vendredi 19 juin 2009

L'intuition au secours du mental



L'intuition au secours du mental




Un nouvel extrait écrit de la fameuse conférence
d’Ian Lungold sur le calendrier Maya.

A voir ici


L'accélération exponentielle des changements mondiaux représentent un réel problème pour le mental. Nous avons développé ce mental pendant 2 millions d'années pour mettre en place la conscience similarité/différence. Il a une vitesse limite : 24 pensées par seconde : c'est la vitesse de fonctionnement maximale du mental. C'est de cette façon dont les films fonctionnent et les effets spéciaux. Donc, quand toujours plus d'informations sont stockées dans le mental, il peut de moins en moins en traiter. Cela occasionne du stress dans tout le système. Cela fait partie de notre évolution, c'est construit ainsi. Si quelque chose ne vous convient pas, votre corps ressent des tensions. Vous recherchez alors à remédier à la situation, c'est très naturel. Mais nous ne vivons pas de façon si naturelle, nous cherchons à nous adapter au stress, ce qui cause de graves problèmes physiques , des défaillances mentales, des problèmes de violence, sur la route, au travail, dans les couples.
Et la tuerie de Colombine, et le terrorisme.
Tout ceci est le syndrome de la violence.

Le mental a alors un plan :
s'il ne peut pas supporter tout ce stress, alors il devient inconscient, ou bien il fait semblant de ne pas voir.

Nous voyons tout ceci autour de nous. Les gens se jettent dans toutes sortes de distractions pour ne pas être conscients de ce qu'il se passe réellement dans leur vie. Donc le mental a un problème, et tant que l'homme sera associé a son mental, croyant en ce qu'il lui dit, il continuera a avoir des problèmes. Par contre, il y un tout autre système à notre disposition, et qui est inné; il est appelé l'INTUITION.
Il est assez évident que le mental va s'emballer, très bientôt. Parce que l'accélération va se poursuivre. Ce que vous pensiez faire 15 minutes plus tôt, vous ne pourrez plus le faire à cause de votre agitation mentale. Le mental va partir en vrille.

Votre intuition n'a pas de vitesse limite, elle n'a pas de vitesse du tout.

Votre intuition est votre propre connexion avec votre connaissance innée, personnelle, qui fait partie de tout ce qui peut être connu. C'est à peu près comme suit : Votre conscience est orientée dans le temps et l'espace. Dans ce moment de temps et d'espace, c'est ce que nous appelons la 3D, qui est une émanation de plus haut, appelons cet « endroit » la 5ème dimension. Tout le potentiel existant. Tout ce qui peut se passer, l'infinité et tout ça. De ce point se déverse un flux d'événements. Nous recevons ce flux de potentialités de 5D à travers la 4D jusqu'à la 3D comme une descente d'escalier. Le flux vient de la potentialité pure à travers le temps, et entre en manifestation, dans un certain temps et endroit.

Avez-vous remarqué que votre intuition est toujours juste ?
Et qu'elle est plus juste que votre mental ?

Que vous disaient vos profs pendant les examens ? Fiez-vous toujours a votre 1ère idée, parce que la 2ème sera fausse, parce qu'elle vient de votre mental, alors que la 1ère vient de votre intuition.
Donc votre intuition est juste, mais pourquoi ?
Il est possible que, quand on est dans l'intuition, quand on est centré, dans un temps et un espace donné, on se sente comme sur la bonne voie. Les athlètes l'appellent « la Zone ». Quand on est dans cette zone, tout semble naturel. On sait quelle est la bonne chose à faire. On est centré. Il est possible que cet endroit soit le niveau d'ou l'on puisse créer le futur. Cela expliquerait pourquoi l'intuition semble si juste. Vous créez l'instant suivant, et nous allons voir comment c'est possible.
Nous percevons le flux de la création en moments successifs, mais il est en fait continu et simultané. Votre conscience peut s'accorder à ce flux. Connaissez-vous le mot « entraînement » ? C'est un mot scientifique pour un phénomène inexpliqué. C'est la façon dont les mécanismes et certainement les organismes vivants entrent en synchronisme. Si l'on place 2 machines l'une à coté de l'autre, elles vont se mettre à accorder leur rythmes. Deux horloges mécaniques, ou plusieurs, sur un mur, réglées à des heures différentes vont se mettre à sonner en même temps au bout d'une semaine. Les choses accordent leur rythme, c'est un phénomène très naturel.

Ce calendrier n’a jamais été un calendrier, il a toujours été un compteur, un compteur de la création. Jour après jour, il a suivi le fil du flux, du niveau et du but de la création. Je pense qu'il n'y a qu'une loi dans l'univers, une simple loi, et que tout découle de là :
« Ce à quoi vous prêtez attention, vous en devenez conscient ».

On ne peut pas briser cette loi. Une fois que vous avez prêté attention à quelque chose, vous en devenez alors conscient. Il y a donc un seul but au calendrier Maya, à sa civilisation et à la notre aujourd'hui:
Si on prête attention jour après jour au flux de la création, de quoi devient-on alors conscient ? Du flux de la création !
Il contient tout ce qui peut être connu, y compris votre intuition. Ça simple trop simple, mais la vérité est toujours simple. Ce sont les mensonges qui compliquent tout.

Donc, l'intuition va être notre guide au travers des situations à venir.

Vous n'allez pas avoir le temps d'analyser tout ce qui va se présenter à vous. Vous allez juste devoir agir (« Just do it »).
Nouveau slogan Nike : « Vous êtes plus rapide que votre pensée ».
Le but du calendrier Maya est de réveiller, de s'ouvrir à votre intuition (explication de la concordance avec le calendrier grégorien dans un livre qu'il montre.
EX : jour 5* : le 5 représente l'énergie de l'autorisation et du centrage, et l'étoile représente l'énergie de l'abondance, comme une étoile qui donne continuellement = abondance autorisée à grandir).

Il y a une façon d'aborder la 3D. D'un endroit et d'un temps donné, nous prêtons attention à ce qui est en face de nous, à ce qui fait partie de notre réalité. Votre mental va avoir du mal à le faire, car il n'existe pas dans le présent. Il existe soit dans le passé, soit dans le futur. Quand vous êtes vraiment présent à ce que vous faites, vous ne pensez à rien d'autre, vous agissez seulement. Mais quand vous n'y êtes pas, votre mental est comme en pose et sans frein : dans le futur, la passé, tout ce qui aurait dû être, nous connaissons tous cela...

Nous devons donc aborder la 3D en prêtant attention au moment et à l'endroit dans lesquels nous sommes. Nous développons alors une intention qui est une concentration de notre attention. Que désirez-vous que vous apporte l'instant suivant ? Plus votre attention est focalisée, plus votre intention est puissante. (Ex : « jouer au frisbee avec quelqu'un qui n'en avait pas envie ? »).

Une fois que l'intention est là, il y a autre chose de très important : l'intégrité.

Nous abordons l'univers physique avec notre propre intégrité qui nous est personnelle. Vous dites que vous allez faire quelque chose ? Vous le faites non ? c'est votre intégrité. Vous avez prêté attention, vous avez eu une intention, ensuite, c'est le moment d'utiliser votre intégrité pour matérialiser tout ça. Sans elle, rien ne se passe.

Donc, ensuite, il y a l'intuition : c'est savoir quoi faire au bon moment.
(Ex : accident de la route dont on réchappe : attention + intention + intégrité + intuition : on sait exactement quoi faire ou ne pas faire pour s'en sortir. Le mental n'est pas intervenu, il s'affole...après coup et le choc intervient quand il se remet à fonctionner : syndrome post-traumatique).
Ce genre d'événement imprévu va arriver de plus en plus souvent au fur et a mesure de l'évolution de la conscience. Vous devez vous fier à votre savoir personnel sans y réfléchir. Donc l'intuition est la clef, et ce n'est pas nouveau, tous les livres en parlent. La meilleure façon de la développer est de l'entretenir. Maintenant, l'heure est venue de passer aux travaux pratiques.

Nous sommes tous des créateurs, mais ce que nous voulons le plus créer, c'est la paix de l'esprit. Je pense que c'est ce qui est le plus utile, une base stable de laquelle vous pourrez opérer. Une connaissance paisible, la certitude, la paix de l'esprit. Mais la paix de l'esprit fait des aller-retours.
Pourquoi ne reste-elle pas ?
Je me suis rendu compte qu'à chaque fois que quelque chose d'imprévu arrivait dans ma vie, la paix de mon esprit s'envolait. Que ce soit quelque chose d'excitant, de surprenant, ou de profondément déprimant, ou encore d'exaspérant...j'étais bouleversé et mon mental reprenait le pouvoir. Adieu la paix de l'esprit, adieu l'intuition.
(Ex : perdre son portefeuille...oublier un numéro de tél...) .


Comment développer la paix de l'esprit et la retrouver à chaque fois ?

Elle ne survient que lorsqu'on est centré. Le fait d'être centré vient de la certitude. Quand on est ancré dans la certitude, alors on est centré. (Ex : cours de danse : une fois que vous avez assimilé les repères associés à la danse, la certitude s'est installée. Alors l'impression d'être centré, l'équilibre, et la paix de l'esprit vous ont accompagné sur la piste de danse. Pareil lorsqu'on apprend à conduire...etc.). La moindre chose que l'on a faite a suivi ce schéma. Quand on assimile les repères, alors on devient certain, puis centré, et ensuite la paix de l'esprit s'installe.

Donc, maintenant, il faut apprendre à chaque fois que la paix de l'esprit est perturbée, à utiliser immédiatement les repères. J'ai trouvé un repère, un modèle, à chaque fois que j'ai examiné la situation. J'avais déjà eu cette expérience auparavant, peut-être au travers d'une situation différente, mais j'avais eu les mêmes sentiments, les mêmes réactions. Il y avait donc des repères, un schéma. Alors immédiatement, je sentais en moi la certitude : j'étais certain que j'étais bouleversé, plutôt que d'être simplement bouleversé.
La différence ?
soit vous ne faites juste que crier, pleurer et vous lamenter,
soit vous constatez votre état : « je suis bouleversé »,
c'est une grosse différence.
Plus vous connaissez les repères, plus vous devenez certain et centré, et plus vous pouvez contrôler la situation. Ce sont des outils que nous avons déjà. Pas besoin d'acheter quoi que ce soit, ni de lire un autre livre. Pas le temps de lire des livres !

Ian LUNGOLD – 2005

www.letransmuteur.net/calendrier-maya-ian-xel-lungold-et-johan-calleman/ -

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