jeudi 7 mai 2009

Marduk ou Nibiru, la mystérieuse planète X







Marduk ou Nibiru,


la mystérieuse planète X



En 1978, deux astronomes de l'observatoire de la Marine US à Washington, R. Harrington et T. Van Flanders établirent que les orbites de Neptune et Uranus avaient subi des perturbations venant de l'attraction gravitationnelle d'un mystérieux corps céleste non identifié et qui fut appelé la planète X. Cette mystérieuse planète avait précédemment éjecté Pluton et Charon de leurs anciennes positions (comme satellites de Neptune). Selon ces deux astronomes, la planète X. était une intruse que le soleil aurait piégée dans une orbite très excentrique, très inclinée sur l'écliptique. Cette planète aurait 3 aux 4 fois la masse de la terre.


En fait, les astronomes sont pour la plupart convaincus qu'il existe réellement une planète supplémentaire dans notre système solaire, raison pour laquelle elle fut appelée la 10e planète ou planète X.

Même la NASA, en 1982, va reconnaître l'existence possible de la planète X. Puis, en 1983, le satellite Iras repère dans l'espace lointain un objet mystérieux, ainsi que le rapporte le 30 décembre 83 le Washington Post après avoir interviewé le responsable de l'Iras qui déclare "un corps céleste, peut-être aussi gros que la planète Jupiter et peut-être orienté vers la terre au point de faire partie du système solaire, a été découvert dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope en orbite... nous ne savons pas ce que c'est".

Dans les années qui suivirent, on fut plus discret, mais les recherches continuèrent indiquant que X devait avoir une orbite inclinée de 30 degrés sur l'écliptique, qu'elle devait se trouver trois fois plus loin du soleil que Pluton et avoir 3 à 4 fois la masse de la terre. En 1987, la NASA reconnaît officiellement l'existence de cette planète, ainsi que le rapporte Newsweek du 13/7/87 "... La semaine dernière, la NASA fit une déclaration étrange : une 10ème planète, excentrique, pourrait être en orbite (ou non) autour du soleil...".

Le 7 avril 2001, le rapport de Science News titre "l'orbite singulière d'une comète suggère une planète cachée " écrit " bien au-delà des neuf planètes connues un objet aussi massif que Mors pourrait avoir fait partie de notre système solaire et pourrait bien s'y trouver encore".

Cet article rapporte la découverte par une équipe d'astronomes, l'année précédente, d'une comète désignée cette fois-ci sous le nom de 2000-CR/105, sur une orbite solaire elliptique qui la situe à 4,5 milliards de kilomètres du soleil et (ajoute Sky And Télescope du 05/04/2020) cette orbite à une périodicité de 3300 ans. Une autre étude de l'équipe de L'observatoire de Nice Côte d'Azur, parue dans Icare suppose que l'orbite de la comète pourrait être l'œuvre d'une planète encore invisible aussi grosse que Mars.... Bref, la mystérieuse planète alimente les conversations des astronomes ; de toute évidence la planète est bien là, toujours aussi mystérieuse. Mais elle n'intrigue pas que les astronomes si l'on en croit Zacharia Sitchin (www.surfingtheapocalypse.com/sitchin.html) " Je prophétise le retour, dans les temps présents, de cette planète, qui se nomme Nibiru... " (Ce serait la Nibiru des Sumériens).

Est-ce un hasard si plusieurs médiums prévoient l'arrivée d'une planète ou d'une grosse comète dans notre système solaire, les uns au cours de l'année 2003 voire à la fin, d'autres en 2011-2012 ?

Selon les prophéties Incas relatées par A. Villoldo, à l'approche de la fin des temps (notre époque) nous vivrons la grande période de purification appelée Paccachuti, dans l'année 2003 ; ceci rejoint les prédictions de nombreux médiums et prophètes : 2003 devrait être une année importante dans le parcours chaotique de l'humanité. Certains comme R. Ghotswolf prévoient un déplacement des pôles en 2003.



Certains initiés pensent que le monde actuel est tellement "pourri" que des millions de gens par le monde souhaitent et prient pour que ce monde corrompu soit pulvérisé ; la force de leurs prières est telle qu'elle permet d'émettre des ondes suffisamment puissantes pour créer une catastrophe. R. Hoagland qui prétend avoir des informations d'initiés situent cette date en 2003. D'autres, très nombreux aussi, prévoient en 2003 un premier passage dévastateur de la comète et un dernier en 2012. Cette date de 2012 marque aussi la fin du calendrier Maya.



OVNI : L'histoire commence à Sumer

Le phénomène OVNI, connu du grand public depuis le mardi 24 juin 1947 (observation de Kenneth Arnold), jalonne l'évolution de la civilisation humaine depuis le début de son histoire.

Son corollaire, la présence d'une société extraterrestre dans notre environnement planétaire, en témoigne à travers les textes les plus anciens que la pioche a découvert et découvre encore. Parmi de nombreux trésors archéologiques, on trouve des tablettes sumériennes faites d'argile et de caractères cunéiformes qui évoquent une autre ethnie que celle des humains : les Annunaki. Les historiens les ont apparentés à des dieux locaux, et pourtant ils apparaissent dans un contexte quotidien analogue à nos chroniques.

Et si une partie de la solution se trouvait sous nos pieds et non pas dans le ciel…

L'Histoire commence à Sumer. Il s'agit d'un jeu de mot. L'étude dont je vais vous parler s'appuie pour l'essentiel (des références archéologiques) sur l'ouvrage de Samuel Noah Kramer "L'Histoire commence à Sumer" (Editions Flammarion).

Ce dernier présente la richesse variée des tablettes d'argile sumériennes arrachées à la terre depuis le début du XIXème siècle. Ces textes en caractères cunéiformes (en forme de coins) sont les plus anciens que l'on connaisse et puisque la définition de l'Histoire correspond à une mémoire écrite, Kramer en a déduit tout naturellement que "l'Histoire commence à Sumer". Pour ma modeste part, une partie de leur contenu ayant traits aux Ovnis et aux extraterrestres, j'en conclue que l'Histoire des OVNIs commence aussi à Sumer.

Je commenterai plus tard le sous-titre "Les Hommes de Hu".

Dans le cadre de cette étude, j'ai choisi les ouvrages de Samuel Noah Kramer et Jean Bottéro (ouvrage déjà cité, "Lorsque les dieux faisaient l'homme" aux Editions Gallimard) parmi d'autres, car ils se situent dans un contexte archéologique différent de l'ufologie mais totalement universitaire (qui n'est pas en soi, précisons-le, une exclusivité de la pertinence).

Toutefois j'ai également emprunté à deux textes sacrés babyloniens : l'Enuma Elish traduit par George Smith (membre du British Museum en 1976) et Zecharia Sitchin (historien-archéologue d'origine russe), et l'Atra-Hasis.

Je vais éviter les circonvolutions auxquelles le sujet se prête et aller à l'essentiel.

Si les premiers textes sumériens remontent à près de 6000 ans (point de départ de l'Histoire, frontière entre l'Histoire et la Préhistoire), certains d'entre eux font allusion à des événements plus anciens, estimés à 4000 ans antérieurs constituant une période que l'on pourrait appeler la "Protohistoire".

Il est intéressant de noter que ces textes relatent l'arrivée et/ou l'intervention des Annunaki (littéralement "ceux qui sont descendus du ciel sur la terre" et, précision importante s'il en est, ils sont faits, nous disent ces écrits, de chair et d'os – curieux pour des dieux selon notre définition) et que cette date coïncide avec l'apparition de "Dieux" sur les peintures rupestres ("le grand Dieu" de Tassili dans le Sahara – Abri de Jabbaren, Tassili n'Ajjer, Sahara ,…). Ces dieux ont remplacé les représentations des scènes de la vie quotidienne (la cueillette, la chasse et ses préparatifs,…). Ils sont grands, volumineux et portent des vêtements "étranges", ce qui les distingue des hommes représentés nus et stylisés en forme de bâtonnets.

L'étude d'autres cultures montre également que cette époque correspond au point de départ de nombreuses mythologies.

A propos de mythologies, les auteurs (universitaires) que j'ai cités et les autres ont assimilé les Annunaki à des dieux constituant un panthéon évoluant au sein d'une mythologie poétique minutieusement élaborée. Mais s'ils l'ont fait, ce n'est pas sans un certain malaise au regard des lacunes qu'ils n'ont pu comblées pour justifier leur intrusion dans les chroniques de la vie quotidienne sumérienne.

Je précise que les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrit comme des lieux de culte mais des résidences temporaires où les Annunaki venaient séjourner (ils s'y restauraient avec de la nourriture bien humaine et dormaient pour se remettre de leur fatigue !!!). Les sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom. Enfin ils participaient à l'enrichissement culturels par l'apport de techniques essentiellement agraires (semences, irrigations, aménagements du sol,…), de connaissances astronomiques (position de la ceinture d'astéroïdes qui n'est pas visible,…) ou de nouveaux termes destinés à décrire des objets, des lieux et parfois des concepts.

Il faut savoir qu'il existe une forte corrélation entre l'existence d'une mythologie et la mise en œuvre d'un système philosophique pour toutes les anciennes civilisations connues. Hors les Sumériens ne possèdent aucun système philosophique. Ils procèdent au cas par cas sans proposer de généralisations. Par conséquent l'intervention des Annunaki dans la société sumérienne ne peut pas se justifier avec le commode raccourci de l'affabulation poétique.

Voici leur histoire :

Il y a fort longtemps, mais pas dans une lointaine galaxie, dans notre bon vieux système solaire (probablement peu après sa formation voici 4.6 milliards d'années), la terre, alors deux fois plus grosse qu'aujourd'hui et recouverte d'eau, s'appelait Tiamat et orbitait entre Mars et Jupiter. Tiamat possédait alors une grosse lune (du nom de Kingu qui n'est évidemment pas celle d'aujourd'hui) qui sera plus tard destiné à devenir une planète, dont nous n'avons malheureusement pas d'autre précision (cette mystérieuse planète, autrefois Kingu, serait probablement Mercure dont les anomalies pourraient ainsi être justifiées).

Une dixième planète (ou douzième corps céleste pour les anciens qui incluaient la Lune et le Soleil) plus grosse que Tiamat, nommée Nibiru (ou Nibirou) par les sumériens et plus tard Marduk (ou Mardouk) par les babyloniens (du nom de leur dieu principal depuis Hammourabi), décrivait également une très large orbite elliptique (d'une période de révolution égale à 3600 ans) entre Mars et Jupiter.

Nibiru/Marduk tournait dans le sens inverse des autres planètes et son orbite n'était pas forcément dans le plan de l'écliptique (le plan orbital des autres planètes), ce qui signifierait qu'elle n'appartenait pas au système solaire à son origine.

L'Enuma Elish (texte sacré babylonien) précise que Nibiru/Marduk était une planète "nomade" propulsée dans le système solaire (et capturée) suite à un événement cosmique de nature inconnue. Sa trajectoire, via Neptune et Uranus, aurait suivi un mouvement effectué dans le sens des aiguilles d'une montre – à l'inverse du sens de rotation des autres planètes tournant autour du soleil. Les effets gravitationnels combinés de ces autres planètes auraient alors dévié Marduk vers le centre du système solaire, en pleine formation.

Les tablettes sumériennes n'y font pas allusion mais toutes n'ont sûrement pas été découvertes et parmi celles qui l'ont été, nombreuses sont altérées et présentent d'importantes lacunes. Les copistes babyloniens, même s'ils en ont parfois corrompu le sens, devaient disposer de tablettes en plus grand nombre et surtout de meilleure qualité.

La vie semble s'être épanouie sur Marduk, probablement après sa capture par le système solaire, aboutissant à une civilisation extraterrestre (les Annunaki pour les Sumériens et les Néfilims pour les Babyloniens et plus tard les Hébreux) ayant acquis une certaine maîtrise du voyage interplanétaire avant la catastrophe.

En effet, Nibiru/Marduk s'approcha si près de ce qui était alors notre orbite, qu'une de ses lunes entra en collision avec Tiamat (les textes sumériens moins précis laissent plutôt supposer que le choc concerne les deux planètes elles-mêmes) – la coupant en deux. La partie supérieure intacte de Tiamat (ainsi que sa lune principale !?!) fut (furent) déplacée(s) sur une nouvelle orbite entre Mars et Vénus pour devenir après un nouvel équilibre (et reconstruction géologique) notre Terre telle qu'elle est aujourd'hui. L'autre partie de Tiamat (celle ayant subit le choc) aurait été réduite en mille morceaux pour devenir, selon les Sumériens, le "bracelet martelé" que nous appelons la ceinture d'astéroïdes entre Mars et Jupiter. A ce propos, on a repéré des trouées importantes à l'intérieur de la ceinture d'astéroïdes (diamètre de l'ordre du million de km) qu'on explique par des phénomènes de résonance avec Jupiter (sic) (cf. les divisions de Kirkwood). Mais que l'on pourrait également justifier par l'orbite d'un important corps planétaire qui l'aurait traversée.

Les archives sumériennes précisent que les Annunaki étaient très grands : les femmes avaient une taille de 3 à 3.50 m et les hommes de 4 à 5m. Leur durée de vie était d'environ 360 000 années terrestres (soit environ cent années de Nibiru/Marduk, ce qui est cohérent avec notre longévité), puis ils mourraient comme tout le monde !!!

Toujours selon ces archives, il y a environ 450 000 ans, les Annunaki/Néfilims durent impérativement solutionner un problème atmosphérique en liaison avec leur hiver (aphélie : point de l'orbite d'un corps tournant autour du Soleil où la distance de ce corps au Soleil est maximale) très long. Leurs scientifiques ont alors imaginé de répandre de la poussière d'or dans la partie supérieure de leur atmosphère afin de profiter de son fort pouvoir émissif permettant ainsi de maintenir une température suffisante à leurs besoins. Il est intéressant de noter que nos spécialistes préconisent une solution analogue pour lutter contre les trous de la couche d'ozone en y répandant des particules de poussière destinées à filtrer les rayons nocifs du Soleil.

Les gisements d'or sur Nibiru/Marduk étant insuffisants, la Terre fut exploitée à son tour (il est possible que Mars ait été antérieurement exploité car plus proche).

Les tablettes décrivent les Annunaki voyageant dans des vaisseaux spatiaux laissant sortir des flammes à l'arrière – des fusées de type rocket. Cette technologie nécessitait que Nibiru soit suffisamment proche de la Terre pour faire le voyage entre les deux planètes.

Ils atterrirent et s'établirent dans une région correspondant à l'Iraq actuel en constituant ainsi les premières colonies (constructions des premières villes extraterrestres). Pour trouver de l'or, ils se rendirent dans une vallée située au Sud-Est de l'Afrique (en face de l'île de Madagascar).

Des ouvriers Annunaki (les dieux inférieurs comme les désignaient les Sumériens) creusèrent et exploitèrent les premières mines d'or. Des navettes furent mises en œuvre pour transférer l'or depuis l'Afrique du Sud vers Nibiru.

100 000 à 150 000 ans plus tard (ici les textes sont imprécis), ces ouvriers Annunaki ne tolérant plus leurs conditions de travail se rebellèrent contre leur hiérarchie militaire.

La solution adoptée fut la fabrication d'ouvriers hybrides par ingénierie génétique à partir du sang Annunaki (ADN) et celui de primates locaux (trop malhabiles à l'état naturel) et qu'ils se substituent aux dieux inférieurs dans te travail minier. Les premières expériences génétiques se firent dans des récipients en argile (cela ne vous rappelle-t-il pas quelque chose !).

Cette nouvelle espèce de primates devint l'Homo sapiens-sapiens : nous aurions ainsi été conçus (créés) par des dieux dans le seul but de servir d'esclaves destinés à creuser la terre et extraire son or. Notre fonction de mineur s'étendit plus tard à d’autres tâches domestiques.

Je précise qu'à l'endroit exact mentionné par les tablettes cunéiformes où nous aurions miné de l'or, des archéologues ont trouvé des mines d'or ! Plusieurs d'entre elles sont vieilles d'environ 100 000 ans. On y a retrouvé des ossements sur place correspondant à des primates pré-sapiens et même des restes humains d'il y a 20 000 ans. Aucun anthropologue, aucun paléontologiste ne peut justifier notre présence en ses lieux : l'or, en ce temps-là ne nous était d'aucune utilité car trop mou. Les fouilles n'ont d'ailleurs pas permis de retrouver beaucoup d'ustensiles en or.

Alors, posons-nous ces questions : Qu'allions nous faire dans ces mines ? Et, où est passé l'or que nous avons extrait ?

Des études comparatives de l'ADN ont permis d'affirmer que l'humanité avait pris naissance justement dans cette région du monde, cette vallée où pour les Sumériens nous aurions prospecté de l'or (la femme à l'origine de notre humanité vivait en ces lieux il y a 150 000 à 250 000 ans et les généticiens responsables de ces études l'appelèrent Eve).

Dans le langage courant sumérien, un être humain à une acception de servitude : un bon être humain est un homme qui sert bien son maître, son supérieur hiérarchique, et qui le craint.

Pour en terminer avec nos origines sumériennes, j'indiquerai que l'étymologie du mot "humain" est antérieure au latin « humanus » et provient de « human » (d'origine britannique).

L'un des premiers dieux britanniques (d'origine sumérienne) s'appelait Hu. Il choisit parmi les hommes certains qui le servirent et qui devinrent les hommes de Hu, les « humen », les humains.

D'ailleurs, en français comme en latin, on pourrait tout aussi bien dire les "mains de Hu". Nous sommes tous les Hommes de Hu, les Mains de Hu.



Je conclurai par une citation d'Honoré De Balzac :

"Il y a deux histoires : l'Histoire officielle, menteuse, puis l'Histoire secrète où sont les véritables causes des événements."


ufoweb.free.fr/planeteX.htm - 25k -

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