mardi 12 mai 2009

Morceaux choisis - P. Deunov & O. M. Aïvanhov




La Fraternité Blanche Universelle est une association initiatique, fondée par Peter Deunov en Bulgarie en 1922, refondée par son disciple Omraam Mikhaël Aïvanhov en France en 1947. Le 24 février 1922, Peter Deunov a ouvert une école ésotérique à Sofia en Bulgarie portant le nom de Fraternité Blanche Universelle. Son disciple Omraam Mikhaël Aïvanhov alla s'établir en France en juillet 1937 et 10 ans plus tard soit en 1947, il ouvrit la branche française de ladite Fraternité.
Au sujet de la Fraternité Blanche Universelle, Peter Deunov s'était exclamé ainsi :
"L'auguste fraternité blanche universelle n'est pas quelque chose de visible. Elle n'est ni une Église, ni une secte. C'est une entité existant en dehors des conditions corrompues dans lesquelles vit le monde ordinaire."



Omraam Mikhaël Aïvanhov (1900-1986) maître spirituel français d’origine bulgare, vient en France en 1937 où il donne l’essentiel de son enseignement.
Au travers de plus de 5000 conférences, il explore la nature humaine dans son environnement, à l’échelle individuelle, familiale, sociale, planétaire. Celui que nous appelons Maître, dans l’acception orientale du terme se référant à la maîtrise personnelle et au talent pédagogique, nous dit : « Ce que je souhaite par cet enseignement, c’est vous donner des notions sur la vie, sur vous-même, comment vous êtes construits, quelles relations vous avez avec l’univers tout entier et quels échanges vous devez faire après entre vous et l’univers qui est la Vie ».

Omraam Mikhaël Aïvanhov

Devant certains événements et situations de la vie vous vous sentez troublés, désorientés, et vous ne savez plus quoi faire. Mais ne plus savoir quoi faire ne justifie pas que vous abandonniez ce que vous savez être la bonne voie.


Au contraire, à ce moment-là plus que jamais, vous devez rester sur le chemin. Car ne vous faites pas d’illusion, jamais la vie ne se conformera à vos désirs et à vos besoins ; c’est à vous d’adopter la bonne attitude qui vous permettra de trouver la solution à vos difficultés, les remèdes à vos souffrances.


Se plaindre continuellement en disant : « Pourquoi les gens sont comme ça ? Pourquoi ce pépin me tombe dessus ? Pourquoi l’existence est aussi difficile ? »
ça ne sert à rien.


Inutile de se poser de telles questions. En revanche, il faut se demander :
« Comment est-ce que, moi, je dois comprendre ce qui m’arrive ? Comment je peux l’utiliser ? Comment je peux le transformer en le faisant servir à ma propre évolution et au bien des autres ? »
Voilà les questions qu’il faut se poser. C’est alors qu’on avance, et toutes les circonstances ne servent qu’à se renforcer.

Peter Deunov (1864-1944), fils d'un pope orthodoxe, destiné à entrer lui-même dans le clergé, il fait des études de théologie, puis de médecine aux Etats-Unis. De retour en Bulgarie en 1895, il se trouve à l'étroit dans le cadre rigide des institutions et des dogmes de l'Eglise orthodoxe.
Dès 1900, il donne des conférences publiques qui insufflent une vie nouvelle aux doctrines chrétiennes traditionnelles. Aidé d'un groupe de disciples, il organise des congrès, il fonde la Fraternité Blanche en Bulgarie et, peu à peu, son mouvement est connu dans toute l'Europe. L’œuvre de ce grand Maître spirituel y reste rayonnante.
En 1937, le Maître
Peter Deunov réunit autour de lui plusieurs dizaines de milliers de disciples. Prévoyant les bouleversements politiques et les persécutions qui allaient toucher son pays et mettre en péril la Fraternité Blanche, il choisit Mikhaël Aïvanhov celui qu'on appellera dès lors Frère Mikhaël pour faire connaître son enseignement en France et dans le monde.

Peter Deunov


Si les humains tombent dans le pessimisme, disait le Maître bulgare Peter Deunov, c’est qu’ils ne savent pas quelle direction donner à leur mouvement.
"De quelle sorte de direction s’agit-il ? Pour simplifier, on peut dire qu’il existe deux directions : vers le haut, le monde spirituel, et vers le bas, le monde matériel. Ces deux mondes nous présentent leurs richesses ; dans les deux cas, elles ne sont pas faciles à acquérir, mais les difficultés ne sont pas vécues de la même manière, selon que l’on recherche les unes ou les autres.


Celui qui se concentre sur les réalisations matérielles et ne parvient pas à ses fins ressent amèrement ses échecs, comme s’il avait tout perdu. Et celui qui est habité par des besoins spirituels se sent toujours soutenu. Par ses aspirations à une vie supérieure, il tisse des liens avec le monde divin, qui produisent en lui des vibrations secrètes. Même s’il ne réalise pas toutes ses aspirations, ces vibrations qu’il ressent dans son être profond, le protègent en le tenant à l’abri du découragement."

(1900-1986) Maître spirituel français d’origine bulgare, vient en France en 1937 où il donne l’essentiel de son enseignement.
Au travers de plus de 5000 conférences, il explore la nature humaine dans son environnement, à l’échelle individuelle, familiale, sociale, planétaire. Celui que nous appelons Maître, dans l’acception orientale du terme se référant à la maîtrise personnelle et au talent pédagogique, nous dit : « Ce que je souhaite par cet enseignement, c’est vous donner des notions sur la vie, sur vous-même, comment vous êtes construits, quelles relations vous avez avec l’univers tout entier et quels échanges vous devez faire après entre vous et l’univers qui est la Vie ».

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