lundi 11 mai 2009

Des témoignages sur la réincarnation




Des témoignages sur la réincarnation


Edgar Cayce

D'après : CERMINARA, C. De nombreuses vies, de nombreuses demeures

" Pendant plus de 20 ans (de 1901 à 1923), Edgar Cayce a traité des milliers de problèmes médicaux alors qu’il était en transe. Il entrait lui-même spontanément dans cet état. Or, un matin, son ami Lammers, convaincu que la clairvoyance de Cayce pouvait s’appliquer à des questions plus importantes que celles de la santé physique, lui suggéra de lui prédire son avenir. Cayce se mit en transe, et lui dicta ce qu’il voyait sur l’écran universel. Il acheva sa lecture en disant : ' Cette entité a déjà été un moine. ' Lammers fut sidéré par cette révélation. Mais, pour sa part, Cayce était loin d’être satisfait, car le phénomène de réincarnation s’opposait à ses croyances de baptiste pieux et traditionnel. Cependant, avec le temps, il accepta d’entreprendre ce qu’il allait appeler des lectures de vie, où il était clair que les existences passées influençaient la vie actuelle, comme celle-ci allait affecter celles de l’avenir. Jusqu’à son décès en 1945, il donna plus de 2500 de ces lectures.

" Cayce soutenait que ces données venaient des souvenirs de l’humanité, enfouis dans l’inconscient de chacun. Cependant, il ne croyait pas que les gens devaient souffrir à cause de leur passé. C’était simplement leur sort, voire leur choix! Il manquait quelque chose pour rétablir l’équilibre, quoique la souffrance permettait en même temps à ceux qui en étaient les témoins d’aider les victimes. De cette façon, les uns vivaient leur destin, mais les autres progressaient en les aidant à le vivre.

" Voici les conseils qu’il donnait (alors qu’il était en transe) à un homme qui lui demandait de l’aide : ' Oui, nous sommes en présence d’un corps; ce corps, que nous avions vu antérieurement, nous constatons qu’il a fait des progrès physiques, mais il reste beaucoup, beaucoup à désirer. Ainsi qu’il a déjà été indiqué, il s’agit d’un état karmique, et il faut que l’entité soit disposée à changer d’attitude vis-à-vis des événements, des situations et de son prochain. Il y a eu progrès tant qu’on a appliqué des moyens mécaniques destinés au redressement physique. Mais si l’entité est si satisfaite d’elle-même, si elle est tellement centrée sur elle-même qu’elle refuse la dimension spirituelle et ne change en rien son attitude, il n’y aura plus d’amélioration; aussi longtemps qu’il y aura de la haine, de la malveillance, de l’injustice, de la jalousie, aussi longtemps qu’il y aura en elle quoi que ce soit qui se trouve en contradiction avec la patience, la tolérance, l’amour fraternel, l’amabilité, la gentillesse, il ne pourra y avoir de guérison du mal dont ce corps souffre. Dans quel but l’entité désire-t-elle être guérie? Pour pouvoir donner satisfaction à ses propres appétits physiques? Pour ajouter à son égoïsme? S’il en est ainsi, il est préférable qu’elle reste telle qu’elle est. Accepterez-vous? Refuserez-vous? Cela dépend de vous. Nous n’aurons plus rien à y voir – à moins que vous ne vous corrigiez. "

Mrs Smith et les cathares

Né en 1905, Arthur Guirdham, boursier de l’université d’Oxford, étudia en médecine puis en psychiatrie. À l’âge de 24 ans, il se mérita la médaille d’or du Gouverneur pour ses recherches cliniques au Charing Cross Hospital de Londres. Il fut consultant en psychiatrie pendant plus de trente ans.

Il avait environ 40 ans lorsqu’une certaine Mrs Smith lui ayant fait part de ses étranges expériences, il n’eut d’autres choix que d’adhérer au concept de réincarnation. Ces confidences révélaient une connaissance détaillée de l’histoire et des pratiques des cathares, une secte qui, au Moyen âge, fut cruellement persécutée par l’Inquisition; populaire surtout dans le sud de la France, son centre était Toulouse, que Mrs Smith prononçait Tolosa. Les cathares, comme les premiers chrétiens, croyaient notamment en la réincarnation, alors que l’Église officielle avait rejeté cette thèse depuis plusieurs siècles.

Durant des vacances prises en France, dans les années 60, Mrs Smith eut l’impression de connaître le pays comme si elle y avait toujours vécu, et que certaines régions lui étaient particulièrement familières, surtout Saint-Jean-Pied-de-Port qu’elle visitait pourtant pour la première fois. À Toulouse, et surtout dans la cathédrale, elle revécut l’horreur, car c’est là que plusieurs cathares avaient été jugés pour hérésie.

Au début, le Dr Guirdham se montra quelque peu agacé par les récits de sa patiente, qu’il considérait comme des fantaisies, même si lui-même s’était senti étrangement attiré par le Languedoc et les Pyrénées (où s’élevaient plusieurs châteaux cathares).Puis un jour, elle lui raconta un cauchemar récurrent qui la remplissait de terreur, dans lequel elle voyait un homme entrer dans sa chambre et s’approcher de son lit par la droite; cela attira l’attention du psychiatre car il souffrait d’un cauchemar presque identique, mais où l’homme s’approchait de lui par la gauche… Elle savait que le personnage de son rêve avait commis un meurtre et ne le regrettait pas. Mais ce qu’elle cacha pendant longtemps, c’est qu’elle avait reconnu celui-ci comme étant son amant cathare, Roger Isarn. (Ce nom, ainsi que les autres qu’elle se rappellera, ont pu être vérifiés par la suite dans les registres de l’Inquisition.)

Suivit pour Guirdham une série de coïncidences, notamment une rencontre avec deux femmes, certaines qu’il avait fait partie des cathares autrefois, ce qui l’amena à étudier la question de plus près. Grâce aux renseignements que lui prodiguait Mrs Smith et à sa propre recherche, il devint convaincu que l’homme de son rêve était Pierre de Mazerolles, un cathare bien connu qui fut identifié comme un des meurtriers de l’Inquisiteur venu détruire la secte.

Il est également important de noter que, durant son adolescence, Mrs Smith écrivait des poèmes en langue d’oc, une ancienne langue du Midi qui n’était certainement pas enseignée dans les collèges britanniques de l’époque! La comparaison entre ses poèmes et ceux des troubadours du 13e siècle est saisissante; pourtant, elle ne savait pas le français, et elle écrivait comme en transe. Plusieurs de ces textes ont été insérés dans l’ouvrage du Dr Guirdham, Les cathares et la réincarnation.

Même les plus sceptiques ont beaucoup de peine à réfuter le récit que Guirdham fait de toute cette histoire, parce que la plupart des détails qu’il donne n’étaient pas connus au moment où Mrs Smith venait le voir, par exemple, lorsqu’elle décrit les cathares vêtus de manteaux bleu sombre. Les historiens jugèrent un temps cette affirmation plutôt farfelue, car on croyait savoir que ces derniers s’habillaient toujours de noir. Mais les recherches subséquentes ont donné raison à Mrs Smith, au point que les deux grands spécialistes des cathares, le Professeur Nelli et M. Jean Duvernoy, concluent que désormais, pour tout connaître sur le sujet, c’est à Mrs Smith qu’il faudrait s’adresser…

La régression vers le passé

Ian Stevenson lui-même semble ouvrir la porte à l'exploration des vies antérieures au moyen de techniques de régression : " Les cas qui s'apparentent à la réincarnation suggèrent que, même si la personnalité est formée au cours de l'enfance, son développement commence beaucoup plus tôt, au cours des vies antérieures. Si nous nous permettons de croire que la formation de la personnalité s’amorce avant la conception, nous serons peut-être en mesure de mieux expliquer que nous ne le pouvons actuellement nombre d'anomalies dans le développement de l'enfant et de sa personnalité qui, jusqu'à ce jour, ont fait l'objet de théories pour le moins obscures et laissent deviner des lacunes essentielles en ce qui concerne les explications des spécialistes. " Selon Stevenson, la réincarnation pourrait donc éclairer certains comportements que ne sauraient justifier ni la génétique ni l'environnement.

Le cas de Beckey

D'après : HOLBECHE, Soozi. Journeys Through Times, p. 29

Voici un cas de rappel de vie antérieure effectué, semble-t-il, par une régression en présence d'un psychiatre. Il s'agit de Beckey, une femme de 29 ans. " Elle n'avait jamais quitté l'Australie et ne savait rien de la Deuxième Guerre mondiale. Elle était uniquement préoccupée par le bien-être de sa fille de 3 ans, à laquelle elle était très attachée. Cependant, elle accepta de participer à une session avec moi, que le réseau ABC voulait filmer dans mon appartement. L'équipe des cameramen comprenait cinq gaillards qui n'avaient pas du tout l'air de croire à cette ridicule histoire de réincarnation. À cause de cela, je me demandais moi-même si cela allait vraiment fonctionner.

" J'ai demandé à Beckey de s'étendre, de fermer les yeux, et de respirer profondément afin de se détendre. Nous avons parlé un peu de son divorce imminent. Je lui ai demandé de regarder vers le passé pour voir si elle pouvait trouver une cause à ce divorce. Soudain, elle s'est mise à crier, en étouffant et en haletant comme quelqu'un qui est pourchassé par un animal dangereux. Tout son corps se rétractait comme pour protéger un objet précieux qu'elle tenait contre sa poitrine. Elle regardait avec désespoir par-dessus son épaule. Les sons terribles qui sortaient de sa bouche me donnaient des frissons. Les cameramen, d’abord cyniques, étaient maintenant presque en état de choc, et l'intervieweur devait leur rappeler de continuer leur travail.

" Beckey racontait maintenant qu'elle était cachée dans une cave, où elle fut facilement trouvée par des soldats qui l'emmenèrent à une station où des camions à bétail attendaient en ligne. Les soldats lui arrachèrent l'enfant qu'elle tenait et le lancèrent au loin comme un sac de guenilles. L'enfant disparut de l'autre côté des camions. Elle ne devait plus le revoir. Ils la hissèrent ensuite sur l'un des camions qui était si plein qu'il y avait à peine de la place pour se tenir debout. Le voyage se prolongea pendant des heures, dans un air raréfié et sans eau. Une fois parvenus à destination, les soldats les emmenèrent vers un hangar très bas où ils durent enlever tous leurs vêtements (qui devaient en principe être désinfectés pour leur être ensuite remis). On leur rasa la tête, prétendument pour des raisons d’hygiène. Puis, tout le monde, hommes, femmes et enfants, furent poussés nus dans les soi-disant douches, d'où ils n'allaient jamais revenir. Ce qui sortait de ces douches n'était pas de l'eau mais un gaz mortel, le Zyklon B. (Rappelons-nous que Beckey n'avait jamais quitté l'Australie et ne connaissait rien de la dernière guerre.)

" Après son récit, Beckey pleura toutes les larmes de son corps. Je la tenais et la berçais. L'intervieweur lui demanda si elle avait déjà expérimenté une chose semblable.

"Non", répondit-elle.

— Et comment cette expérience a-t-elle pu vous aider?

— Je me sens légère, libérée! Même mon corps se sent différent.

Et l'intervieweur de renchérir:

— Même vos yeux et votre peau ont changé.

— Maintenant, dit-elle, je sais d'où venait ma peur de perdre ma fille. Je n'aurai plus besoin d'être aussi possessive.

Profondément bouleversés par le récit de Beckey, les techniciens se retirèrent sans dire un seul mot. "

Autres cas de régression devant la télé

D'après : RAMSDER, P. Journeys Through Times, p. 64-65

L'hypnothérapeute australien, Peter Ramsder, mentionne un épisode où trois femmes, hypnotisées devant les caméras de télé, ont fourni des descriptions détaillées d’une vie passée, que l'on a ensuite scrutées de façon exhaustive. Cette histoire fit l’objet d'un documentaire présenté à la télé australienne en 1983.

La première de ces femmes, Cynthia, se souvenait d'une vie en France. Elle décrivit sa vie avec son mari et ses enfants, ainsi que le château où ils demeuraient. Elle comprenait et parlait le français, alors qu'à l'état de veille, elle en était incapable. De son côté, Jenny raconta sa vie à Dusseldorf comme fille de joaillier juif, et son adolescence pendant l'ascension d'Hitler. Elle revécut ainsi la terreur d'être poursuivie par les nazis: " On nous a emmenés vers un village où vivaient des juifs. Nous y faisions la cuisine, le lavage et l’entretien dans la maison de ces gens qui étaient partis. Mais où? Normalement ils n’auraient pas laissé leurs vêtements derrière eux! " Elle parla ensuite d'une amie, Freda, qui avait voulu s’informer sur ces gens. Presque hystérique, Jenny s'écria : " Ils ont pris Freda. Ils l'ont battue et frappée à coups de pied. Pas de questions : il ne faut jamais poser de questions! Elle est simplement morte dans la boue, et on nous a empêchés de la secourir… "

La troisième de ces femmes, nommée Hélène, déclara d’abord : " Je suis le Dr James Archibald Burns. Je déteste le nom d'Archibald. C'était celui de mon père, que je n'ai jamais vu rire. Bien sûr qu'il riait avec ses amis ivrognes, mais jamais avec moi. " Elle décrivit ensuite sa vie comme médecin hautement respecté puis comme juge de paix à Blairgowrie, en Écosse, dans les années 1830.

" Une fois tous ces noms, ces lieux, ces dates dûment vérifiés par des historiens et des témoins indépendants, à partir d’anciens registres et de vieilles cartes, les trois dames furent amenées par avion sur le lieu de leur vie antérieure. Leur choc devant les demeures en ruine, leur émotion devant les paysages reconnus, furent pour les téléspectateurs autrement plus convaincants que tous les arguments académiques. "

Cas de rappel d'une mort par suicide

D'après : NEWTON, M. Journey of Souls, p. 66 et suivantes et p. 244-246

La scène se déroule dans le bureau du Dr Newton, psychiatre, qui vient d'hypnotiser un patient:

Dr N.: Où allez-vous maintenant?

R.: Je dois rendre des comptes. Nous traversons tous cette étape après chaque vie, mais cette fois-ci je suis vraiment dans l'eau bouillante.

— Pourquoi?

— Parce que je me suis suicidé.

— Serez-vous puni?

— Pas du tout. Il n'existe pas de punition ici; c'est une peine qui n'appartient qu'à la terre. Cependant, mon instructeur/guide sera déçu de voir non seulement que j'ai quitté avant le terme fixé, mais surtout que je n’ai pas eu le courage de faire face à mes difficultés. En choisissant de mourir comme je l'ai fait, je dois revenir plus tard et affronter de nouveau cette situation. J'ai tout simplement perdu beaucoup de temps en agissant comme je l'ai fait. Mais si les instructeurs ne me condamnent pas, mes amis ne me féliciteront pas non plus. Je me sens triste d'avoir agi ainsi. Ici, tout est transparent, tout le monde vous connaît. Tous les instructeurs vous connaissent à fond : vous ne pouvez vous cacher pour éviter quoi que ce soit [il n'y a plus de corps derrière lequel se cacher]. Et les émotions pénibles dues à certains actes passés ne meurent pas aussi facilement que le corps. Non, on ne peut rien cacher. "

Et le psychiatre conclut ainsi : " Se connaître en profondeur suppose le fait de comprendre pourquoi nous nous sommes unis aux âmes de parents, frères et sœurs, époux et amis. C'est habituellement pour dénouer des liens difficiles ou pour affirmer une proximité avec un proche dont nous recevons peine ou plaisir. Car, nous venons sur terre à la fois pour apprendre nous-même et pour aider les autres à apprendre à leur tour.

" Il est donc capital que nous comprenions que, quoi qu'il nous arrive dans la vie, notre bonheur ou notre malheur n'est aucunement le signe d'une récompense ou d'une punition de la part d'une dieu surveillant, ou même de nos instructeurs. Nous sommes en charge de notre destin, et jamais sa victime. "


.....


Voici une liste non exhaustive de tous ceux qui, à travers les siècles, ont cru à la réincarnation. Je ne citerai ici que des individus, non les religions universellement connues pour leur adhésion au principe des renaissances successives, tels que le bouddhisme et l'hindouisme. Il semble que le monde d'avant l'ère chrétienne était généralement réincarnationiste. N'oublions pas que nos ancêtres les Gaulois y croyaient, fait attesté par Jules César dans ses récits sur la guerre des Gaules.

Les grecs


Apollonius de Tyane, philosophe
Aristote, philosophe
Jamblique, philosophe
Platon, philosophe
Plotin, philosophe
Plutarque, biographe et philosophe
Pythagore, mathématicien
Socrate, philosophe



Les romains


Cicéron, orateur, homme politique, philosophe
Julien, empereur
Ovide, poète
Virgile, poète, auteur de l'Enéide



Les pères de l’Église


Clément d’Alexandrie, théologien grec
Saint Augustin, évêque de Nippone
Saint Grégoire de Nisse, archevêche de Cappadoce
Saint Grégoire de Naziance, archévêque de Constantinople
Origène, théologien alexandrinCelui du fameux concile de Constantinople de 553



C’est à partir de cette date, rappelons-le, que le concept de la réincarnation, ainsi que celui de la préexistence de l’âme, furent bannis des enseignements de l’Eglise. Et les gnostiques chrétiens qui professaient ces doctrines furent voués à l'anathème.
L’idée de la réincarnation était morte pour les masses en Occident. Dès lors et jusqu’à la moitié du XIXe siècle, elle ne sera accueillie favorablement que par des philosophes, des écrivains et quelques théologiens audacieux. Il y eut bien quelques groupes spirituels pour perpétuer les croyances et les traditions antiques, mais la plupart furent pourchassés, massacrés et brûlés par l'Inquisition, les autres se dissimulèrent sur le couvert de sociétés secrètes.



Les Ordres mystiques


Les Cathares, brûlés
Les Templiers, brûlés
Les Francs Maçons, société secrète
Les Rosicrusiens, société secrète



La Renaissance


Giordano Bruno, philosophe, poète et dramaturge italienIl fut condamné au bûcher
Dante, poète italien, auteur de la célèbre " Divine Comédie "
Léonard de Vinci, peintre, sculpteur, inventeur, etc. italien
William Shakespeare, poète et dramaturge anglais
Spinoza, philosophe hollandais



Le siècle des Lumières


Frédéric le Grand, roi de Prusse
Benjamin Franklin, homme politique, savant et philosophe américain
Goethe, écrivain allemand
Emmanuel Kant, philosophe allemand
Voltaire, écrivain français



L'époque romantique et les temps modernes


Les artistes
Edgar Allan Poe, poète, conteur et critique américain
Honoré de Balzac, écrivain français
Sir Arthur Conan Doyle, romancier anglais, le "père" de Sherlock Holmes
Charles Dickens, écrivain anglais
Fiodor Dostoïevski, écrivain russe
Gustave Flaubert, écrivain français
Khalil Gibran, écrivain et poète libanais
Heinrich Heine, poète lyrique et publiciste allemand
Victor Hugo, écrivain français
Rudyard Kipling, romancier et poète anglais
Jack London, romancier américain
Gustav Mahler, compositeur autrichien
Somerset Maugham, romancier et dramaturge anglais
Herman Melville, écrivain américain, auteur de " Moby Dick "
Henry Miller, romancier américain
Gérard de Nerval, poète et écrivain français
George Sand, écrivain français
Léon Tolstoï, écrivain et dramaturge russe
Richard Wagner, compositeur allemand



Les scientifiques
Thomas Edison, inventeur américain
Camille Flammarion, astronome français
Carl Jung, psychologue et psychiatre suisse
J. B. Rhine, parapsychologue américainC’est à lui qu’on doit les cartes de " Rhine " utilisées pour les expériences de télépathie
Ian Stevenson, psychiatre et parapsychologue américainAuteur de l’ouvrage " 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation "


Les initiés
Aron Abrahamsen, ingénieur et médium américain d’origine norvégienne
Helena P. Blavatsky, fondatrice de la société théosophique
Edgar Cayce, médium américain
Gérard Encausse " Papus ", médecin et occultiste français
Allan Kardec, fondateur du mouvement spirite
Rudolf Steiner, fondateur du mouvement anthroposophique



Les célébrités
Le Dalaï Lama, 14e du nom, chef spirituel du bouddhisme tibétain
Henry Ford, industriel américain
Gandhi, homme politique et apôtre indien de la non-violence
Claude Lelouch, cinéaste français
Charles Lindbergh, aviateur américain
Shirley Mc Laine, actrice américaine, auteur de plusieurs livres sur la réincarnation
George S. Patton, général américain, héros de la seconde Guerre mondiale
Elizabeth de Wittelbach, plus connue sous le diminutif de " Sissi ", Impératrice d’Autriche

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