A vous de choisir la version qui vous séduit le plus. Le fait est que les traductions de Sitchin donnent à ces récits épiques une cohérence incroyable. Et l'on comprend mal alors -si ces chroniques étaient purement symboliques ou allégoriques- pourquoi les sumériens se sont échinés à donner une foule de détails matériels et techniques (des coordonnées célestes, des équations, des descriptions d'engins et surtout une carte tout à fait exacte de notre système solaire), ce qui ne cadre pas vraiment avec des textes poétiques, métaphoriques et mystiques. D'autant que les textes sont clairs à propos des pouvoirs des dieux: ceux-ci sont certes contenus dans des armes et des véhicules mais surtout dans “des formules” contenues dans un artefact très concret, “la table des destinées” qui fait à la fois penser dans sa formulation et son usage dans les textes à une banque de données, un ordinateur et un arsenal stratégique.

C'est par cette “table des destinées” contenant de centaines de “formules” relatives à “la royauté”, à la «fonction des prêtres», aux armes, aux procédures légales, à «l'état du scribe», au travail du bois et même à la «prostitution sacrée» et aux instruments de musique que le Dieu détient ses pouvoirs. Il n'est donc pas né avec ceux-ci. Il les détient par le jeu de l'hérédité, au plus près le “dieu” est proche dans la généalogie du “patriarche” et chef de clan Annu, aux plus étendus sont ces pouvoirs et ses territoires. Chaque dieu a une valeur numérique, un peu comme des points de vie dans un jeu de rôle. Quant aux souverains sumériens, du moins pour certains d'entre eux, il s'agit d'hybrides nés de l'union d'un Dieu (ou d'une déesse) et d'un être humain. Ainsi en serait-il du célèbre Gilgamesh (2900 av JC), né d'un père humain et de la déesse Inanna ou Ishtar, arrière petite-fille d'Anou.

Ces “dieux” ou êtres des cieux qui dirigeaient la destinée des sumériens ne se déplaçaient pas uniquement dans des fusées mais également dans des vaisseaux ailés ressemblant à des aigles et qui ne pouvaient être accueillis que dans un bâtiment spécial doté d'un système d'armements très puissants. Les descriptions de ces lieux sont saisissantes. Plus saisissantes encore sont les gravures et les sculptures souvent très anciennes qui montrent des objets technologiques, des représentations de ces dieux volants et des scènes déconcertantes, comme par exemple une sculpture de “déesse“ équipée d'écouteurs, de lunettes de vol et d'une série d'équipements très mystérieux et de boites harnachés autour de son corps par des sangles. De même, sur certaines gravures, on voit clairement le plan de coupe d'un silo abritant une fusée à étages dont on peut voir l'intérieur par transparence. Certains thèmes de ces récits sumériens se retrouvent dans la Bible et Sitchin ne peut s'empêcher de faire le parallèle entre ces êtres “volants” de chair et de sang que sont les innombrables “dieux” sumériens avec les Néfilims de la Bible, un terme qui avait par le passé été abusivement traduit par le vocable “géant”. Des traducteurs plus contemporains ont conservé l'appellation Néfilims que l'on peut traduire par “ ceux qui furent jetés ici bas sur terre ”.

Pour les conspirationnistes comme David Icke, Stewart Swerdlow, Jim Marss ou Fritz Springmeier, ces rois sumériens hybrides, pères fondateurs des lignées de la fraternité babylonienne sont surtout les vrais descendants de ce qu'ils nomment la noblesse noire, la “black nobility”, cette noblesse indo-européenne qui s'est installée par la suite en Europe sous les traits de la noblesse mérovingienne. Cette noblesse sumérienne serait donc les ancêtres des castes aristocratiques qui gouvernent aujourd'hui l'Europe (famille royale britannique mais également les familles belges, hollandaises, etc. de souche allemande ou bavaroise). Ces dieux Anunnaki n'ont pas vraiment quitté la terre mais manipuleraient encore les destinées humaines par le biais des 13 lignées sanguines «Illuminati» (nom d'une société secrète née en Bavière au 18 e siècle) qui plongent toutes leurs racines dans les dieux et Rois sumériens.

De nombreux auteurs, généalogistes et chercheurs ont rédigé des ouvrages parfois bien documentés au contenu plus que troublant qui démontrent cette filiation et la constitution des sociétés secrètes, sectes religieuses, empires industriels et mouvements politiques autour de ces mouvances occultes. A noter aussi que Zacharia Sitchin, l'auteur de ces livres faisant des dieux sumériens, une race extraterrestre créatrice de civilisations, que Sitchin donc est considéré par certains de ces conspirationnistes, plus particulièrement David Icke et Arizona Wilder, comme un membre de cette fraternité occulte, un représentant des Illuminati et que par conséquent, son interprétation comporterait quelques éléments de désinformation.

Mais attention, la thèse très bien étayée développée par Sitchin n'est pas restée une vision marginale de l'histoire de l'humanité : un nombre croissant et non négligeable de chercheurs spécialisés dans l'époque sumérienne , d‘historiens et d'archéologues, convaincus que les travaux de Sitchin étaient valides et que les récits sumériens extrêmement précis racontent des faits réels se sont mis à poursuivre et à approfondir ces recherches : des gens comme Alan F. Alford, R.A Boulay, Neil Freer, Dr Arthur David Horn, le Dr Joe Lewels, C.L Turnage, Lloyd Pye, Sir Laurence Gardner, et William Bramley estiment eux aussi que les textes sumériens dans lesquels les récits bibliques et védiques ont puisé leur inspiration narrent les expéditions d'une race extraterrestre, d'anciens astronautes sur terre avant le déluge (des extraterrestres que l'on a pris pour des dieux, un peu comme les papous dans le culte du Cargo). Nous sommes issus des expériences génétiques de ces visiteurs qui avaient besoin d'une main d'œuvre corvéable et servile pour travailler dans les mines d'or et autres industries de matières premières. Les récits sumériens sont sans ambiguïté à cet égard. Les chercheurs cités plus haut qui ont eu parfois des postes universitaires de renom ont fini par divorcer de l'establishment scientifique. Le Dr Arthur David Horn a démissionné de son poste de professeur en biologie anthropologique de la Colorado State University en 1990 après qu'il eût conclu que les explications conventionnelles sur les origines de l'homme n'étaient qu'un ramassis de «non sens» et que des extraterrestres sont inextricablement mêlés dans l'origine et le développement des humains...


Conclusion

A l'endroit exact mentionné par les tablettes cunéiformes où nous aurions miné de l'or, des archéologues ont trouvé des mines d'or ! Plusieurs d'entre elles sont vieilles d'environ 100.000 ans. On y a retrouvé des ossements sur place correspondant à des primates pré-sapiens et même des restes humains d'il y a 20.000 ans. Aucun anthropologue, aucun paléontologiste ne peut justifier notre présence en ses lieux : l'or, en ce temps-là ne nous était d'aucune utilité car trop mou. Les fouilles n'ont d'ailleurs pas permis de retrouver beaucoup d'ustensiles en or. Pourquoi ces mines et où est l'or?

Des études comparatives de l'ADN ont permis d'affirmer que l'humanité avait pris naissance justement dans cette région du monde, cette vallée où pour les Sumériens nous aurions prospecté de l'or (la femme à l'origine de notre humanité vivait en ces lieux il y a 150000 à 250 000 ans et les généticiens responsables de ces études l'appelèrent Eve).

Dans le langage courant sumérien, un être humain à une acception de servitude : un bon être humain est un homme qui sert bien son maître, son supérieur hiérarchique, et qui le craint. L'étymologie du mot "humain" est antérieure au latin « humanus » et provient de « human » (d'origine britannique). L'un des premiers dieux britanniques (d'origine sumérienne) s'appelait Hu. Il choisit parmi les hommes certains qui le servirent et qui devinrent les hommes de Hu, les humen, les humains. D'ailleurs, en français comme en latin, on pourrait tout aussi bien dire les "mains de Hu".

Les tablettes sumériennes témoignent de l'existence, et de l'action sans aucun doute réelle de la "Confrérie du Serpent" et soutiennent donc la thèse d'une conjuration qui aurait débuté longtemps avant que n'existent les Juifs et les francs-maçons à qui on fait, aujourd'hui, volontiers porter la faute. Il est alors facile de comprendre pourquoi le Vatican empêche par tous les moyens non seulement la publication des inscriptions des dalles de pierre de l'île de Pâques qui relatent la genèse de l'homme ou celle des rouleaux de papyrus de Qumran (de la mer Morte). Ces dalles et ces manuscrits de la mer Morte apporteraient la preuve que la Bible actuelle a été falsifiée dans des points essentiels pour satisfaire les intérêts égoïstes de quelques puissants personnages.

L'histoire montre que la "Confrérie du Serpent" malgré les efforts jusqu'à nos jours de beaucoup d'hommes dévoués et loyaux voulant instituer une véritable réforme spirituelle à l'aide de la fraternité devint avec ses nouveaux maîtres, les Illuminati ? Si cela est la vérité, c'est une arme redoutable d'oppression spirituelle et de trahison spirituelle.

Sources & liens:

Karmapolis.be
Antonparks.com

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Morceaux choisis - Eckhart Tolle




La disparition de la souffrance
par

Eckhart Tolle


Tout est en interrelation: les bouddhistes l'ont toujours su et les physiciens le confirment à présent. Aucun événement n'est isolé, sinon en apparence. Plus nous le jugeons et l'étiquetons, plus nous l'isolons. La globalité de la vie devient fragmentée par notre pensée. Mais c'est la totalité de la vie qui a suscité cet événement, partie intégrante de la trame d'interrelation qu'est le cosmos. En d'autres termes, tout ce qui est ne pourrait être autrement.


Dans la plupart des cas, nous n'avons pas la moindre idée du rôle qu'un événement apparemment insignifiant peut jouer au sein de la totalité du cosmos, mais la reconnaissance de son inévitabilité dans l'immensité de l'ensemble peut vous amener à accepter intérieurement ce qui est, et ainsi, vous réaligner sur l'entièreté de la vie.
***
La vraie liberté et la disparition de la souffrance consistent à vivre comme si vous aviez choisi tout ce que vous ressentez ou vivez en ce moment. Cet alignement intérieur sur le Présent, c'est la disparition de la souffrance.

***
La souffrance est-elle nécessaire? Oui et non. Si vous n'aviez pas souffert comme vous l'avez fait, vous n'auriez ni profondeur humaine, ni humilité, ni compassion. Vous ne seriez pas en train de lire ceci, maintenant. La souffrance casse la coquille de l'ego, et vient un moment où celui-ci a rempli son but.
La souffrance est nécessaire jusqu'à ce que vous preniez conscience de son inutilité.
***
Le malheur a besoin d'un "moi" construit par le mental, avec une histoire, une identité conceptuelle. Il a besoin de temps - le passé et le futur. Lorsque vous retirez le temps de votre malheur, que reste-t-il ? Cet instant tel qu'il est.


Ce peut être un sentiment de lourdeur, d'agitation, de contraction, de colère, ou même de nausée. Ce n'est ni le malheur ni un problème personnel. La douleur humaine n'a rien de personnel. Ce n'est qu'une pression ou une énergie intense ressentie quelque part dans votre corps. Lorsque vous y portez attention, ce sentiment ne devient pas une pensée qui active le "moi" malheureux.
Voyez ce qui se produit lorsque vous vous contentez de laisser monter un sentiment.
***
Beaucoup de souffrance et de malheur surviennent lorsque vous tenez pour vraie chaque pensée qui vous vient en tête. Ce ne sont pas les situations qui vous rendent malheureux. Elles peuvent vous causer de la douleur physique, mais sans plus. Ce sont vos pensées qui vous rendent malheureux, dont vos interprétations, les histoires que vous vous racontez.


"Les pensées que j'ai à présent me rendent malheureux." Cette seule prise de conscience rompt votre identification inconsciente à ces pensées.


Quelle journée de malheur! Il n'a même pas eu la politesse de retourner mon appel! Elle m'a laissé tomber!


Ce sont là des petites histoires que nous nous racontons à nous et aux autres, souvent sous forme de plaintes. Elles sont inconsciemment destinées à augmenter notre sentiment de soi toujours déficient, en nous donnant "raison" et en donnant "tort" à quelqu'un. Avoir "raison" nous place dans une position de supériorité imaginaire et, ainsi, renforce notre faux sentiment de soi, l'ego. Cela crée aussi une sorte d'ennemi: oui, l'ego a besoin d'ennemis pour définir ses frontières, et même la météo peut jouer ce rôle.


L'habitude du jugement mental et la contraction émotionnelle vous mettent en relation personnalisée, réactionnelle, avec les gens et les événements de votre vie. Ce sont là des formes de souffrance que vous vous créez, mais qui ne sont pas reconnues comme telles, car l'ego s'en satisfait, se développant par la réactivité et le conflit.
Comme la vie serait simple sans ces histoires! Il pleut. Il n'a pas appelé. J'étais là. Elle, non.
Lorsque vous souffrez, quand vous êtes malheureux, restez complètement avec ce qui est, au Présent. Le malheur ou les problèmes ne peuvent survivre dans le Présent.
***
La souffrance est déclenchée lorsque vous apposez mentalement à une situation l'étiquette d'indésirable ou de mauvaise. Vous avez du ressentiment face à une situation, et ce ressentiment la personnalise et amène un "moi" réactif.


On a l'habitude de nommer et de cataloguer, mais on peut rompre avec cette manie. Commencez une pratique de " non-étiquetage" par de petites choses. Si vous ratez l'avion, cassez une tasse ou glissez dans la boue, pouvez-vous vous retenir d'appliquer à cette expérience l'étiquette de " mauvaise " ou de " pénible " ? Pouvez-vous immédiatement accepter l'instant tel qu'il est?


Le fait de donner à une chose l'étiquette de "mauvaise" provoque en vous une contraction émotionnelle. Lorsque vous la laissez être, sans la qualifier, un pouvoir énorme est soudain mis à votre disposition.
La contraction vous sépare de ce pouvoir, du pouvoir de la Vie même.
Ils ont mangé du fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.


Dépassez le bien et le mal en vous empêchant de donner à quoi que ce soit l'étiquette mentale de "bon" ou de "mauvais". Lorsque vous dépassez l'habitude d'étiqueter, la force de l'univers passe par vous. Lorsque vous êtes en relation non réactive avec des expériences, ce que vous auriez appelé "mauvais" reçoit un redressement rapide, sinon immédiat, par la force de la Vie même.


Observez ce qui a lieu lorsque vous n'utilisez pas l'étiquette de "mauvaise" et que vous choisissez plutôt une acceptation intérieure, un "oui" intérieur, et laissez cette chose être telle qu'elle est.
***
Quelle que soit votre situation dans la vie, comment vous sentiriez-vous si vous l'acceptiez telle quelle - dès maintenant ?
***
Bien des formes de souffrance, subtiles et moins subtiles, sont si "normales" qu'on ne les reconnaît pas habituellement comme étant de la souffrance. Elles peuvent même donner l'impression d'être satisfaisantes pour l'ego - l'irritation, l'impatience, la colère, un ennui avec quelque chose ou quelqu'un, le ressentiment, le fait de se plaindre.


Vous pouvez apprendre à reconnaître toutes ces formes de souffrance à mesure qu'elles se présentent, et savoir: en ce moment, je suis en train de me faire souffrir.
Si vous avez l'habitude de vous faire souffrir, vous êtes probablement à faire souffrir les autres aussi. Ces schémas mentaux inconscients ont tendance à disparaître lorsqu'on les rend conscients, lorsqu'on en prend conscience dès qu'ils surviennent.
Vous ne pouvez à la fois être conscient et vous faire souffrir.
***
Voici le miracle : derrière chaque condition, personne ou situation apparemment " mauvaise " se cache un bienfait plus profond. Ce dernier se révèle à vous - en vous et à l'extérieur - par l'acceptation de ce qui est.


"Ne t'oppose pas au mal" est l'une des plus grandes vérités de l'humanité.


Dialogue:
• Accepte ce qui est.
• Je ne peux vraiment pas. Je suis agité et en colère à ce sujet.
• Alors, accepte ces sentiments.
• Accepter d'être impatient et en colère ? De ne pas pouvoir accepter?
• Oui. Mets de l'acceptation dans ta non-acceptation. Mets du lâcher-prise dans ta rigidité. Puis, vois ce qui se produit.
***
La douleur physique chronique est l'un des maîtres les plus sévères que vous puissiez avoir. Son enseignement se résume à ceci: "Inutile de résister."


Rien n'est plus normal que de s'opposer à la souffrance. Mais si vous pouvez laisser tomber cette opposition, et plutôt permettre à la douleur d'exister, vous remarquerez peut-être une subtile séparation intérieure par rapport à la douleur, un espace entre vous et elle, pour ainsi dire. Cela signifie une souffrance consciente, volontaire. Lorsque vous souffrez consciemment, la douleur physique peut rapidement consumer l'ego en vous, puisque ce dernier est surtout fait de résistances. Il en va de même pour l'incapacité physique extrême.
Lorsque vous "offrez votre souffrance à Dieu ", c'est une autre façon d'exprimer la même chose.
***
Il n'est pas nécessaire d'être chrétien pour comprendre la vérité universelle profonde que renferme sous forme symbolique l'image de la croix.


La croix est un instrument de torture. Elle représente la souffrance, la contrainte et l'impuissance extrêmes pour un humain. Soudain, cet humain lâche prise, souffre volontairement, consciemment, comme l'expriment ces paroles: "Que ta volonté soit faite, et non la mienne." À cet instant, la croix, instrument de torture, montre sa face cachée: c'est aussi un symbole sacré, celui du divin.


Ce qui paraît nier à la vie toute dimension transcendantale devient, par le lâcher-prise, une entrée dans cette dimension.


Extraits de son livre QUIÉTUDE, p. 99 à 107
Ariane Éditions, 2003

Peinture de Victor Hugo


V. Hugo


Le phare d’Eddystone (1866)


Plume et lavis d’encre brune. Paris, Maison de Victor Hugo © photo Roger-Viollet

"Au dix-septième siècle un phare était une sorte de panache de la terre au bord de la mer. L'architecture d'une tour de phare était magnifique et extravagante. On y prodiguait les balcons, les balustres, les tourelles, les logettes, les gloriettes, les girouettes. Ce n'étaient que mascarons, statues, rinceaux, volutes, rondes-bosses, figures et figurines, cartouches avec inscriptions. "


Pax in bello, disait le phare d'Eddystone.
(L'Homme qui rit)

« C'est une triste chose de penser que la Nature parle et que le genre humain n'écoute pas »

« L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir. "
Victor Hugo

vendredi 18 décembre 2009

Le cerveau, sanctuaire de la tête




Le cerveau,

sanctuaire de la tête

Ces extraits de textes qui suivent dans cette rubrique sur le cerveau ont pour objectif de montrer "l'anatomie" subtile du cerveau. Certains termes peuvent vous paraitre étranges mais vous pouvez en trouver une définition dans le glossaire.


Le système magnétique du cerveau attire le fluide astral magnétique intercosmique :


Votre conscience est formée au moyen de sept centres remplis de fluides magnétique, de fluide astral, qui se trouve dans le sanctuaire de la tête, dans les sept cavités cérébrales. Ils sont nourris par le processus de respiration du système magnétique du cerveau qui attire le fluide astral magnétique intercosmique. Par suite votre état de conscience particulier est dépendant de la qualité et des activités du champ magnétique intercosmique qui nous entoure.


Le médium psychique, le sang mental, se manifeste dans le cerveau matériel :


L’Esprit divin qui est l’Esprit de la Volonté divine, le porteur du Plan divin transmet ses impulsions, ses ordres, au moyen de :
L’ÂME INTELLECTUELLE, ou forme de feu,
Le médium psychique, ou sang mental, qui se manifeste dans le cerveau matériel en tant que FLUIDE NERVEUX, retransmet à :
L’INTELLECT,
ses impulsions (ordres) atteignent l’intellect comme :
MATIÈRE MENTALE,
ce qui veut dire que la volonté construit dans l’intellect la forme-pensée, l’image-pensée préparée, comme introduction à la réalisation de l’ordre.
(Le médium psychique, le sang mental se manifeste dans le cerveau matériel en tant que :
FLUIDE NERVEUX,
qui est donc l’agent transmetteur de la matière mentale du sang mental au cerveau matériel.)


L'état du champ magnétique se projette dans notre cerveau :

Le champ magnétique qui a donné naissance à la nature dialectique fait se développer une série de périodes, donc une marche de l’humanité dans l’espace-temps. Dans cette marche de l’espace-temps, l’homme n’a rien à décider. Il n’a, en lui, aucun degré de liberté. Il est décidé pour l’homme. L’humanité est dirigée. Car l’état magnétique est l’état de conscience et tel état de conscience, tel état de vie ! Ce qui existe dans le champ magnétique se projette dans notre cerveau, se manifeste comme conscience ; et ce qui est en vous comme conscience pousse à la manifestation de la vie. C’est pour cela que vous êtes complètement dirigé par la nature. Vous n’avez rien à décider, on décide pour vous.


Quand le cerveau vit encore uniquement du sang de la naissance :

Lorsqu’une entité, à l’âme renée, s’unit pour la première fois à l’Esprit, à Poïmandrès, un seul des six rayons secondaires du Rayon principal agit en elle pour commencer. C’est ce que veut dire Hermès dans le septième verset :
« Bien qu’en toi n’agisse encore qu’un des six rayons de ton type, profite de cet état pour comprendre l’Essence de Dieu. Car cette influence de l’Esprit septuple, toujours plus active en vous, touche le sanctuaire de la tête et plus spécialement le pouvoir du penser. Et la pensée, la conscience de l’âme, voit l’invisible parce qu’elle n’est pas encore manifestée. Car la pensée précède la manifestation. »
– Quand le cerveau vit encore uniquement du sang de la naissance, comme c’est le cas pour un jeune enfant, il n’est capable d’aucune activité de la pensée. L’activité de la pensée n’est possible pour commencer que lorsque le rayonnement de base du type vient, de l’extérieur, donner cette capacité au cerveau. –
L’éther mental de la nature ordinaire ne permet pas au cerveau de contempler l’imperceptible :
Vous savez peut-être que le sanctuaire de la tête comporte sept cavités ; chez l’homme l’une d’entre elles est toujours plus particulièrement active ; il s’agit surtout ici d’une influence astrale ayant pour effet de libérer l’ether réflecteur, l’éther mental. Dans la nature dialectique nous vivons dans un certain champ astral dont les influences touchent le sanctuaire de la tête, se transforme d’abord en éther mental qui à son tour active les fonctions cérébrales. Mais ne commettez pas l’erreur de croire que cet éther mental de la nature ordinaire permette au cerveau de contempler l’imperceptible, le non-manifesté.
L’homme naturel ne peut ni comprendre ni contempler ce qui n’est pas manifesté, ce qui n’est pas directement connu dans la sphère de perception des sens ordinaires. Il peut, tout au plus, le rechercher. Dans l’état d’être né de la nature l’activité de la pensée, les fonctions cérébrales ne sont donc pas autonomes. En tant qu’homme dialectique, vous ne pouvez pas penser librement.
L’objet de ma concentration, présent et actif dans le centre de mon cerveau :
Reproduisons ici le sobre récit d'un homme qui, obéissant à cette invitation pressante, consacra à l'atome-étincelle-d'Esprit, [la Rose, le Lotus qui est le cœur] un inlassable intérêt et relata ainsi le résultat de sa recherche:
« Suivant le conseil qui m'avait été donné dans une sage intention, j'en vins à fixer invariablement mon attention sur l'atome-étincelle-d'Esprit, et je réussis à garder en moi le sujet de ma constante recherche, même au milieu de mes occupations journalières et même quand des tâches accaparaient toute mon activité mentale sur la ligne horizontale. Je savais que l'objet de ma concentration était toujours présent et actif dans un certain centre de mon cerveau.
A la fin j'étais dans un état tel que j'avais du mal à ne pas devenir la proie d'une obsession, mais je finis par découvrir que ce joyau auquel je m'étais consacré était devenu une possession de mon sang, comme les traits de caractère, les particularités de notre type sont inscrits dans notre sang et s'y manifestent. »


Attraction des douze forces zodiacales sur notre cerveau :

Les douze forces macrocosmiques qui régissent l’univers dialectique sont connues sous le nom de zodiaque. Elles constituent les autorités divines supérieures de notre planète ».


Si nous examinons leurs attractions sur notre personnalité nous voyons qu’elles correspondent :
1°- Aux douze points magnétiques du cerveau ;
2°- Nous les retrouvons dans le firmament magnétique de l’être aural, en relation avec le cerveau.
3° - Autour de notre champ de vie, sphère de la matière et sphère réflectrice nous découvrons douze forces identiques dans le firmament de notre planète. Nous avons donc en commun avec le reste de l’humanité ces douze forces.
4° - Il a le duodécuple zodiaque entourant le système solaire.
Nous nommons ces quatre ‘murs’ les , qui siègent respectivement dans la personnalité, dans l’être aural, dans le champ de vie, dans le système solaire.


La pinéale, l'œil et l'ouïe :

L’œil droit est en relation avec la pinéale et la partie du cerveau qui lui correspond.
Notre organisme sensoriel dépend absolument, en ce qui concerne ses activités et ses pouvoirs, des cinq fluides de l’âme. Notre état d’âme diffère de n’importe quel autre, a sa couleur particulière. Il est donc exact de dire que chacun voit et entend à sa manière.
L'œil
L’œil droit de l’homme est en relation directe avec la pinéale et la partie du cerveau qui lui correspond…
L’œil gauche au contraire est issu du et est en relation avec le penser cérébral ordinaire.
Ajoutons que tout l’appareil raisonnable s’explique, est régi et contrôlé par la vie des convoitises (Désirs), par le corps du désir de l’homme. On peut donc dire que l’œil gauche est dominé par le foie. (Organe par lequel circule le fluide astral).
Nous vous disons tout ceci afin de vous faire voir clairement que l’homme qui n’est pas encore « enflammé par l’Esprit de Dieu » qui n’a pas, par conséquent, encore ouvert son œil droit à la Lumière de la Gnose est en réalité « borgne ».
En effet son œil droit ne peut encore servir à la perception intérieure, car l’accès à la partie du cerveau où se trouve la pinéale passe d’abord par la pituitaire située dans le centre de l’âme (centre psychique).
Les yeux, dans l’embryon humain, naissent du plus profond de la substance du cerveau. Donc, tant que la pinéale n’est pas ouverte à la Lumière gnostique, l’œil droit ne peut ni percevoir, ni allumer cette Lumière.
Mystiquement et gnostiquement parlant, on peut donc dire que l’œil droit fait office d’allumeur de réverbère ou bien stimule la Lumière qui brûle déjà. Ce que nous possédons intérieurement, l’œil droit le cherche, l’attire, le respire comme un oxygène spirituel destiné aux besoins de Lumière de l’organisme.


Pour le plus grand nombre, l’œil droit est l’aide, le subordonné de l’œil gauche. Il est donc, quant à sa véritable fonction, aveugle, inactif.
Le fonctionnement de nos yeux est alors égocentrique, converge vers le moi et le maintient.
De quel côté que nous portions nos regards, l’intention est toujours la recherche de ce qui nous plaît, nous satisfait. Nous nous demandons toujours ce qui peut satisfaire notre moi, ce qui peut servir à notre bien-être.
On pourrait de cette manière avoir contact avec la Gnose et ses mystères, car il n’y a pas sur terre un mortel ou un animal qui ne poursuive la satisfaction de ses convoitises, satisfaction des passions naturelles, délices de la nourriture, bien-être de la vie éternelle, sécurité du nid bien chaud pour y dormir.
Quand elle se sentira traquée par les événements, la masse qui voit de l’œil gauche en viendra à examiner à sa manière ce qu’elle peut tirer de la Gnose et de sa manifestation, pour l’employer au profit de la conservation de son propre état. Cela n’est rien d’autre qu’une recherche naturelle, une exploration de contrées inconnues, une forme de l’instinct de conservation et de protection du moi.
Vous comprenez aisément que ce genre de personnes, qui ne voient pas réellement la Lumière, ne peuvent pas non plus comprendre la Gnose. S’il leur arrive d’approcher la Gnose et ses manifestations, elles sont amenées aux interprétations les plus sottes, aux explications les plus saugrenues, aux plus extravagantes conclusions.
Ce comportement a toujours été pour les serviteurs de la Gnose, un grand danger. La manifestation de l’Esprit est répandue sur toute chair, mais toute chair hélas ! ne peut réagir et voir de la seule manière profitable. Les réactions sensorielles ne conduisent que trop souvent à des situations impossibles.
L'ouïe
Il en est de même pour l’ouïe. L’oreille droite travaille avec l’œil droit, comme l’oreille gauche avec l’œil gauche. Ce que l’œil voit, l’oreille le perçoit.
D’autre part, nous savons que la lumière a une vibration plus haute et plus intense que le son; la première détermine la seconde. Nous voyons d’abord la lumière de l’éclair avant d’entendre le tonnerre.
L’intervention gnostique envers les hommes :

En ce qui concerne l’intervention gnostique envers les hommes, c’est le plus souvent l’ordre contraire qui se présente. Les hommes insensibles à la Lumière peuvent être touchés par la voix. Cette voix n’est cependant pas encore celle de la Lumière même, mais celle de l’École spirituelle, de ses serviteurs et de ses servantes. Quand l’oreille droite n’est pas suffisamment réceptive pour comprendre, tout est perçu par l’oreille gauche, donc communiqué à l’œil gauche, donc au moi naturel.
Le chemin de droite et le chemin de gauche :

Vu l’état biologique naturel des hommes, vous comprendrez la nécessité de la Gnose d’employer la méthode qui consiste à envoyer ses serviteurs de par le monde. Ceux-ci en effet doivent traduire, pour tous les hommes, la signification de la « Voix » et du « Nom », c’est-à-dire la signification de la Force et de l’Intention de la Lumière, en dépit de la voie douloureuse pleine de souffrance et de chagrin que cette mission représente pour eux.
La parole apportée, la clef offerte, celle de la vraie perception sensorielle sont contestées, controversées. Le travail des serviteurs éveille la haine et l’opposition. Ceci est toujours le cas quand ceux qui sont sur le chemin de droite s’adressent à ceux qui sont sur le chemin de gauche et s’accrochent à ce chemin. »


Douze points magnétiques du cerveau
– Dodécuple dieu du cerveau


Les douze éons du zodiaque exerçaient une triple force :
1. sur notre planète;
2. sur chaque micrococosme par le firmament magnétique de l'être aural (les forces zodiacales);
3. sur les douze points magnétiques du cerveau de la personnalité.
Donc, lorsque le candidat qui suit le chemin s'est arraché à l'emprise des éons, a détrôné le dodécuple dieu du cerveau et ainsi établi dans le sanctuaire de la tête un cercle magnétique dodécuple nouveau, les douze éons y ont concrètement perdu un tiers de leur force. Aucune force de la nature dialectique ne peut plus exercer son pouvoir sur lui. «Etre libéré en Christ», <être né de Dieu» et autres expressions mystiques semblables rencontrées dans le Nouveau Testament prennent alors un sens exceptionnel très profond.
Celui qui parvient à accomplir cette première phase du chemin, phase du brisement du moi dans la grâce de la rose, et qui brise le système magnétique de la nature ordinaire auquel il était relié, est à l'instant délivré. Quoique étant toujours un être de cette nature en vertu de son existence même, donc encore dans le monde et à l'intérieur du système des douze éons, il ne rencontre plus le moindre obstacle grâce à cette deuxième naissance sidérale. Il est devenu un enfant de Dieu, libérés à jamais de tous liens.


L’élève brise dans le cerveau le système magnétique ordinaire :

Comment se libérer des autorités de ce monde
Présentons à votre conscience une image claire et nette des développements imminents, et d'ailleurs déjà en cours.
a. - Nous savons maintenant que l'élève qui entre dans la seconde naissance sidérale* brise, dans le cerveau, le système magnétique ordinaire et se libère ainsi de tous liens dialectiques. Quand beaucoup parcourent ce chemin, apparaît la situation que nous avons maintes fois décrite.


* Naissance sidérale: Sphère zodiacale du microcosme
b. - Dans la sphère magnétique des Hiérophantes de Christ, il naît un grand groupe de libérés, quoique demeurant encore sur le plan horizontal du champ de vie dialectique.
c.- Ce groupe développe un champ magnétique nouveau.


d. - Il étend ce champ autour du champ de la vie ordinaire, où se développe à l'instant une série de perturbations magnétiques.
e. - Ces perturbations bouleversent tous les mystères de la magie des archontes des éons.
f. - Et ces perturbations deviennent si dynamiques qu'aucun mystère magique ne peut plus s'accomplir sous quelque rapport que ce soit.
Cette évolution a évidemment des conséquences extrêmement dramatiques. Elle est d'elle-même si révolutionnaire que toutes les complications sociales, politiques et économiques ne sont absolument rien à côté. Pour le comprendre, demandez-vous derrière quels groupes et quels mouvements de ce monde se trouvent les forces magnétiques des archontes et des éons. Après réflexion, vous répondrez: «Derrière tous les groupes et tous les mouvements! »
La totalité des groupes mystiques et religieux, petits ou grands, se qualifiant d'église ou de secte, sont soutenus à l'arrière-plan par les tentacules de la sphère réflectrice, dénommées dans la Pistis Sophia «les archontes de la sphère». Derrière eux se trouve l'échelle entière des diverses hiérarchies. Toutes ces forces régissent et dirigent les masses mystiques et religieuses dans l'intention que vous connaissez: «imiter» le Règne de Christ, ou tout autre manifestation du salut, et ainsi assurer le règne de la grande imposture mystique.
La vraie nature de Dharana, la concentration spirituelle, l'orientation unique.
Une Force vient à nous, qui remplit tout l'univers. Cette Force est active, elle déclenche un processus et enfante le Bien unique. La force de l'adversaire, l'activité de la nature de la mort, et le mal qu'elle fait naître dans le système humain, né de Dieu, n'a rien de comparable au triple Pouvoir divin. Cependant il est logique et nécessaire que vous vous écartiez absolument du triple mal qui est en vous, en la force de rayonnement Christique - afin de vous libérer du sang , de vous libérer du karma, de vous libérer de la nature de la mort, de la matère. Celui qui accepte ce processus, qui abandonne tout ce qui est grossier, négligeable, égocentrique, entre dans une phase très particulière, la phase de l'endura .
Sous ce rapport, nous avons été frappés par les principes du livre « La Voix du Silence », que vous connaissez depuis longtemps, et qui paraissent sous une nouvelle forme dans « Le Silence créateur » de Rohit Mehta.
Lorsque, intérieurement, nous sentons que nous avons assez de ce monde et de cette vie, lorsque nous découvrons que c'est en parcourant le chemin que nous pouvons le mieux aider notre prochain et tous nos semblables, et qu'ainsi nous plantons la hache dans la nature dialectique, se produit alors un certain retrait intérieur. Ce n'est pas une fuite ou une échappée hors du monde des phénomènes. Ce n'est pas un processus de mortification, ni un ascétisme mal compris, qui pousse l'homme à se détacher des perceptions sensorielles de peur qu'elles ne l'induisent en tentation.
N'oublions pas que les tentations ne sont pas provoquées par les objets des sens, mais par les projections dont notre pensée les charge. Les causes de toutes les diversions et séductions ne sont pas les objets des perceptions sensorielles elles-mêmes, mais ce que notre pensée y associe. Tant que ces distractions nous attirent encore, il nous est impossible d'approfondir la vraie nature de Dharana, la concentration spirituelle, l'orientation unique.
Devenu indifférent aux objets des perceptions, l'élève doit rechercher la source des sens, le producteur des pensées, qui éveille l'illusion. Le mental ordinaire est souvent le grand destructeur du réel. Il déforme les faits par ses projections, dont la racine est nos motivations inconscientes. Il faut attaquer et neutraliser ce qui déforme le Réel, c'est-à-dire tout ce qui dévie et voile le rayonnement du noyau microcosmique par des activités générant la confusion, telles qu'associations mentales, motivations et projections. C'est la pensée analytique qui décortique tout froidement.
Le rayonnement du noyau existe néanmoins, mais il peut rester caché à la conscience, comme le soleil derrière les nuages. De même qu'il n'est pas besoin d'éveiller le soleil à la vie, mais seulement que les nuages s'en éloignent, de même le Réel, le Divin, rayonne en pleine gloire dès que l'irréel s'évanouit. Ainsi la disparition de l'irréel et la perception du Réel sont des processus simultanés. Lorsque l'élève cessera d'entendre la voix du multiple... alors seulement il quittera le domaine de l'illusion pour entrer dans le domaine de l'éternel « Être ».
Tout est éprouvé, enregistré et assimilé par notre cerveau en conformité avec notre état d’être propre .
Dans l'Ère du Verseau, un cinquième élément, "l'éther-feu", devra s'ajouter à notre système, en plus des quatre éléments de base que nous connaissons bien l'oxygène, l'hydrogène, l'azote et le carbone. Les quatre éléments de base dont notre personna1ité est construite sont, par suite d'une densification et d'une pollution sans cesse croissantes de notre champ de vie, arrivés à un état tel, qu'il est impossible au cinquième élément de s'y incorporer. C'est pourquoi, l'homme qui veut pouvoir vivre dans l'Ère du Verseau doit d'abord purifier son être et le transformer, avec l'aide des quatre nourritures saintes ou saints éthers, par lesquels les quatre éléments de base retournent à leur état originel. Un homme entièrement nouveau pourra alors se manifester, en harmonie avec les exigences de l'Ère du Verseau.
Cette purification ne consiste pas, vous le comprendrez, en une hygiène extérieure qui n'en est d'ailleurs qu'une conséquence logique, mais en premier lieu, en une purification intérieure de l'homme, la "purification du cœur." Afin d'y parvenir, nous devons tout d'abord modifier notre penser. Si nous nous rendons compte de la nature des pensées qui, tout au long de la journée tourbillonnent dans notre tête, nous devons bien convenir que cela n'est pas très beau. Tout ce qui nous parvient par l'intermédiaire de nos sens est enregistré par notre cerveau et, selon notre personnalité, notre état du sang, nos "lunettes", nous nous faisons une opinion sur tout ce qui est reçu : sur les hommes, sur les livres, sur les nouvelles nous parvenant des mass-médias, sur les circonstances et les hommes au milieu desquels nous vivons; tout est éprouvé, enregistré et assimilé par notre cerveau, en conformité avec notre être propre. C'est ainsi que les pensées nous importunent sans arrêt, et nous oublions totalement que « Cinq minutes de pensées inconsidérées peuvent blesser à mort, notre état d’âme. »


L'intellect doit devenir silencieux :

Pouvons-nous, lorsque nous nous plaçons honnêtement "sous la loupe", dire que nos pensées ne sont pas en majeure partie "inconsidérées" ?
Comment pourrons-nous jamais parvenir à la vraie vie de l’âme, tant que nous ne pourrons les arrêter ?
Cependant, cela nous est demandé !
Non en nous contraignant à des pensées élevées, car cette contrainte susciterait en nous, la violence et des tensions, ce qui produirait certainement l'effet contraire. Notre intellect doit devenir silencieux, en offrande au pur Principe vital, caché dans l'Atome du cœur. Tout en nous doit parvenir au silence, à un repos intérieur absolu, libre de l'effervescence de la vie quotidienne. Recherchez ce repos chaque jour, ne fût-ce que pour un instant très court, en délaissant toute agitation. "Retirez-vous dans votre chambre intérieure", dit l'Évangile, "et priez votre Père qui est dans le secret".
"Dans le secret", détaché de toute vie dialectique, vous Le trouverez. Et Sa Force vous purifiera, vous sanctifiera. Cette liaison consciente avec la Force du Père, amènera la pensée au silence et elle se retournera. Alors "viendra Son Royaume sur vous et en vous". Dans ce silence, vous attirerez le Champ de Lumière qui n'est pas de ce monde, et par la reddition à merci du soi, vous direz « non ma volonté, mais que Ta Volonté s'accomplisse". Par la reddition du soi, Sa Volonté peut opérer en nous, et Il nous donnera Son "Pain quotidien". Sa Force vibrera dans notre être tout entier.


Toutes les dettes, tous les liens karmiques et les liens du sang seront brisés au moment où nous Le rejoindrons et, du plus profond de notre être, nous confesserons que nous aussi, pardonnons aux autres ce qu’ils nous ont infligé selon l'état de leur sang. Car, la Force qui vibre à travers nous purifie tout, libère tout, en sorte que, nous entourerons tout et tous dans un amour impersonnel.
On doit cependant ajouter : "conduis-nous hors de la tentation", car à chaque moment où nous retournons dans la vie ordinaire, les tempêtes nous assaillent de nouveau. Nous ne devons plus les admettre dans notre système, sans quoi la purification déjà acquise serait réduite à néant. C'est pourquoi, nous implorons d'être délivrés du malin, c'est-à-dire : du dialectique en nous, sachant et éprouvant en profonde reconnaissance "qu'en Lui seulement est le Règne, la Force et la Magnificence qui peuvent nous conduire jusque dans l'Éternité".


Si de temps en temps, nous nous détachons ainsi de nos pensées routinières et nous plaçons consciemment dans la juste signification du " Notre Père ", nous serons baptisés de son Eau Vive. Et nous ramenons alors ainsi, les quatre saintes Nourritures, les quatre saints Éthers, les quatre Éléments de base à leur état originel, afin que l'Éther-feu, le cinquième Élément de base de la nouvelle âme, puisse croître. Comme la chaleur du soleil est indispensable à la croissance de la plante, l'âme ne peut vivre que si elle reçoit du cœur du Soleil cet Éther -feu, le Christ vivant. C'est cet Éther de Christ, libéré par tous ceux en qui la nouvelle âme est déjà active et qui sont reliés à l'Esprit, qui saisit l'humanité pour la préparer, à la nouvelle ère du Verseau.
(voir la suite de l’article sur le site)
gnose.free.fr
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