jeudi 30 octobre 2008

Ainsi parlait Virgile


Virgile


Virgile, en latin Publius Vergilius Maro (Andes, 15 octobre 70 - 27 septembre 19 av. J.-C.), est un poète et écrivain romain. La gloire de Virgile repose fermement sur ces trois piliers que sont les Bucoliques, les Géorgiques et l’Enéide. Ayant acquis l'immortalité littéraire grâce à l'Énéide, Virgile va influencer nombre d'écrivains du moyen-âge, de la renaissance (tel Ronsard, qui rédige la Franciade inachevée dans la volonté de donner un équivalent français à l'Énéide) et de l'époque moderne.

Heureux celui qui a pu pénétrer le fond des choses.


Après avoir ainsi tourné la roue de l'existence, ces âmes vont par flots nombreux au fleuve Léthé où Dieu les appelle pour qu'elles y perdent le souvenir du passé et qu'elles désirent retourner de nouveau dans un corps.

Une telle douleur, si j'ai pu la prévoir, je saurais la subir.

Un travail constant vient à bout de tout.

Ils peuvent parce qu’ils pensent qu’ils peuvent.

La femme est toujours un être inconstant et changeant.

Il est trop tard pour délibérer quand l'ennemi est aux portes.

La beauté rend toujours la vertu plus aimable.

La fortune favorise les audacieux.

L'expérience du malheur nous apprend à secourir les malheureux.

L'esprit meut la masse. (la matière)

Chacun a son penchant qui l'entraîne.

Nous ne pouvons pas tous toutes choses.

Il fuit, le temps, et sans retour.

Le temps emporte tout, l'esprit comme le reste.

On ne doit mettre son espoir qu'en soi-même.

On peut parce que l'on croit pouvoir.
On se lasse de tout, excepté d'apprendre.

La blessure vit au fond du cœur.

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