mardi 27 janvier 2009

Morceaux choisis - Philosophie Zen


Histoire Zen

On demanda un jour à un homme qui savait méditer. Comment il faisait pour être si recueilli. En dépit de toutes ses occupations. Il répondit :

“Quand je me lève, je me lève.
Quand je marche, je marche.
Quand je suis assis, je suis assis.
Quand je mange, je mange.
Quand je parle, je parle.”

Les gens l’interrompirent en lui disant: “Nous faisons de même, mais que fais-tu de plus ?”

“Quand je me lève, je me lève.
Quand je marche, je marche.
Quand je suis assis, je suis assis.
Quand je mange, je mange.
Quand je parle, je parle.”

Les gens lui dirent encore une fois :
“C’est ce que nous faisons aussi.”
“Non” leur répondit-il.

“Quand vous êtes assis, vous vous levez déjà.
Quand vous vous levez, vous courez déjà.
Quand vous courez, vous êtes déjà au but…”



Koan zen

La sagesse zen vient nous prêter main forte pour affronter le stress quotidien. Au milieu de toute cette agitation, un peu de méditation s'impose !

La courbe ne peut inclure la ligne droite.

Maison pauvre, voie riche.

L'heure me regarde et je regarde l'heure.

La lumière existe dans l'obscurité ; ne voyez pas avec une vision obscure.
La haine seule fait des choix.

Recherchez la liberté et vous deviendrez esclave de vos désirs. Recherchez la discipline et vous trouverez la liberté.

Quand un homme ordinaire atteint le savoir, il est sage. Quand un sage atteint la compréhension, il est un homme ordinaire.

La voie est sous vos pieds.

Le bambou existe au-dessus et en dessous de son nœud.

En ultime analyse, toute chose n'est connue que parce que l'on veut croire la connaître.

L'homme regarde la fleur, la fleur sourit.

Les ignares se délectent du faux clinquant et de la nouveauté.
Les gens cultivés trouvent leur plaisir dans l'ordinaire.

Quel est le bruit d'une seule main qui applaudit ?

Une journée, une vie.

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