Médecine
quantique : la révolution
La médecine
occidentale est au seuil d’une révolution. Bien qu’elle se fonde encore sur une
approche biochimique* du vivant,
elle est sur le point de céder la place à une autre vision du fonctionnement de
l’être humain qui transforme radicalement la compréhension de la maladie.
Les sociétés
humaines ont d’abord été animistes, attribuant une force vitale à tout être
vivant. La vision s’est complexifiée en devenant symbolique pour ensuite, à
l’ère newtonienne (1680-1700), tenter d’expliquer scientifiquement le
fonctionnement du corps humain. L’influence de Descartes (1596-1650) et les
expérimentations de Claude Bernard (1813-1878) ont donné à la biologie ses
fondements qui demeurent ceux de la médecine d’aujourd’hui.
La mécanique
quantique
La révolution
vient de la physique fondamentale, plus précisément de la mécanique quantique.
Ses postulats furent établis entre 1922 et 1927 par les physiciens Bohr, Dirac,
de Broglie, Heisenberg, Jordan, Pauli et Schrödinger. L’exploration de l’atome,
et du monde subatomique a révélé que les concepts, les modes de penser et les
outils de mesure de la matière connus jusqu’alors étaient totalement inadaptés
pour saisir le réel au niveau des atomes qui nous constituent.
Un
autre regard sur l’humain
La vision
quantique révèle :
1/ Qu’il est impossible de séparer le corps et l’esprit.
Ils sont deux aspects d’une même réalité comme la matière, tantôt ondes tantôt
particules, mais jamais perceptible sous ses deux aspects à la fois ;
2/ Que les êtres vivants réagissent à l’énergie de champs
électriques ou magnétiques extrêmement faibles ;
3/ Que les aspects
psychologiques de la maladie sont tout aussi importants que les symptômes
matériels car l’organisme fonctionne de manière intégrée et holistique ;
4/ Qu’en accord avec les structures dissipatives de
Prigogine* l’être humain est un
microcosme de l’univers et fonctionne à son image.
Dans la matière,
tout se tient, grâce aux mécanismes universels des champs quantiques. Le corps
y puise des informations de type électromagnétique nécessaires à la
coordination et à l’organisation de ses différentes fonctions génétiques et
métaboliques. Les réactions biochimiques représentent l’aboutissement de la
chaîne de transmission des informations au niveau des échanges cellulaires mais
elles n’en sont qu’un aspect.
La
santé redéfinie
Dès lors la santé
se présente comme un phénomène multidimensionnel, fluctuant, dynamique,
évoluant en interdépendance avec divers ordres de causalité tant internes
qu’externes. Du point de vue quantique, être en santé équivaut à être en
synchronisme avec soi-même, physiquement et mentalement.
L’approche
quantique soutient qu’il existe une tendance innée de tout organisme vivant à
se réparer lui-même pour peu qu’on lui donne les moyens de le faire. C’est ici
qu’entrent en jeu l’alimentation, la qualité de l’air, les pensées positives et
le mode de vie. La thérapie quantique cherchera donc à agir sur les conditions
permettant aux forces naturelles de guérison de chacun de se mettre au travail.
La
médecine du futur
La vision
quantique n’invalide en aucun cas la médecine allopathique mais la situe dans
un cadre conceptuel et scientifique plus large. La médecine quantique va
beaucoup plus loin que l’approche énergétique orientale en mettant en
application les lois de la physique quantique à travers des appareils et des
protocoles de traitements totalement nouveaux. Les astronautes ont été les
premiers à en bénéficier.
Bienvenue à la
médecine quantique !
Notes:
* Biochimique : les
analyses de laboratoires et les médicaments sont axés sur les réactions
chimiques adéquates ou non, entre les principaux constituants de l’organisme.
* Ilya Prigogine
(1917 -2003), physicien et chimiste belge d’origine russe, prix Nobel de chimie
en 1977.
Pour aller plus
loin :
Biologie, Médecine
et Physique quantique,
R.
Cannenpasse-Riffard, Médecine &
Sciences, Ed. Marco Pietteur 2002, Embourg, Belgique
Extrait SY n°103
FéVRIER 2010 Thérapie
par Diane lassonde
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