vendredi 22 avril 2011

Nous sommes en guerre

 

 

Nous sommes en guerre 

 

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »

François Mitterrand

 

« …La Terre se rompra dans l'ouest de l'Amérique. La plus grande partie du Japon doit s'effondrer dans la mer. La partie supérieure de l'Europe se trouvera changée en un clin d'œil. De la terre ferme apparaîtra au large des côtes est de l'Amérique. Il y aura des soulèvements dans l'Arctique et l’Antarctique, ce qui amènera des éruptions volcaniques dans les régions torrides. »

(Edgar Cayce, lecture n° 3976-15)

 

Tremblement de terre historique au japon suivi d’un tsunami, le  de 8,9 sur l’échelle de Richter, soit le plus puissant tremblement de terre à avoir frappé le Japon depuis plus de 140 ans, provoquant un incident nucléaire.

J’ai maintenant acquis la certitude que cette catastrophe n’est pas d’origine naturelle mais a bel et bien été sciemment provoquée par l’homme ; c’est bien pour cette raison que ni les capteurs sismographes, ni les satellites d’observation ne l’ont vu arriver. Cet acte s’inscrit dans le programme de destruction de l’humanité mis au point par les Illuminati ; c’est le coup d’envoi de leur guerre sauvage qui va multiplier les carnages en tous genres. Car, ne vous y trompez pas, nous sommes en guerre, celle de cette engeance contre le reste du monde.

Je pense, qu’à court terme, une catastrophe de nature similaire va frapper le sol américain, du côté de l’Arkansas, provoquant un violent tsunami vers les côtes du littoral européen ; et puis, comme dans une réaction en chaine, les séismes et autres catastrophes, plus ou moins naturelles, vont s’abattre sur notre terre, immédiatement suivis de troubles sociaux, guerres civiles avant de voir émerger une troisième guerre mondiale.

 

« Comme nous l'avons si souvent indiqué ici, ce n'est pas le monde, la Terre, les conditions géologiques ni même les influences planétaires qui régissent l'homme. C'est plutôt l'homme qui, par sa soumission aux lois divines, est capable de mettre de l'ordre dans le chaos ; ou s'il les méprise, s'il refuse de s'y associer, peut créer le chaos et ouvrir la porte aux forces qui détruiront son milieu de vie...»

 (Edgar Cayce, lecture n°416-7)

 

 

Après le Japon, HAARP contre les USA?

 « D’ailleurs, on suppute beaucoup pour dire que ce tremblement de terre est l’œuvre de l’armée américaine qui entend punir le Japon de son rapprochement récent avec la Chine et de vouloir construire avec l’ASEAN une régionalisation qui porterait un développement tourné vers les humains et non contre, comme le fait le modèle occidental.
En conséquence, l’armée U.S. aurait activé HAARP le 9 mars ; les preuves existent. De même que les preuves de la volonté américaine de contrôler le climat. A la fin de la guerre froide, ils ont racheté la machine à tremblement de terre des russes et l’ont peaufinée jusqu’à créer HAARP. Par l’envoi de micro-ondes électromagnétiques ciblées, par l’intermédiaire de l’ionosphère sur un point précis, ils peuvent déclencher des secousses sismiques à distance. Ils peuvent même ouvrir des vortex spatio-temporels mais ça c’est une autre histoire.

Mais pourquoi ces fous se tourneraient-ils contre leur peuple?
Parce que tout simplement la FED est en faillite! Elle vient de se mettre sous la protection du trésor U.S. ce qui veut dire que dorénavant ses pertes seront assurées par le contribuable américain! Rien que cela. Et il risque d’y avoir des conséquences désastreuses sur le climat populaire aux USA. Surtout après le vote finalement contre la représentation syndicale au Wisconsin montrant ainsi la détermination de l’oligarchie à supprimer, un à un, tous les pouvoirs dus au peuple.

On le sait, les USA se préparent, depuis quelque temps, à des soulèvements populaires. Mais peut-être que la situation envisagée par le pouvoir U.S. sera de déclencher une catastrophe naturelle de grande ampleur aux USA. Ce pourrait être la Floride, la faille de New Madrid, voire la Californie. Je n’ose imaginer le Yellowstone…
Une catastrophe qui serait tout bénéfice pour le pouvoir U.S.
D’abord, cela souderait le peuple autour de son gouvernement ; ensuite, cela permettrait de faire passer dans la confusion les dernières lois d’exception donnant mandat au président U.S. d’agir comme un dictateur en temps de crise, et celle-ci le vaudra bien, et puis cela permettra de renflouer les industries et les banques qui manquent d’un grand projet d’envergure à financer pour garantir et faire exploser leurs bénéfices.

De plus, tout concorde en ce sens dans le ciel. Demain ce sera la grosse lune, la lune sera toute proche de la Terre avec les conséquences que celle-ci pourra provoquer sur la croûte terrestre, et l’alignement cosmique planétaire est favorablement axé sur le soleil. Ainsi donc un coup de HAARP passerait presque incognito. A voir donc la suite des événements et rester vigilants sur les temps à venir.
2011 s’annonce pleine de rebondissements catastrophiques, et ce n’est pas terminé.

La dictature impérialiste est toujours en action. »



Morceaux choisis - Alan Watts


Alan Watts

Une certaine idée de la réincarnation


« Qui n'a pas la capacité de vivre dans le présent ne peut pas faire de plans valables pour l'avenir. » 

   «  Le véritable amour naît de la connaissance et non du sentiment d'obligation ou de culpabilité. » 

   « Il faut bénéficier d'une révélation particulière pour ressentir l'habituel, le normal, comme étrange, insolite et hautement improbable. » 


« Quel que soit le "je" au-delà, en dessous ou au-dessus du petit cercle lumineux de l'égo, celui-ci va son chemin comme grandissent les os et comme circule le sang: tout se passe sans attention consciente. Et c'est de la même manière que le sentiment récurrent et éternel du "je" se déploie à travers tout le corps de l'univers. Car de même qu'un vol d'oiseaux, un amas de cellules ou un groupe de molécules se déplacent comme s'il n'avaient qu'un seul cerveau, de même l'égo conscient appartient-il au soi universel. Mon sentiment d'être un centre et d'avoir une identité n'est jamais qu'un cas particulier (le cercle éclairé) de l'identité et de la "centralité" de ce soi universel, qui peut apparaître, "je" après "je", sans avoir le moindre besoin du souvenir conscient de chacun d'eux, pas plus que nous n'avons besoin de nous rappeler comment respirer. Etant la totalité de ce qui est, il n'y a aucun point de vue en dehors de ce soi d'où l'on puisse l'observer. Il n'a d'ailleurs pas d'avantage besoin d'être un objet identifié qu'un doigt a besoin de se toucher lui-même ou un œil de se voir.

Simplement, le "je" véritable dans le cercle lumineux, et au-delà, n'est rien moins que tout ce qui est. Je n'existe évidemment qu'en relation avec chaque chose autre que moi qui existe; mais je n'ai pas établi cette relation en venant de quelque extérieur, comme si tout ce qui existe d'autre que moi m'était étranger ou était étranger aux autres. Je n'ai pas surgi dans cet univers comme un oiseau se pose sur une branche, venant de limbes non identifiés. J'ai poussé sur cette branche comme une feuille. Car je suis quelque chose en quoi tout participe, je suis tout un processus, agitant un drapeau appelé "moi" et s'écriant : "Houhou!"

Je n'ai donc plus besoin de me faire de souci pour moi.
(En aucun cas et à aucun niveau).
 Car dans le jeu cosmologique de cache-cache, je suis "Cela". Et je dois laisser aller les choses: les apparences peuvent bien succéder aux apparences, les oublis aux disparitions et aux transformations, et les annihilations à de soudaines explosions dans une lumière de nulle part. Nul besoin de se souvenir, car quelle que soit sa forme, c'est toujours "Je" qui "suis ici", et la mort miséricordieuse est là qui me délivre encore et toujours de l'ennui de l'immortalité. Nul besoin non plus de s'agripper ou de croire à ce "Je suis" éternel, fondamental. Car il est ce qui est: avant lui, pas d'avant, après lui, pas d'après et en dehors de lui, pas de dehors.

Nous conservons l'illusion de vivre dans un monde solide alors qu'en réalité une chaîne de montagnes en granite n'est qu'un réseau diaphane d'énergie électrique.

Mais au fur et à mesure que la conscience de soi progresse de plus en plus vers le cœur des chose, il devient aussi de plus en plus clair que l'âme, le noyau central du soi, est quelque chose que nous partageons tous: et sans qu'il y ait besoin d'une mémoire pour franchir les intervalles, nos incarnations multiformes émergent encore et toujours, comme les fruits en leur saison, chacune étant un rayon de soleil magnifié par une lentille, concentré par le Seul-et-Unique.

Savoir cela revient en termes de jeu de cache-cache, à avoir trouvé le "chez-soi", le "chez-soi éternel" des chrétiens, et la libération de la moksha des hindouistes. Ni l'un ni l'autre ne sont à prendre au sens littéral, soit comme un éternel service religieux d'un côté, soit de l'autre, comme une disparition permanente du monde des formes et des manifestations. Car la mort par laquelle il faut passer pour avoir la vision de Dieu est la mort de la fausse identité, et en se retirant du monde, on ne fait que retirer du jeu, tel personnage particulier, untel, que je prends pour mon seul et unique moi. Quant au reste, l'immense et splendide féerie électrique qu'est l'univers peut continuer sans cesse, même vielle histoire répétée avec une inépuisable inventivité pour la renouveler; couleur, musique, complexité des modèles, beauté et terreur, amour et tragédie, canards dans l'aube d'un lac, mouettes affrontant la tempête, torsades des flammes du foyer, et cette merveille, ce bijou, l'œil qui contemple tout, tout pétri des possibilités sans fin du jeu du oui-et-non. »

"La flèche du temps" de Vladimir Kush

dimanche 17 avril 2011

L'évolution de l'homme


« Tant que l'on n'a pas trouvé intérieurement ce que l'on cherche au-dehors, on passera à côté sans le voir, car le monde extérieur n'est qu'un reflet de notre monde intérieur. Que ce soit la beauté, l'amour, la sagesse, il est presque inutile de les chercher autour de soi si on n'a pas commencé par les découvrir en soi. »
Omraam Mikhaël Aïvanhov

« Est-il besoin de se connaître pour se chercher ? »
Gérard de Nerval

Le développement déséquilibré de l'être humain l'a conduit au bord de sa propre destruction.

Si l'homme ne se transforme intérieurement, par une mutation de son psychisme, il figurera bientôt sur la liste de ces malheureuses créatures qui vivent un million d'année ou plus et disparaissent alors, faute d'avoir pu s'adapter. La question reste toujours posée de savoir si l'évolution de l'homme à partir du singe fut réellement un pas vers la survie de l'espèce ou une étape. Seul le temps pourra le dire.

L'origine de tous les problèmes qu'ils soient grands ou petits, réside dans le psychisme de l'individu.

Depuis plus d'un million d'années que l'homme existe sur cette planète, sa connaissance du monde extérieur a considérablement évolué, il a augmenté son pouvoir et sa capacité à faire face aux calamités naturelles. Intérieurement, dans sa conscience, l'homme n'a pas beaucoup évolué. Il reste très semblable à l'homme primitif - peureux et incertain, formant des groupes (religieux et nationaux), luttant et se préparant à la guerre, se cherchant des avantages et haïssant son prochain. Il est maintenant capable d'aller sur la lune et de communiquer sur tout le globe en quelques minutes, mais il trouve toujours difficile d'aimer son voisin et de vivre en paix. L'homme moderne est brutal, égoïste, violent, avide et possessif comme l'homme primitif d'il y a un million d'années, bien qu'il soit maintenant capables de se cacher derrière de belles paroles et de nobles pensées.
Ce développement déséquilibré de l'être humain l'a conduit au bord de sa propre destruction. Il est à la limite de la guerre nucléaire, dans l'imminence d'une extinction totale. Le pouvoir que lui a donné un savoir grandissant ne s'est pas associé à une intelligence et à une vision appropriées.

 Pourquoi? Pourquoi n'avons-nous pas psychologiquement évolué?
Est-ce parce que nous n'avons pas tourné notre attention vers l'intérieur afin de comprendre notre esprit, nos pensées, nos sentiments?
Nous sommes si satisfaits, si éblouis par nos exploits, nos "progrès" dans notre monde extérieur, que nous avons complètement négligé le monde intérieur de notre conscience. Chez l'homme primitif la haine ne pouvait avoir que peu d'ampleur, la puissance de l'homme moderne la rend bien plus dévastatrice et nous voyons ses conséquences désastreuses tous les jours autour de nous.
Une meilleure organisation de la société pourrait nous sembler être la réponse à ce problème. Mais ceci n'est qu'une illusion profondément enracinée. On ne peut être opposé, bien sûr, à une bonne organisation de la vie de tous les jours; mais il vous est impossible de construire une société pacifique et non-violente avec des millions d'individus qui sont violents, agressifs et égoïstes, quelque soit la façon dont vous y preniez. Si vous avez une société communiste, vous aurez la violence du communisme. Si vous avez une société capitaliste, vous aurez la violence du capitalisme. Vous pouvez d'une certaine manière canaliser la violence, mais elle se manifestera toujours ailleurs. Il y a eu des mouvements de révolutions mais la tyrannie de l'homme par l'homme n'a pas cessé, elle a seulement pris d'autres formes.

Une société véritablement pacifique, non-violente, n'est possible que si l'individu se transforme psychologiquement, fondamentalement. Tout autre changement et superficiel et temporaire. Il ne résoudra jamais les problèmes, il nous permettra seulement de faire face pendant un temps, dans certains cas. La société, c'est ce que l'homme est. De même qu’une barre de cuivre se caractérise par les atomes qui la constituent, de même une société se caractérise par les individus qui la composent. Tous les problèmes que nous voyons dans la société aujourd'hui reflètent les problèmes de la psyché de l'individu. C'est pour cela que nous devons nous préoccuper de la transformation intérieure de l'homme et pas seulement de l'organisation extérieure de la société.

L'individu ne change que lorsque change sa conscience. La vertu ne se pratique pas.

Toutes les religions ont échoué à essayer de changer l'homme. Auraient-elles réussi, nous n'aurions pas aujourd'hui tant de cruauté, de guerres et de haine. Nous devons examiner pourquoi les religions ont échoué à changer l'homme et en tirer la leçon. Selon son essence, chaque religion a prescrit un chemin, un ensemble de vertus à observer et de vices à éviter. Et l'homme a lutté pendant des milliers d'années pour les respecter, mais cela n'a pas marché. La pratique des actes vertueux ne change pas en elle-même la conscience de l'homme. Pratiquer la bonté avec préméditation n'a jamais créer une conscience vertueuse. Cela redevient affaire d'effort, de recherche d'un but dans la vie, d'une méthode en vue d'une autosatisfaction. En même temps, si le cœur est bon, cette bonté s'exprimera dans chaque acte, dans chaque pensée, parole et acte. Il n'est pas alors question de pratique. De même on ne peut pas pratiquer la non-violence, tant que l'on est agressif, haineux, violent intérieurement. Sinon, la non-violence devient une façade, un comportement hypocrite, la manifestation d'un calcul. Ce n'est qu'en observant les causes de la violence en chacun et en les éliminant (non par effort mais à travers une compréhension) que l'on peut venir à bout de la violence. Et quand nous mettons fin à la violence nous n'avons pas besoin de pratiquer la non-violence. Seul un esprit paresseux a besoin de se discipliner!

Donc, la vertu ne peut ni être pratiquée, ni être cultivée ; c'est un état d'esprit, un état de conscience auquel on arrive quand il y a connaissance de soi, compréhension, clarté et vision. On ne peut pas l'atteindre par un effort volontaire. Elle exige une vision pénétrante. Et cette vision pénétrante passe par l'observation, par la réflexion, par l'attention sensible. C'est la perception de la vérité qui libère la conscience de son ignorance et de ses illusions. C'est l'ignorance qui engendre le désordre dans la psyché. Le bien doit être spontané sinon il n'est pas le bien. Tout changement dans le comportement extérieur de l'homme, résultant de la peur, de la contrainte, de la discipline, de la conformité, de l'imitation, et de la propagande ne représente pas un vrai changement dans sa conscience et est à la fois superficiel et contradictoire.


La vérité, la libération et l'illumination ne peuvent s'acquérir par l'intermédiaire d'autrui.

Depuis la nuit des temps, l'homme dépend d'un Guru, d'une religion ou d'un livre pour lui indiquer le chemin. Krisnamurti a montré que la vérité est un pays sans chemin et qu'aucun Guru, aucun chemin, aucune croyance, aucun livre ne peuvent vous y conduire. Il faut être sa propre lumière et ne pas chercher sa lumière auprès d'un autre. Le rôle d'un Guru est simplement de montrer, c'est à l'individu lui-même d'apprendre. Et la capacité d'apprendre est de loin plus importante que celle d'enseigner. Dans ce domaine, personne ne peut vraiment enseigner quoique ce soit à qui que ce soit. Chacun doit arriver à la vérité par lui-même et il lui faut commencer par se connaître. Il est impossible de trouver la vraie réponse à toute question sérieuse sans d'abord comprendre le fonctionnement de son propre processus de pensée, le conditionnement que l'on a acquis de ses propres expériences, traditions, culture, religion, etc. Nos croyances, nos opinions, nos conclusions, nos préjugés nous empêchent de voir les choses dans leur vraie perspective car ils altèrent notre vision. On devrait être conscient de ce fait et mettre en doute chaque conclusion qui vient à l'esprit car elle pourrait ne pas représenter la vérité. Le processus d'apprendre a lieu quand nous cherchons en nous-mêmes de cette manière dans l'intention de chercher la vérité et pas simplement la satisfaction. Et il faut vivre dans cet état de recherche, de questionnement et de doute tout au long de sa vie, sans chercher à parvenir.
Ce que l'on peut recevoir de l'autre est une pensée, une question, mais l'exploration doit être propre à chacun. A moins que vous ne découvriez la vérité par vous-mêmes, elle ne vous appartient pas, ce n'est qu'une description de la vérité. C'est ce qui fait la différence entre le Bouddha et le professeur de philosophie Bouddhiste. Le premier a la vision pénétrante actuelle, la conscience, tandis que le second n'en a que la description. L'homme a souvent pris le symbole, le mot, le concept pour la vraie chose. Le véritable chrétien est celui qui vit selon le sermon sur la montagne (et vous ne pouvez faire cela que si vous avez la conscience du Christ) et non celui qui se rend simplement à l'église pour effectuer tous les rituels. Un vrai bouddhiste est celui qui participe à la conscience du Bouddha et non celui qui obéit à l'église bouddhiste. Toutes les églises, toutes les religions organisées n'ont réussi qu'à réduire la grande vérité à un simple système, un symbole, un rituel. Ce qui importe n'est pas l'habit, l'étiquette, mais le contenu de la conscience intérieur. Le rôle de l' enseignant (le Guru) est semblable à celui d'une lampe sur le chemin. On ne doit pas s'asseoir et adorer la lampe, on doit cheminer. Krishnamurti a sans cesse insisté sur le fait qu'accepter ou rejeter ce qu'il a dit n'avait que peu d'importance, c'est seulement quand nous le questionnons, l'examinons et le découvrons nous-mêmes que tout cela a de la valeur. Dés lors que la vérité et la libération sont des choses à découvrir par soi-même à travers sa propre recherche, toute organisation qui essaye de propager "la vérité" par une croyance, une conformité ou une propagande ne peut qu'aboutir à un futur conditionnement de l'esprit de l'individu et par conséquent le rendre esclave. Une recherche sensée requiert une libération de toute croyance, préjugés, conclusions hâtives et conditionnement. Elle exige une profonde connaissance de soi. Puisque la vérité ne peut pas être organisée et propagée, les organisations spirituelles qui tentent de le faire n'ont aucune valeur.


La compréhension intellectuelle n'est pas une réelle compréhension.

Nous sommes souvent satisfaits d'une réponse intellectuelle à une question et cela met fin à notre recherche. Dans ce cas, la compréhension intellectuelle devient un obstacle à la découverte de la vérité. Il est facile de constater intellectuellement que l'on ne doit pas s'inquiéter quand son enfant est malade. Cette inquiétude n'aide pas l'enfant. Ce qui lui viendrait en aide serait de faire venir un médecin. Mais cet argument logique effacera-t-il notre inquiétude? Le fait de savoir que la colère est un vice nous empêche-t-il de nous mettre en colère? La vérité est bien plus profonde que la simple logique ou la simple raison et la réponse intellectuelle est incomplète. Donc une compréhension intellectuelle est insuffisante. Elle peut être utile dans certains cas mais elle reste superficielle. Cette compréhension peut être garantie par le moyen du livre par exemple mais c'est seulement un schéma de pensée pour la mémoire; il ne doit pas être confondu avec la vérité.
Donc, si la compréhension intellectuelle est une chose limitée, qu'est-ce alors qui révèle la vérité? Pour cela, chacun doit s'observer et observer son propre processus de pensée à la manière d'un vrai scientifique qui observerait un phénomène. Il ne fait pas intervenir sa volonté, il observe sans choix, sans laisser son désir interférer dans son observation. Quand on observe de cette manière, dans une attention neutre et passive, sans désir de former rapidement une opinion ou tirer une conclusion, tout en hésitant, patiemment et avec scepticisme, afin de se comprendre et de comprendre la vie, alors seulement on peut découvrir ce qui est vrai et ce qui est faux; le faux tombe de lui-même sans effort ni volonté. L'ignorance se dissout alors dans la lumière de la compréhension.
Sans cette investigation objective mais passionnée de soi-même, de ses conclusions, croyances, attachements, désirs et motivations, s'identifier intellectuellement à un groupe, à une théorie ou à une croyance et embrasser définitivement une cause quelle qu'elle soit, n'a que très peu de valeur. C'est tout aussi sot que de dire "mon pays est le meilleur parce que j'y suis né". Néanmoins c'est ceci qu'implique le nationalisme.
Il est tragique de constater que n'avons jamais été éduqués à nous regarder vraiment. Nous avons seulement été éduqués à apprendre sur le monde extérieur et à faire face d'une certaine manière à ses problèmes. Par conséquent nous nous formons en connaissant beaucoup de choses sur le monde extérieur mais en étant complètement ignorants de nous-mêmes, de nos désirs, ambitions, valeurs et point de vues sur la vie. Nous pouvons être très compétents dans nos métiers mais nous sommes totalement embarrassés lorsqu'il nous faut discerner si le plaisir appelle le bonheur, si le désir et l'attachement sont la même chose que l'amour, et pourquoi les différences entre les hommes deviennent des inégalités. Il n'est pas question dans la joie, l'amour, la non-violence et l'humilité, d'entreprise.
Elles accompagnent la recherche, la connaissance de soi et la compréhension, qui épure notre conscience en la libérant des opinions arrêtées, des croyances ou systèmes de pensée. Si nous regardons très clairement par une étude minutieuse et attentive que la poursuite du plaisir ne conduit pas à la joie, alors notre vision du plaisir se transforme à la source et nous abandonnons la poursuite du plaisir sans aucun effort, sacrifice ou répression. Il apparaît alors une austérité naturelle complètement différente de celle que l'on s'impose par la pratique. De même si l'on remarquait par sa propre observation et recherche, que l'on ait pas essentiellement différent des autres êtres humains, que nous partageons avec eux les mêmes problèmes de peur, d'insécurité, d'envie, de violence, de solitude, de peine et d'égoïsme qui opère dans notre inconscience à tous, alors nous ne nous sentirions pas si différents des autres. Par notre ignorance nous attribuons beaucoup d'importance aux différences superficielle, comme de croyance, d'appartenance, de connaissance, de capacité qui ne sont que des acquis. Nous ne nous sommes pas demandés pourquoi nous donnons une si grande importance, pourquoi nous les laissons diviser les hommes, alors qu'en réalité nous partageons la même conscience. Si vous ôtez à un homme son aisance, ses possessions, son statut, ses croyances et son savoir, et que vous regardez dans sa conscience, est-elle vraiment différente de celle d'un autre être humain? Tout comme la caste, la couleur, la foi d'un être humain ne change pas la composition de son sang; nos acquis qu'il soient mentaux ou matériels ne change pas le contenu de notre conscience. Si nous ne nous empêchons pas de voir la réalité de ceci, nous découvrirons réellement l'unité fondamentale de l'espèce humaine. C'est l'ignorance qui nous divise, non les différences.


Conclusion

L'humanité est captive d'une grande illusion. Elle pense qu'elle peut résoudre ses problèmes par la législation, par des réformes politiques et sociales, le progrès scientifique et technologique, par un plus grand savoir, une plus grande aisance, plus de pouvoir et de contrôle. Tout ceci peut résoudre en effet quelques problèmes; mais ce sont là des problèmes superficiels et temporaires. Ils auront le même effet que l'aspirine et ne guériront pas la maladie. Nous continuerons à créer de nouveaux problèmes d'un coté et essaieront de les résoudre de l'autre, pour maintenir l'illusion du "progrès". Et il nous reste que peu de temps, car la maladie évolue vertigineusement, prête à faire disparaître l'homme; si l'homme ne se transforme intérieurement, par une mutation de son psychisme, il figurera bientôt sur la liste de ces malheureuses créatures qui vivent un million d'année ou plus et disparaissent alors, faute d'avoir pu s'adapter. La question reste toujours posée de savoir si l'évolution de l'homme à partir du singe fut réellement un pas vers la survie de l'espèce ou une étape. Seul le temps pourra le dire.

Professeur P. KRISHNA,
recteur du Rajghat Education Centre, Fondation Krishnamurti en Inde, Bénarès (traduit par Mme Rubagire) en Juin 1996.

Morceaux choisis - Khalil Gibran

« Le Prophète » de Khalil Gibran 

(extraits)



La connaissance de soi



Un homme dit:
Parle-nous de la Connaissance de soi.

Il répondit :

Vos cœurs connaissent en silence les secrets des jours et des nuits.

Mais vos oreilles se languissent d'entendre la voix de la connaissance en vos coeurs.

Vous voudriez savoir avec des mots ce que vous avez toujours su en pensée.

Vous voudriez toucher du doigt le corps nu de vos rêves.

Et il est bon qu'il en soit ainsi.



La source secrète de votre âme doit jaillir et couler en chuchotant vers la mer,

Et le trésor de vos abysses infinis se révéler à vos yeux.

Mais qu'il n'y ait point de balance pour peser votre trésor inconnu,

Et ne sondez pas les profondeurs de votre connaissance avec tige ou jauge,

Car le soi est une mer sans limites ni mesures.



Ne dites pas: "J'ai trouvé la vérité", mais plutôt: "J'ai trouvé une vérité".

Ne dites pas: "J'ai trouvé le chemin de l'âme". Dites plutôt: "J'ai rencontre l'âme marchant sur mon chemin".

Car l'âme marche sur tous les chemins.

L'âme ne marche pas sur une ligne de crête, pas plus qu'elle ne croit tel un roseau.

L'âme se déploie, comme un lotus aux pétales innombrables.





La Liberté



Et un orateur dit:
Parle-nous de la Liberté.

Et il répondit :

Je vous ai vu vous prosterner aux portes de la cité et dans vos foyers, et vous vouer au culte de votre propre liberté, Comme les esclaves qui s'humilient devant un tyran et le louent, alors qu'il les anéantit. Oui, dans le bosquet du temple et dans l'ombre de la citadelle, j'ai vu les plus libres d'entre vous porter leur liberté comme un joug ou des menottes. Et mon cœur saigna en moi ; car vous ne pouvez être libre lorsque vous forgez une chaîne du désir même de la liberté, et quand vous ne cessez de parler de la liberté comme d'un but et un accomplissement.



Vous serez libre en vérité non pas quand vous jours seront sans tourments et vos nuits sans un désir ou un chagrin, Mais d'avantage quand ces choses étrangleront votre vie, et que pourtant vous vous élèverez au-dessus d'elles, nu et sans entraves. Et comment vous élèverez-vous au-delà de vos jours et de vos nuits, à moins que vous ne rompiez les chaînes que vous-même, à l'aurore de votre entendement, avez fixé autour de votre âge mûr ?



En vérité ce que vous appelez liberté est la plus solide de ces chaînes, bien que ses anneaux scintillent au soleil et éblouissent vos yeux. Et à quoi voulez-vous renoncer dans votre quête de la liberté, si ce n'est à des parcelles de vous même ? S'il existe une loi injuste que vous voudriez abolir, cette loi fut écrite de votre propre main sur votre propre front. Vous ne pouvez l'effacer en brûlant vos tables de la loi, ni en lavant le front de vos juges, même si vous déversiez sur eux la mer toute entière.



Et s'il existe un despote que vous voudriez détrôner, voyez d'abord si l'image de son trône érigée en vous est détruite. Car comment le tyran peut-il régner sur les affranchis et les fiers, s'il n'existe une tyrannie dans leur propre liberté et une honte dans leur propre fierté ?



Et s'il existe un tourment que vous voudriez dissiper, le siège de cette crainte est dans votre cœur et non dans la main du tourment. Vraiment, toutes les choses se meuvent dans votre être en une continuelle étreinte fatale ; ce que vous désirez et ce que vous redoutez, ce qui vous attire et ce qui vous répugne, ce que vous poursuivez et ce que vous voulez fuir.



Ces choses se meuvent en vous comme la lumière et l'ombre, en couples enlacés. Et quand l'ombre se dissipe et disparaît, la lumière qui persiste devient l'ombre d'une autre lumière.



Et telle est votre liberté qui, quand elle perd ses entraves, devient l'entrave d'une plus grande liberté.

"Nuage montgolfière" de Vladimir Kush

samedi 9 avril 2011

Le Gouvernement Secret


Le Gouvernement Secret

"Les signes sont de plus en plus nombreux.
Les lumières dans le ciel apparaîtront rouges, bleues, vertes, rapidement.
Quelqu’un vient de très loin et veut rencontrer
les gens de la Terre.
Les rendez-vous ont déjà eu lieu.
Mais ceux qui ont vraiment vu se sont tus".

Pape Jean XXII, 1935


Ce document est une traduction d’un des plus intéressants chapitres du livre « Behold a pale horse », écrit par l’américain Milton William Cooper et publié aux éditions Light Tecnology aux U.S.A. :
Light Tecnology Publishing
P.O. Box 1495, Sedona, AZ 86336
U.S.A.
Voici une présentation rapide de l’auteur, compilée de sa propre petite autobiographie disponible dans son livre, et agrémentée des commentaires du traducteur :

Milton William Cooper, tout comme son père, a décidé de travailler dans l’armée. Après avoir débuté dans l’armée de l’air, William Cooper a continué sa carrière dans la Marine (la NAVY), dans un sous-marin d’abord, puis, il a été affecté sur un pétrolier, et peu après, au Vietnam lors de la guerre. Après quoi, il a été affecté à un travail de côte aux quartiers généraux du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il avait obtenu une autorisation au Secret lorsqu’il était dans l’armée de l’air, et il en avait eu besoin d’une pour les sous-marins. Il en a demandé une autre pour travailler dans l’unité administrative de la flotte et l’a obtenue. Il avait alors accès aux données militaires concernant la sécurité nucléaire, puis il lui a été accordé une autorisation Q d’accès aux documents Top Secret afin de travailler dans l’équipe de briefing des services de renseignement.
 C’est là qu’il a appris les informations qui l’ont conduit à une recherche de 18 ans, aboutissant à l’écriture d’un livre dont ce document représente un des chapitres les plus importants. Il lui a été plus tard donné une autre autorisation d’accès à la cryptographie pour endosser parfois la responsabilité de surveillance du centre de commande, en tant qu’opérateur SPECAT.
C’est le jour où il a appris que le bureau des renseignements de la Marine avait participé à l’assassinat de J.F. Kennedy qu’il a décidé de quitter l’armée définitivement.
Après avoir essayé de communiquer les informations qu’il détenait (à propos des OVNI, de l’assassinat de Kennedy, du gouvernement secret, des solutions 1,2, et 3, du nouvel ordre mondial,...) à un reporter en 1972, il a été attaqué par deux hommes en limousine qui ont réussi à le pousser du haut d’une colline, où ils l’ont laissé pour mort. Mais il a réussi à grimper la colline et a été secouru.
Puis, un mois plus tard, il a été accidenté par la même limousine, accident dans lequel il a perdu sa jambe gauche. Les hommes de la voiture lui rendirent une visite à l’hôpital, lui déclarant que s’il continuait, ils le tueraient la prochaine fois. Il leur dit qu’il ne ferait plus rien, et changea sa stratégie.

Cela lui a pris 16 ans. Il a démissionné de l’armée en 1975 et dans sa vie civile, il a travaillé comme responsable dans des instituts de formation en photographie, après avoir obtenu un diplôme en photographie. En 1988, ayant lu un magasine qui parlait d’un document découvert par Moore, Shandera et Friedman, qui parlait des agissements cachés du gouvernement à propos des OVNI, M. Cooper a décidé de rentrer dans l’arène, sachant que le document en question était un faux désignant une opération dont il avait lu, lorsqu’il était dans la Marine, qu’elle servirait à troubler le public, et sachant aussi que Moore et Friedman étaient des agents du gouvernement. Afin, cette fois-ci, d’assurer sa sécurité, il a rédigé ce document dans sa version originale du 23 mai 1989, qu’il a expédié à de très nombreuses personnes tout autour du monde, pour la somme de 27000$ de frais d’expédition (toutes ses économies).
Depuis, M. Cooper a pu constater qu’il était sous surveillance et il n’est pas le seul à le constater. De plus, des agents du gouvernement ont très souvent essayé de faire pression sur ses employeurs. C’est pourquoi M. Cooper déménage souvent. Tout ce qu’il a dit, il aurait pu ne jamais le dire et vivre en paix, mais sa conscience l’a poussé à nous révéler ce qu’il savait pour que d’autres sachent aussi. Depuis, d’autres ont fait comme lui et la vérité apparaît au grand jour peu à peu.
Aux U.S.A., ces informations ont été l’objet de nombreux reportages, shows télévisés, radiodiffusés et d’articles dans de nombreux journaux et revues. Ce phénomène est aussi connu chez les américains qu’il est inconnu chez nous. Pourtant nous en avons parfois quelques aperçus à travers les films et téléfilm télévisés de "fiction" qui nous viennent des U.S.A.

Recherché par les autorités, il fut abattu lors d'une interpellation le 6 novembre 2001, à Eagar (Arizona), à l'âge de 58 ans, dans des circonstances étranges.


Le Gouvernement Secret

Chapitre douze (extraits)

« Pendant les années suivant la deuxième guerre mondiale le gouvernement des Etats-Unis a été confronté à une série d'événements qui devaient changer au delà de toute prévision son avenir et avec lui l'avenir de l'humanité. Ces événements étaient si incroyables qu'ils défiaient toute logique. Le Président Truman et ses commandants militaires supérieurs se sont trouvés pratiquement impuissants après avoir tout juste gagné la guerre la plus dévastatrice et la plus coûteuse de l'histoire.
Les Etats-Unis avaient développé et utilisé la bombe atomique et ils étaient la seule nation sur terre à la posséder. Cette nouvelle arme avait la possibilité de détruire n'importe quel ennemi, et même la terre elle-même. À ce moment-là les Etats-Unis avaient la meilleure économie, la technologie la plus avancée, le niveau de vie le plus élevé. Ils avaient le plus d'influence et déployaient  les forces militaires les plus puissantes de l'histoire. Nous ne pouvons qu'imaginer la confusion et la  consternation quand l'élite informée du gouvernement des Etats-Unis a découvert qu'un vaisseau spatial extraterrestre, piloté par des êtres à la physionomie d'insecte, provenant d'une culture totalement incompréhensible, s'était écrasé dans le désert du Nouveau-Mexique. Entre janvier 1947 et décembre 1952 au moins 16 vaisseaux se sont écrasés ou ont été abattus, 65 corps extraterrestres et 1 extraterrestre vivant ont été récupérés.
Pendant les années à venir ces événements devaient devenir le secret le mieux gardé de l'histoire de notre monde. Pendant ces premières années l'Armée de l'Air des Etats-Unis et la CIA ont exercé un contrôle total concernant le secret “extraterrestre”. Le Président Truman avait informé nos alliés, y compris l'Union Soviétique, du problème extraterrestre se développant. Ceci au cas où les extraterrestres s'avéraient être une menace pour la race humaine.


A partir de 1953, un nouveau président a occupé la Maison Blanche. Ce président était le  général de l'armée Dwight David Eisenhower. Pendant sa première année de législation en 1953, au moins 10 soucoupes volantes, s'étant écrasées, furent récupérées en plus des 26 corps et 4 extraterrestres vivants. Eisenhower savait qu'il avait à lutter et à trouver une solution au problème extraterrestre. Il savait qu'il ne pourrait le faire en révélant le secret au congrès.
En 1953, des astronomes découvrirent de grands objets dans l'espace se dirigeant vers la terre. On a d'abord cru qu'ils s'agissaient d'astéroïdes. Par la suite l'évidence  a démontré qu'il ne pouvait  s'agir que de vaisseaux spatiaux. Quand les objets eurent atteint la terre ils se mirent sur  une orbite quasiment géosynchrone autour de l'équateur. Il y avait plusieurs énormes vaisseaux et on ignorait quelle était leur intention réelle. Le projet SIGMA, et le nouveau projet PLATON,  ont réussi à arranger un atterrissage qui a permis un face à face  avec les êtres extraterrestres venus d'une autre planète, grâce à des communications par radio utilisant la langue binaire des ordinateurs. Cet atterrissage eut lieu dans le désert. Le film, rencontre du troisième type est la version romancée de ces faits réels.
Pendant ce temps, une race d'extraterrestres humanoïdes débarqua à la base aérienne de Homestead, en Floride, et communiqua  avec succès avec le gouvernement des Etats-Unis. Ce groupe nous a avertis du danger émanant de la race en orbite autour de l'équateur et a offert de nous aider dans notre développement spirituel. Comme condition principale ils ont exigé que nous détruisions nos armes nucléaires. Ils ont refusé l'échange de technologie mentionnant que nous étions spirituellement incapables de gérer la technologie que nous possédions déjà. Ces propos furent rejetés sous prétexte qu'il serait irresponsable de désarmer face à un avenir si incertain. Il n'y avait pas de scripte préenregistré à lire ce jour là. Cela pourrait avoir été une décision malheureuse.

Le Président Eisenhower a rencontré les extraterrestres le 20 février 1954 et un traité formel entre la nation extraterrestre et les Etats-Unis d'Amérique fut signé. Quatre autres personnes présentes lors de la réunion furent Franklin Allen des journaux de Hearst, Edwin Nourse de l'institut de Brookings, Gerald Light renommé en recherches métaphysiques, et l'évêque catholique MacIntyre de Los Angeles. Leur réaction fut jugée comme étant représentative de la réaction  qu'aurait pu avoir le grand public. Il a donc été décidé qu'il était préférable de ne pas informer le public. Des études postérieures ont confirmé cette décision comme étant la meilleure.
Une lettre émotionnelle révélatrice écrite par Gerald Light nous le révèle avec des détails qui donnent froid dans le dos:
Citation:
“J'ai eu le sentiment très net que le monde en était venu à sa fin et ceci avec un réalisme fantastique. Car je n'ai jamais vu tellement d'êtres humains dans un pareil état d'effondrement et de confusion totale, au moment où ils se sont rendus compte que leur propre monde s'était en effet terminé. La réalité d'aéroforme “d'autre-plan” a été sortie du domaine de la spéculation et fait maintenant partie intégrante de la conscience plutôt douloureuse de chaque groupe scientifique et politique se respectant.”

L'emblème extraterrestre connu sous le nom de « l'Insigne Trilatéral » est montré sur le vaisseau et porté sur les uniformes extraterrestres. Ces deux atterrissages furent filmés. Ces films existent encore aujourd'hui. Le traité déclara que les extraterrestres n'interféreraient pas dans nos affaires et que nous n'interfèrerions pas dans les leurs. Nous garderions leur présence sur terre secrète. Ils nous fourniraient en technologie de pointe et nous aideraient dans notre développement technologique. Ils ne passeraient aucun traité avec quelque autre  nation. Ils pourraient enlever un nombre limité d'être humains en un laps de temps limité afin de faire des examens médicaux et d'étudier notre développement, avec la stipulation qu'il ne serait fait aucun mal aux êtres humains, qu'ils les renverraient à leur point d'enlèvement, qu'ils n'auraient aucun souvenir de l'événement, et que la nation extraterrestre  fournisse une liste de tous leurs contacts et enlèvements humains à Majesty Twelve.
 Ceci en temps et délais convenus. Il fut convenu que des bases souterraines seraient construites  pour l'usage de la nation extraterrestre et du gouvernement des Etats-Unis. Des fonds secrets  de plusieurs millions de dollars ont été débloqués et gardés par le bureau militaire de la Maison Blanche. Les fonds ont été employés pour construire plus de 75 facilités souterraines à grandes profondeurs. Aux présidents qui ont posé des questions on a répondu que les fonds furent employés pour construire des abris souterrains pour le président en cas de guerre. En vérité ils furent employés pour construire des bases extraterrestres secrètes ainsi que des  DUMB ultra secrètes (bases militaires souterraines profondes).
Par le mémorandum exécutif secret NSC 5510, Eisenhower avait pré-codé NSC 5412/1 afin d'instaurer un comité permanent (non ad hoc) connu sous le nom de Majesty Twelve (MJ-12) pour surveiller et conduire toutes les opérations secrètes concernant la question extraterrestre.

En 1955 il est devenu évident que les extraterrestres avaient trompé Eisenhower et avaient brisé le traité. Des humains ainsi que des animaux mutilés furent trouvés à travers les Etats-Unis. On suspecta que les extraterrestres n'avaient pas remis une liste complète de leurs contacts humains et des humains enlevés à Majesty Twelve et on suspecta même qu'ils n'avaient pas fait revenir toutes les personnes enlevées… On a suspecté l'Union Soviétique de collaboration avec eux, et ceci s'est avéré être vrai. Les extraterrestres ont déclaré qu'ils avaient manipulé, et qu'ils manipulaient encore les masses humaines grâce aux sociétés secrètes, à la sorcellerie, à la magie, à l'occulte et à la religion. Après plusieurs combats aériens entre l'Armée de l'Air et les vaisseaux extraterrestres il fut également clair que nos armes n'étaient pas à la hauteur des leurs.

En novembre 1955 NSC-5412/2 a été publié mettant en place un comité pour étudier tous les facteurs concernant la mise en place et la mise en pratique de la stratégie étrangère dans l'âge nucléaire.  Ce n'était qu'un prétexte pour masquer le vrai sujet de l'étude, la question extraterrestre.

Par le Mémorandum Exécutif secret NSC-5511 de 1954, le Président Eisenhower avait demandé au groupe d'étude “d'examiner tous les faits, toutes les preuves, tous les mensonges, et les déceptions et de découvrir la vérité concernant la question extraterrestre”.

Une des conclusions principales de l'étude extraterrestre fut que le public ne pourrait pas en être informé. On pensait que cela mènerait certainement à l'effondrement économique, à l'effondrement de la structure religieuse et à une panique nationale, qui pourraient mener vers l'anarchie. Ainsi le secret fut perpétré. Une des conséquences  fut que si le public ne pouvait en être informé, le congrès ne pouvait pas non plus être mis au courant de l'affaire. Les fonds pour les projets et la recherche devraient venir d'une autre source que le gouvernement. Une de leur autre découverte fut que les extraterrestres utilisaient les humains et les animaux comme source de sécrétions glandulaires, d'enzymes, de sécrétions hormonales, de plasma sanguin et probablement pour des expériences génétiques. Les extraterrestres expliquèrent ces actions comme étant nécessaires à leur survie. Ils ont déclaré que leurs structures génétiques s'étaient à ce point détériorées qu'ils ne pouvaient plus se reproduire. Ils ont déclaré que leur race cesserait bientôt d'exister s'ils ne parvenaient pas à améliorer leur structure génétique. Nous avons considéré leurs explications avec une extrême méfiance. Mais puisque nos armes étaient littéralement inutiles contre les extraterrestres, Majesty Twelve a décidé de continuer les relations diplomatiques amicales jusqu'à ce que nous ayons développé une technologie qui nous permettrait de les défier sur le plan militaire. Des approches devront être faites vers Union Soviétique et vers d'autres nations afin de  joindre les forces pour préserver l'humanité.

Le public est bombardé par des films, par la radio, les publicités et les programmes télévisés dépeignant presque chaque aspect de la véracité prétendue d'une présence extraterrestre. Ceci inclut les bons et les mauvais. Quelqu'un projette de rendre publique leur présence et le gouvernement vous y prépare. Ils ne veulent aucune panique.

Le nombre sans précédent de soucoupes volantes vues de par le monde entier indique qu’ils vont rendre public les faits dans peu de temps. Jamais dans l'histoire il n'y a eu autant d'incidents impliquant des OVNIS et jamais dans l'histoire il n'y a eu autant de  non-démentis des faits par les instances officielles. »

Source:



Notre civilisation s'intéresse activement au phénomène ovni depuis une quarantaine d'années et, tout au long de cette période, une foule d'observations ont été recueillies.
Cependant, un grand nombre de données relatives à certains aspects du phénomène ont souvent été supprimées.
Sur le plan de la psychologie et de la physique, nous avons affaire à de tout nouveaux concepts.
Nous sommes de plus en plus conscients non seulement de ne pas être seuls ici-bas, mais de ne l'avoir jamais été.
Et, comme si cette révélation ne nous suffisait pas, nous découvrons du même coup que des factions de notre société le savaient déjà.
Apparemment, elles entretiennent des rapports avec ces espèces aliénigènes depuis fort longtemps.
La conclusion de ceci est que depuis toujours l'humanité a été orientée dans une fausse direction et conduite sur une voie tortueuse jonchée d'un agrégat de conspirations et entravée par un amoncellement d'informations biaisées.
Du côté humain, le motif en est le savoir technologique et le pouvoir absolu.
Du côté extranéen, le mobile semble être la survie, du moins pour ce qui concerne une certaine race de spationautes.
Le propos du présent document est d'exposer au grand jour les détails de cette conspiration.
Il ne vous est pas demandé d'y croire, mais simplement d'en observer la manifestation à la lumière de ce qui s'est produit dans le passé, de ce qui arrive actuellement et de ce qui est en train de se tramer juste sous votre nez.
Par contre, si vous n'estimez pas avoir l'estomac assez solide pour assimiler ces notions ou si vous pensez ne pas pouvoir en supporter les conséquences, n'allez pas plus loin.
Editeur : Louise Courteau -  Date de parution : 1999-09-23

Morceaux choisis - Rainer Maria Rilke



Rainer Maria Rilke

« Ce qui est nécessaire, c’est seulement ceci : la solitude, la grande solitude intérieure. Pénétrer en soi-même et ne voir personne durant des heures, voilà ce à quoi il faut être capable de parvenir. Etre seul comme on était seul, enfant. »

«Je vous prie d’être patient à l'égard de tout ce qui dans votre cœur est encore irrésolu, et de tenter d'aimer les questions elles-mêmes comme des pièces closes et comme des livres écrits dans une langue fort étrangère.

Ne cherchez pas pour l'instant des réponses, qui ne sauraient vous être données; car vous ne seriez pas en mesure de les vivre.
Or, il s'agit précisément de tout vivre.
Vivez maintenant les questions. Peut-être en viendrez-vous à vivre peu à peu, sans vous en rendre compte, un jour lointain, l'entrée dans la réponse.»
 « Les gens ont l’habitude (grâce aux conventions) de chercher à tout des solutions faciles en choisissant, dans la facilité, ce qui coûte le moins de peine ; or il est clair que nous devons nous en tenir à ce qui est difficile. […] il est bon d’être seul, car la solitude est difficile ; et le fait que quelque chose soit difficile doit nous être une raison supplémentaire de le faire. Aimer est aussi une bonne chose, car l’amour est difficile. »
« S’il nous était possible de voir au-delà des limites où s’étend notre savoir, et encore un peu plus loin au-delà des contreforts de nos intuitions, peut-être alors supporterions-nous nos tristesses avec plus de confiance que nos joies. »
« Ce n’est pas, en effet, la paresse seule qui est responsable du fait que les rapports humains se répètent sans innovation et de manière si indiciblement monotone ; c’est plutôt la crainte d’une quelconque expérience inédite et imprévisible qu’on s’imagine ne pas être de taille à éprouver. »
« Voilà pourquoi il est si important d’être solitaire et attentif lorsqu’on est triste: l’instant apparemment immobile où, semble-t-il, rien ne se passe, cet instant où l’avenir pénètre en nous est en effet beaucoup plus proche de la vie que cet autre moment arbitraire et patent où l’avenir nous arrive pour ainsi dire de l’extérieur. »
« Ne croyez pas que celui qui cherche à vous réconfortez vit sans difficulté parmi les mots simples et tranquilles qui, parfois, vous font du bien. Sa vie est pleine de peine et de tristesse, et reste très en deçà de la vôtre. S’il en était autrement, il n’eût jamais su trouver ces mots. »

Lettres à un jeune poète
 (extraits)