mercredi 6 mai 2009

Ainsi parlait Juvénal



Juvénal (en latin Decimus Iunius Iuuenalis) était un poète satirique latin de la fin du Ier siècle et du début du IIe siècle de notre ère. Il est l'auteur de seize « satires » rassemblées dans un livre unique et composées entre 90 et 127.

« Panem et circenses ! » : Du pain et des jeux.

«Un esprit sain dans un corps sain.»

« Consacrer sa vie à la vérité. »

«L'argent n'a pas d'odeur d'où il vienne.»

«Le voyageur qui n'a rien passera en chantant devant les voleurs.»

«Le plus grand respect est dû à l'enfant.»

«C'est une grande folie que de vivre pauvre pour mourir riche.»

«La couche nuptiale est l'asile des soucis ; c'est le lit où l'on dort le moins.»

«Tes traits tiennent à jour le compte de tes ans.»

«La tendresse du cœur, c'est ce que la nature reconnaît donner aux hommes en leur accordant les larmes ; c'est là la meilleure part de nos sentiments.»

«La nature prouve qu'elle nous veut du bien puisqu'en nous donnant des larmes elle nous donne le meilleur : la sensibilité.»

«La censure épargne les corbeaux et s'acharne sur les colombes.»

Pour vivre, perdre la raison de vivre.

Que ferais-je à Rome? Je ne sais pas mentir.

Que la nature lui en refuse le don, et c'est l'indignation qui dictera au poète ses vers.

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