mardi 16 mars 2021

Virulence

 

 Virulence

La virulence désigne l'intensité du pouvoir pathogène d'un micro-organisme (bactériechampignonvirusprotozoaire). La virulence d'un pathogène létal est facilement mesurable mais celle des pathogènes à effets sous-létaux est plus complexe à évaluer. En médecine, la virulence correspond au degré de rapidité de multiplication d'un virus dans un organisme donné, donc à sa vitesse d'envahissement. 

Le virus est un micro-organisme infectieux, qui possède un seul type d'acide nucléique, A.D.N. ou A.R.N., et qui ne peut se reproduire qu'en parasitant une cellule, dont les constituants et le métabolisme déclenchent la réplication. Le nom virus a été emprunté, au XVIème siècle, par Ambroise Paré au latin vīrus.

Les virus ne sont pas des êtres vivants mais de « simples » associations de molécules biologiques, le fruit d'une auto-organisation de molécules organiques.

Le taux vibratoire qualifie le niveau d’énergie qui se dégage de toute matière vivante, son rayonnement énergétique qui lui permet d’interagir avec tout ce qui l’entoure.

Tout être humain possède un taux vibratoire définissant la fréquence d’énergie correspondante à son niveau de santé et son degré d’évolution spirituelle ; c’est la nature et le degré de son énergie qui caractérisent son taux vibratoire.

Sur le plan sanitaire, il faut savoir qu’une faiblesse du taux vibratoire ouvre la porte à la maladie. Un virus ne peut se développer que sur un terrain qui vibre dans la même fréquence que lui.

Selon Jacqueline Bousquet (Docteur en Sciences, Biologie, Endocrinologie, Biophysique, Physiologie, Immunologie, chercheur honoraire au CNRS (1962-1997), conférencière internationale et écrivain « tout être vivant ne peut se comporter qu'en récepteur ou émetteur d'une gamme de fréquence avec laquelle il entre en résonance. »

Lorsque le taux vibratoire humain passe en dessous de 6  000  UB (unités de Bovis), la personne arrive dans une zone propice à la maladie, dans la zone de la fatigue et des infections. Chaque maladie correspond à un niveau vibratoire qui lui est propre, et plus celui-ci est bas, plus la maladie est grave.

L’organisme se met alors à vibrer à la fréquence des microbes qui peuvent ainsi être facilement « attirés » par résonance.

Fréquence de l’être humain en Unités de Bovis (UB) :

Être humain (moyenne générale vibratoire): 6 500 – 18 000 UB.

 Il faudrait donc essayer d’atteindre un taux vibratoire de 12 500 UB (unités Bovis) pour rester en bonne santé. On peut considérer aujourd’hui cette moyenne comme point neutre pour une bonne vitalité et pour le maintien de la force vitale.

Les fréquences des virus ont été mesurées pendant 30 ans par l’ingénieur André Simoneton, et montrent que les virus tous confondus vibrent dans de basses fréquences, en deçà de 5000 angströms ou UB.

La baisse du taux vibratoire correspond à certaines maladies.

Par exemple :

  • la dépression : 5 700 UB
  • les rhumatismes : 5 200 UB
  • la sclérose en plaques : 4 500 UB
  • le cancer : 2 500 UB
  • le sida : 2 000 UB

Tout d’abord et avant toute chose, il faut toujours se donner les moyens naturels de renforcer notre système immunitaire qui est la meilleure barrière aux agressions parasitaires de toute sorte.

Et surtout, faire preuve de confiance en soi pour garder un bon moral et un optimisme de bon aloi pour ne pas sombrer dans la peur et l’angoisse qui ne peuvent que nous miner en nous affaiblissant de plus en plus.

Le choix 

« Dans la vie, on a toujours le choix : aimer ou détester, assumer ou fuir, avouer ou mentir, être soi-même ou faire semblant. »
Nelson Mandela 

On vit toujours face à des influences extérieures vis-à-vis desquelles nous devons nous déterminer en prenant position.

L’obéissance, le respect nous sont enseignés dés l’enfance, par nos parents et les institutions. La vie active y ajoute la notion de hiérarchie.

La recherche de l’équilibre se poursuit dans l’amour, au sein du couple et envers les enfants.

Quelle que soit la situation, il faut pouvoir dire oui et savoir dire non, faute de ne pas exister et se contenter de vivre dans la fuite, la lâcheté ou la soumission.

En fait, il est toujours question de relations avec des personnes ou de réaction à un contexte imposé et de la nécessité d’y trouver sa place.

Le ressenti est le premier niveau d’information. Il est de la nature de l’instinct et de son cortège émotionnel.

Il s’agit d’un sentiment de caractère immédiat, superficiel qui naît du premier contact avec quelqu'un, ou avec quelque chose, antérieurement à toute réflexion structurée.

Impression, sensation. Sympathie, antipathie. Confiance, méfiance.

Nous sommes dans le domaine de la subjectivité pure et de sa relativité.

Le deuxième niveau consiste à analyser les données de la situation.

Observation, compréhension.

Recenser les éléments objectifs dont nous disposons pour obtenir une meilleure appréhension du contexte et définir les possibilités de traitement que nous avons. Anticiper nos chances de réussite ou d’échec ainsi que les réactions susceptibles d’être provoquées.

Saisir le sens d’un problème donné et en pressentir la direction à prendre pour y apporter une solution. 

Troisièmement, c’est le jugement moral. Est-ce bien, juste, équitable ?

Est-ce proportionné et équilibré ?

Est-ce en adéquation avec nos valeurs personnelles ?

La fin justifie-t-elle les moyens (Machiavel) … ou pas ? 

« Je n'ai qu'à me consulter sur ce que je veux faire. Tout ce que je sens être bien est bien, tout ce que je sens être mal est mal. »

Jean-Jacques Rousseau

Enfin, c’est le choix conscient, la décision finale, patiemment élaborée et conforme à notre savoir intérieur.

La conscience morale est la faculté de juger du bien et du mal, de respecter la volonté intérieure du bien. C’est une voix intérieure qui dicte à chacun ses devoirs, un oracle qui énonce sans faillir la vérité.

Il faut améliorer son discernement spirituel qui est issu de la capacité intuitive d’une perception sensorielle supérieure. 

C’est la seule manière d’utiliser notre libre arbitre et d’assumer nos responsabilités, en opposant notre silence à leur virulence, en agissant spirituellement contre l’iniquité institutionnelle. Ceci ne peut se faire qu’à condition de respecter le libre arbitre de chacun et la liberté de tous.

La spiritualité et son développement seront le seul rempart efficace contre tous les miasmes qui nous entourent et qui nous sont envoyés sciemment.

« La santé, c’est le parfait dialogue entre nos cellules, notre corps et notre environnement. En élevant notre niveau de conscience, nous élevons notre niveau vibratoire et renforçons notre système immunitaire. Tout est Un et rien n’est séparé.

Le problème de notre temps n’est pas la bombe atomique, mais le cœur de l’homme. »

Albert Einstein

"Dans notre société, toute l'ambition, toute la concentration est de nous détourner, de détourner notre attention de tout ce qui est important. 

Un système de fils barbelés, d'interdits pour ne pas avoir accès à notre profondeur. C'est une immense conspiration, la plus gigantesque conspiration d'une civilisation contre l'âme, contre l'esprit. 

Dans une société où tout est barré, où les chemins ne sont pas indiqués pour entrer dans la profondeur, il n'y a que la crise pour pouvoir briser ces murs autour de nous. 

La crise, qui sert en quelque sorte de bélier pour enfoncer les portes de ces forteresses où nous nous tenons murés, avec tout l'arsenal de notre personnalité, tout ce que nous croyons être."

Christiane Singer - Du bon usage des crises

 

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