mardi 22 septembre 2009

Ainsi parle Bernard Werber


Bernard Werber

(né le 18 septembre 1961 à Toulouse) est un écrivain français connu notamment pour sa trilogie des Fourmis et ses nombreux romans. Son œuvre fait se rencontrer notamment mythologie, spiritualité, philosophie, science-fiction, biologie et futurologie. Il achève actuellement son nouveau roman dont la parution est prévue en octobre 2009, et en commence un autre.



« Très peu d’hommes savent se forger une opinion par eux-mêmes. Aussi répètent-ils ce que leur ont dit leurs parents, puis leurs professeurs et enfin ce qu’ils ont entendu aux informations du soir, et ils finissent par se convaincre qu’il s’agit là de leur opinion personnelle, au point de la défendre ardemment face à d’éventuels contradicteurs. Il suffirait pourtant qu’ils tentent d’observer par eux-mêmes, de penser par eux-mêmes et ils découvriraient le monde tel qu’il est et non pas comme on les conditionne à le voir. »

«Sans les suicidaires, le monde n'avancerait pas...»

«On ne perçoit du monde que ce qu'on est préparé à en percevoir.»

«Quand on a peur dans la vie, c'est parce qu'on se sait pas quelle décision prendre.»

«Pour comprendre un système, il faut… s'en extraire.»

"À force d'être libre on finit par être seul."

«Le monde se divise en deux catégories de gens : ceux qui lisent des livres et ceux qui écoutent ceux qui ont lu des livres.»

«On peut pardonner beaucoup à autrui, sauf de vous avoir aidé.»

«La vraie justice, c'est peut-être ça : être capable de dire merci à ceux qui vous ont fait du bien et de ne pas lécher la main de ceux qui vous ont nui.»

«Nous ne sommes que des grains de sable mais nous sommes ensemble. Nous sommes comme les grains de sable sur la plage, mais sans les grains de sable la plage n'existerait pas.»

«Si un humain n'est pas capable de percevoir la douleur d'un autre, il serait justifié de lui retirer sa qualité d'homme.»

«On n'écoute plus ce que les gens disent. On se contente de regarder comment ils le disent, quel regard ils ont en le disant, et si leur cravate est assortie à leur pochette.»

«Pour l'instant le monde humain appartient à ceux qui se demandent "pourquoi". Mais l'avenir appartient forcément à ceux qui se demandent "comment".»


«Un homme heureux en ménage dégage toujours une sorte d'aura qui le rend encore plus séduisant auprès des autres femmes.»


«Si l'humanité ne se charge pas de s'autodétruire elle-même, d'ici quelques siècles, les humains deviendront de véritables humains.»

«Il est des moments où les rêves les plus fous semblent réalisables à condition d'oser les tenter.»

«Les choses qui vont sans dire vont mieux en les disant.»


«Ceux qui ont des idées mais ne savent pas les présenter sont, peu à peu, exclus des débats.»

«Il suffit que quelqu'un veuille vraiment quelque chose pour que cela se produise.»

«Les réincarnations, c'est comme le bac au lycée. Quand on échoue, on redouble.»

«Aime tes ennemis. C'est le meilleur moyen de leur porter sur les nerfs.»

«Beaucoup d'humains sont prêts à se battre bec et ongles pour qu'on ne leur ôte pas leurs chaînes.»

«Rien n'est plus agaçant que le bonheur des autres. Surtout quand il sert de jauge à votre propre déconfiture...»

«Sous l'avalanche ininterrompue d'informations insignifiantes, plus personne ne sait où puiser les informations intéressantes.»

«L'amour pour épée,

L'humour pour bouclier.»


cosmobranche.free.fr/


"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous avez envie d'entendre, ce que vous croyez entendre, ce que vous entendez, ce que vous avez envie de comprendre, ce que vous interprétez et ce que vous comprenez ... il y a dix possibilités qu'on ait des difficultés à communiquer ...

Mais essayons quand même ! "


Bernard WEBER (Le Père de nos pères)


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