René Barjavel, né le 24 janvier 1911 à Nyons (Drôme) et mort le 24 novembre 1985 à Paris, est un écrivain et journaliste français principalement connu pour ses romans d'anticipation.
Certains thèmes y reviennent fréquemment : chute de la civilisation causée par les excès de la science et la folie de la guerre, caractère éternel et indestructible de l'amour (Ravage, Le Grand Secret, La Nuit des temps, Une rose au paradis). Son écriture se veut poétique, onirique et, parfois, philosophique. Il a aussi abordé dans de remarquables essais l'interrogation empirique et poétique sur l'existence de Dieu (notamment, La Faim du tigre), et le sens de l'action de l'homme sur
« Comment puis-je croire ce que je ne comprends pas ? »
«Il n'y a pas d'autre mort que l'absence d'amour.»
«Ce qui s'apprend sans peine ne vaut rien et ne demeure pas.»
« [Dieu] avait fait l'homme à son image, mais il l'avait pétri dans la boue qui contient en puissance toutes les pourritures. Il le pesa pourtant avec la même balance qu'il eût employée pour un pur esprit. C'était la vraie justice. L'homme s'il veut rester au Paradis, ou y entrer, doit se nettoyer de la boue dont il est fait. »
«Rien n'est impossible à la mauvaise volonté de l'homme.»
«Le nom de Dieu a trop servi.»
«Les hommes rêvent, se fabriquent des mondes idéaux et des dieux. Les femmes assurent la solidité et la continuité du réel.»
«Quand on se croit obligé d'exprimer sa gratitude, on perd la moitié de sa joie.»
«Dieu n'est que l'image de quelque chose, principe, force, idée, esprit, volonté, que nous ne pouvons concevoir ni nommer.»
«Les enfants sont des sages.»
«Celui qui copie la nature est impuissant, celui qui l'interprète est ridicule, celui qui l'ignore n'est rien du tout.»
«L'inutile et le superflu sont plus indispensables à l'homme que le nécessaire.»
«Vivre les malheurs d'avances, c'est les subir deux fois.»
«Il est bien difficile de croire que tant de merveilles, tant d'ingéniosité dans le monde soient l'effet du hasard et de la chimie seulement.»
«Le bonheur de demain n'existe pas. Le bonheur, c'est tout de suite ou jamais.»
«La raison rétrécit la vie, comme l’eau rétrécit les tricots de laine.»
«Nous savons au moins déjà une chose, c'est que l'homme est merveilleux, et que les hommes sont pitoyables.»
Ceci est l'équation de Zoran.
Elle se lit de deux façons. Elle se lit avec les mots de tout le monde et elle se lit en termes de mathématiques universelles.
- Je peux la lire dans les mots de tout le monde.
Elle se lit ainsi :
"Ce qui n'existe pas existe."
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