lundi 21 décembre 2009

Peinture de Victor Hugo


V. Hugo


Le phare d’Eddystone (1866)


Plume et lavis d’encre brune. Paris, Maison de Victor Hugo © photo Roger-Viollet

"Au dix-septième siècle un phare était une sorte de panache de la terre au bord de la mer. L'architecture d'une tour de phare était magnifique et extravagante. On y prodiguait les balcons, les balustres, les tourelles, les logettes, les gloriettes, les girouettes. Ce n'étaient que mascarons, statues, rinceaux, volutes, rondes-bosses, figures et figurines, cartouches avec inscriptions. "


Pax in bello, disait le phare d'Eddystone.
(L'Homme qui rit)

« C'est une triste chose de penser que la Nature parle et que le genre humain n'écoute pas »

« L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir. "
Victor Hugo

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