EX MACHINA – ZÉNON
(JUILLET 2023)
Comme nous le savons, la
multiplication de crises générées de toutes pièces permet à chaque fois de
faire accepter la « solution » prévue d’avance : le Covid pour l’injection,
l’Ukraine dans une logique d’affrontement inter-blocs propice au resserrement
du nœud coulant sur la gorge des peuples, le climat en vue d’instaurer le
pass-carbone et l’identité numérique… La stratégie du choc à répétition
fonctionne à plusieurs niveaux : maintenir les populations non-informées dans
la peur, la sidération et l’obéissance aveugle, et accroître peu à peu le chaos
à un niveau tel que même les personnes au fait du programme tombent dans le
piège de s’en remettre au « sauveur » qui prétendra les en délivrer.
L’apparition d’un faux messie sera
donc probablement le clou du spectacle ; l’ultime élément fédérateur derrière
lequel unir les peuples de toutes les cultures sous une même bannière. Le
transhumanisme n’est que la suite logique d’un processus ayant débuté par le
fait de prêter des caractéristiques humaines à Dieu, et aboutissant à la
déification de l’être humain. Il n’est donc pas impossible d’envisager qu’une
fusion homme-machine nous arrête miraculeusement au seuil du feu nucléaire, ou
autre évènement du même acabit, dans la plus pure tradition des prophéties
autoréalisatrices.
Nous devons donc à ce stade
intégrer qu’il n’existe aucun salut à attendre de l’extérieur. Nous connaissons
les noms et les organismes de ceux qui œuvrent délibérément à notre perte. Mais
notre pire ennemi n’est pas à rechercher dans le carnet d’adresses du forum de
Davos ni dans les couloirs du Pentagone. Ce pire ennemi se trouve tapi en
nous-mêmes : dans les croyances dont nous libérer pour accéder à notre plein
potentiel. Dans notre ego plaçant un voile de défiance et de peur entre celui
que nous croyons être et le monde extérieur. Dans l’intellect et sa manière de
substituer les noms et les habitudes que nous avons des êtres et des choses à
leur appréhension directe. L’incarnation est, pour ainsi dire, une école où
l’on commence par ingurgiter ce qui nous est imposé, puis où l’on doit tout
désapprendre pour repartir de zéro par nous-mêmes.
Et si la véritable foi n’était pas
de croire, mais de voir ? De percevoir au niveau le plus subtil que l’on puisse
ressentir l’existence d’une vibration universelle derrière la multitude des
formes de vie. De découvrir que les animaux comme les végétaux sont emplis d’un
amour dans lequel seule notre peur de disparaître nous empêche de nous fondre
et d’enfin connaître la plénitude. Que même les minéraux respirent. Et que
lorsque nous contemplons un arbre, ce que nous voyons n’est pas l’œuvre de
Dieu, mais Dieu aussi bien dans son essence que dans son émanation. Vivre cette
expérience induit une radicale transformation intérieure, suite à laquelle nous
devenons imperméables à toute sollicitation parasite, à toute propagande, toute
forme de chantage ou menace, mais aussi à toute séduction matérialiste.
Dans le sillage de ce qui a lieu
actuellement dans tout le système solaire, la vibration de notre planète est en
train de changer. La chape de plomb astrale où se sont accumulées générations
après générations souffrances et perversions commence à se dissoudre sous
l’affaiblissement de notre champ magnétique. Il en résulte déjà des
réminiscences de mémoires traumatiques, une prise de conscience d’aspects
méconnus de nos personnalités et une sensibilité accrue à des phénomènes
subtils de circulation et d’échanges d’énergie. Ces actuelles révélations, plus
douloureuses que celle des méfaits de nos dirigeants, n’en sont qu’à leur
commencement. La mise à nu du mal n’est qu’un prélude aux retrouvailles avec
notre nature éternelle.
De puissantes radiations solaires
ont frappé la Terre au tout début de ce mois de juillet. Elles se sont fait
ressentir au niveau des télécommunications, mais aussi dans nos corps et dans
nos esprits de manière inédite. Cette éruption n’était pour autant qu’un coup
de semonce. D’autres vagues suivront, de plus en plus fortes. Nous ne sommes
qu’au début d’un processus cyclique que les apprentis-sorciers au pouvoir
espèrent contrecarrer par le déploiement du continuum électromagnétique Haarp –
chemtrails – ondes de toutes sortes et nanotechnologies injectées afin de
conserver leur contrôle du cheptel humain. Cette tentative est vouée à l’échec,
comme toute entreprise prométhéenne. L’ordre du jour est au balaiement de tout
ce que nous avions jusqu’ici connu.
La mauvaise nouvelle dans tout
cela est que la dépopulation prévue aura bien lieu. La bonne, est qu’elle ne
sera pas réalisée selon les critères de sélection concoctés par les
mondialistes. La lame de fond énergétique à venir affectera aussi bien les
classes populaires que les élites autoproclamées. Il suffit d’observer les
comportements pour constater que le phénomène a déjà démarré. Seules les
personnes capables d’accepter leur propre et totale remise en cause sauront
traverser les temps qui s’ouvrent. Tous ceux restant attachés à leurs acquis, à
leurs représentations du Monde et d’eux-mêmes, ou ceux qui auront misé sur la
technologie pour s’en sortir seront emportés, psychiquement d’abord, puis
physiquement.
Les survivants ne seront pas
quelques tribus de loqueteux revenus à l’âge des cavernes. Mais des individus
pleinement conscients d’eux-mêmes et de leur imprescriptible lien avec tout le
vivant. Des êtres Humains reliés à leur dimension spirituelle que rien ni
personne ne saurait aliéner ou assujettir. Notre espèce aura trouvé sa place et
son équilibre dans la mystérieuse équation des forces cosmiques.
Zénon – juillet 2023
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